Themistocle

vertu ne peut se transmettre à personne, ni passer par voie d’enseignement d’un homme à un autre. Voilà la question qui nous occupe depuis longtemps, Ménon et moi. Examine ainsi la chose selon tes propres paroles : ne conviendras-tu pas [93c] que Thémistocle était un citoyen vertueux ? ANYTOS Oui certes, et de la plus haute vertu. SOCRATE Et conséquemment que, si jamais quelqu’un a pu donner des leçons de sa propre vertu, il était un excellent maître de la sienne ? ANYTOS – 85 – Je le pense, s’il

et d'une longue lance). La reine demande ensuite qui est leur chefs. La réponse du coryphée fait une éloge de l'elentheria (la liberté des grecs qui ne peuvent pas êtres considéré soumis à un maitre). Dans la pièce il n'y a aucune évocation de Thémistocle le stratèges de la victoire grecs ( il a été frappé d'ostracisme un ans avant la pièces) Eschyle fait une éloge du peuple et des institutions grecs. L'évocation de leur armée est une mise en valeur de l'armée grecs qui a déjà gagner contre les perses

déséquilibré au niveau du nombre de soldat permis au reste de l’armé grec de se replier à Salamine, les spartiates résistèrent héroïquement à l’armée perse qui réussit tout de même au final à venir à bout des hoplites spartiates. -septembre 480 av J-C : Thémistocle alors stratège athénien réussit à imposer aux perses le lieu de bataille. Ce sera une bataille navale situé entre l’île de Salamine et la côte attique. Mais la flotte perse fut battu par la flotte athénienne qui connaissait mieux les environs, une

pouvait être utilisé aussi de manière politique quand la communauté n'arrivait pas à se décider. Un vote exile un des argumentateurs (= ostrakon, procédure d’ostracisme). Ex : Thémistocle voulait renforcer les forces maritimes alors qu’Aristore voulait renfocer le corps des hoplites. L’Ekklesia a voté l’expulsion de Thémistocle. Critique de Platon : Ekklesia gouverne avec passion et ne prend pas forcément de bonnes décisions. Il a été décidé qu’en cas de déclaration de guerre, les frontaliers n'ont

période de péril pour la ville (Guerre contre les Perses), Aristide était en désaccord avec un autre général de l’époque, Thémistocle. La question était de savoir comment Athènes allait s’organiser pour se défendre. On a demandé conseil à l’oracle et l’oracle a dit de construire des remparts à Athènes. Aristide pensait qu’il fallait renforcer les remparts de la ville, et Thémistocle quant à lui a dit qu’il fallait se défendre par la mer et qu’il fallait de ce fait renforcer les flottes pour combattre

par l'adversaire (cf. Xénophon, l'Anabase ). * Après les guerres médiques, s'est instauré progressivement la pratique de l'ostracisme qui consistait à exclure pour dix ans un citoyen sans raison . De grands personnages en furent victimes comme Thémistocle, le vainqueur de Salamine (480) qui trouva refuge chez les Perses. II - Le pouvoir législatif Il est assuré par deux assemblées : la Boulé (Conseil) et l'Ecclésia (l'Assemblée). Elles ne sont composées que de citoyens. * Boulé : elle est composée

rue Gennadiou (Evangelismos). Infrastructures de transport [modifier] et aussi, bien qu'en dehors du territoire d'Athènes : Le port du Pirée. L'aéroport international d'Athènes Elefthérios-Venizélos à Spata. Célèbres natifs [modifier] Thémistocle, stratège qui remporta la victoire à la bataille de Salamine. Solon, poète et législateur. Socrate, philosophe Platon, disciple du précédent Périclès, stratège de la ville de -451 à -429 Denys l'Aréopagite, Irène l'Athénienne, "empereur" des

s’il était frappé d’atimie, c'est-à-dire de déchéance civique. Après les guerres médiques s’est instaurée progressivement la pratique de l’ostracisme qui consistait à exclure pour dix ans un citoyen. De grands personnages en furent victime comme Thémistocle ou Thucydide. La citoyenneté conférait un pouvoir politique, mais aussi une protection judiciaire (les citoyens ne pouvant ni être torturés sans poursuite ni être condamnés à la torture) et un avantage économique : seuls les citoyens pouvaient

pōros[6]. Après la bataille de Marathon, les dimensions du bâtiment sont revues à la baisse (33,68 × 72,31 mètres) et l'on décide d'employer le marbre du Pentélique. Les travaux sont suspendus pendant les guerres médiques, probablement sur décision de Thémistocle[6]. L'édifice est détruit lors du sac de l'Acropole en 480 av. J.-C. Le troisième bâtiment, le Parthénon actuel a pour architectes Ictinos et Callicratès, Phidias assumant au moins la supervision de l'ensemble des sculptures. Sa construction

leur postérité. Les autres n’ont pour aiguillon qu’une petite pointe de convoitise qui s’émousse soudain contre le danger, et dont l’ardeur s’éteint dans le sang de leur première blessure. Aux batailles si renommées de Miltiade, de Léonidas, de Thémistocle, qui datent de deux mille ans et qui vivent encore aujourd’hui aussi fraîches dans la mémoire des livres et des hommes que si elles venaient d’être livrées hier, en Grèce, pour le bien des Grecs et pour l’exemple du monde entier, qu’est-ce qui donna