Texte

Texte critique sur le roman « Les Secrets libertins de La Rochelle » Tout d’abord , je vais présenter le roman de Mme A.Dramard intitulé « Les Secrets Libertins de La Rochelle ». Je vais présenter ses différents défauts ou différentes qualités, cependant l’opinion que je m’apprête à donner n’engage que moi. Pour commencer ce livre ma de suite intéressé car, tout simplement, il est écrit par une auteur excellente dans son domaine : Mme A.Dramard Elle a écrit ce livre avec

et son utilité il nous montre que si la conscience était immédiate nous n’aurions plus aucun impact sur nos décisions futur comme si notre vie était tracée. On peut dire qu’Alain ne croit pas en la Destinée. Nous allons rédiger le commentaire de ce texte en 3 parties. La première sur la conscience de soi et la définition du MOI, ensuite sur le passage du MOI au JE et pour finir la perpétuelle recherche du MOI qui nous permet d’avancer. I. LA CONSCIENCE DE SOI (l.1 à l.4) « Dans le sommeil, je

avait instauré sans le vouloir une sorte de défi à relever, tel comme une acceptation ou une initiation d’entrée (partielle ou complète à un groupe). Le test, réussi avec succès par l’anthropologue, son vrai travail a enfin pu commencer. 5. En quoi ce texte illustre-t-il la question de l’intégration sur le terrain ? L’intégration pour l’anthropologue, est la période critique. Celle qui rassure le chercheur de terrain, qu’il pourra aisément poursuivre ces recherches de manière spontanée, et obtenir de

hospice. D'une part il y a le patricia et de l'autre la plèbe ,lorsqu'une loi est votée c'est la loi qui a le plus d'autorité car elle votée par tout le monde. Le sénat est une association des propriétaires ,quand les sénateurs produisent un texte c'est un texte partial et du côté des propriétaires ,de là son sortie les différentes révoltes comme celle de 551. 2. Mécanisme fondateur : la ratification Ratifier = donner à un projet de loi un agrément qui lui donne force ,le principe fondateur chez

COMMENTAIRE DE TEXTE L ILE DES ESCLAVES DE MARIVAUX, SCENE 1 Nous allons étudier un extrait de l’île des Esclaves de Marivaux écrit en 1725. Marivaux est un écrivain de la moitié du XVIIIème siècle, l’époque libertin. Il connu par son théâtre comme par exemple le Paysan parvenu. L’extrait que nous étudierons se situe dans la scène 1 où Iphricate, l’esclave de Arlequin ont fait naufrage sur une île fondée, occupés par des esclaves révoltés. Dans cette île, les rôles sont inversés, c’est l’esclave

Explication de textes : Pascal, Pensées, 103 Dans ce texte, on trouve deux termes élémentaires : le juste et le fort. Ici, le juste prend le sens de ce qui est bon moralement, et qui recherche l’égalité des hommes. C’est une idée, et elle a plusieurs applications possibles. Le fort, lui, est ici une source d’oppression, une contrainte que l’on subit ; elle est objective et appliquée. La question que se pose Pascal ici semble être que, bien que la justice et la force s’opposent, pourraient-elles

un parcours rigoureux que Deleuze en vient à l’insérer ici. Les différents textes regroupés ici sont à l’origine écrits séparément. L’unité n’est de l’ouvrage n’est donc pas une donnée première. Qu’est ce qui justifie en ce sens l’insertion de ce texte concernant le jugement ? Dans la mesure où Deleuze en vient à considérer que la littérature est l’expression de « forces semi-organisées ou chaosmiques » qui traversent les corps en ne laissant pas indemne ce dont elle s’empare ; considéré la manière

différente. Marot utilise la satire et l'ironie pour critiquer la société et la justice de son époque, alors que les autres poèmes, qui sont des poèmes lyriques, utilisent le réalisme et le lyrisme pour décrire leur expérience carcérale. Commentaire de texte : En juillet 1873, a Bruxelles, au cours d'une violente dispute, Verlaine tire un coup de revolver sur son compagnon Arthur Rimbaud. Ce dernier n'est que légèrement blessé, mais Verlaine est condamné à deux ans de prison pour tentative de meurtre

Olivia Fischer 13 septembre 2014 Texte de confirmation Depuis toute petite, je me suis posée une foule de question. Ces questions, très profondes, étaient essentielles pour moi, et, lorsque à partir de 8 ans, j’en parlais aux adultes, souvent on me répondait que j’étais trop jeune et que je ne pouvais pas comprendre, ou alors on me répondait, mais je sentais que ces réponses étaient des réponses toutes faites pour les enfants et elles ne me satisfaisaient pas. Je suis

uiyrboèuyrvibètyeib-tyveib-ytbrfkyu-rftiè-yurfoèu-rtfdul-rfdol;_-rp_o-r_pirtpçoçèr-desrftgyuioà)poiuyjtrgferxdghbjnkop^pmlkjhgfdsxfghjkopômiukytrdsfghjuyrivgtyeytedtrfdhtrdoè tyfdjbyvtedvjytdujtyrstcrsdhtbhrytdniyhtdetrsrhbhuykhi,j,jtjguybrjytervutrzsczyrerevbdnybhtfvysrezcsedvtybnhujhkj^ùpmolikuyhtgfdsqdsdxfcgvhbnjk,l;m:ùml:;ik,jyhngbfvdcsxqsexdcfvgybhunji,k;lmm:l;ik,jynhbtgrvfcedxesxdcrfvgybhunji,k;lm:ol:k;j,hn gbfdcszqwzsxedcrfvgyhnji,k;ol;:mpoli;ukyhntbrgfvedcswxdcfvgybhnjik,;ol:mmoli;ku,yhntbgrvfcdsexdcrfvgybhnj