Theologie Morale Fondamentale

de Dijon, qui lui dispensèrent une éducation classique (apprentissage du grec et du latin). Il vint à 15 ans achever ses études à Paris, au collège de Navarre, où il eut pour maître Nicolas Cornet : il y étudia en profondeur la philosophie et la théologie. Pourtant destiné au sacerdoce, il fréquenta pour quelque temps les mondains : Corneille ne lui déplaisait pas, il s'adonnait à l'écriture de vers précieux et ne dénigrait pas l'Hôtel de Rambouillet. Ordonné sous-diacre à Langres en 1648, il rompit

Histoire de la Philosophie Médiévale ; Collationes (Dialogue entre un philosophe, un juif et un chrétien. En faisant un panorama de l’histoire de la philosophie médiévale nous toucherons quelques aspects fondamentaux au XIIème siècle. En particulier dans le rapport entre éthique es théologie, la question de la scholastique plus tardive et la notion de « philosophie de la religion » (qu’est-ce qu’une religion au moyen âge ?).  La religion au MA orbite autour ces 3 pôles : Loi, Raison, Sentiment

Calvin), que les autorités de l'Eglise, de l'Université et de l'Etat veulent empêcher de se propager. Les premières mesures prises contre la liberté de publication procèdent directement de la défense de la religion catholique, et c'est la faculté de théologie qui joue le premier rôle dans le déploiement de la censure. En 1521, la Sorbonne condamne les idées de la Réforme et se lance alors dans l'interdiction de livres "hérétiques", dont un catalogue est établi en 1543. La répression ne tarde pas à se

2-Comportement qui s’attache aux principes de vie chrétienne pentecôtiste 3-Faire preuve d’une connaissance approfondie de la Bible 4-Avoir un sens dévoué pour la mission 5-Maîtriser les vérités fondamentales de la doctrine pentecôtiste 6-Démontrer les aptitudes ministérielles dans les relations humaines 7-Etre a même de bien gérer dans toutes les responsabilités qui relèvent de son niveau de formation 8-Etre capable

la fin de sa vie oriente ses recherches sur le jugement de goût. La période d’activité de Kant coïncide avec la Révolution française dont le philosophe était un grand admirateur. Il voua sa vie à son travail et tenta de répondre à ces questions fondamentales : Que puis-je connaître ? Que dois-je faire ? Que m'est-il permis d'espérer ? Qu’est-ce que l’homme ? Son œuvre, considérable et diverse dans ses intérêts, mais centrée autour des trois Critiques, à savoir la Critique de la raison pure, la Critique

« rien n’est sans raison ». La Raison se base sur un enchaînement de questions, permettant aux idées de se lier afin de d’atteindre une vérité claire et qui ne puisse être contredite. Ce raisonnement a été défini par KANT, grâce aux questions fondamentales : * que puis-je connaitre ? (comment aller à la vérité & quelles en sont les limites) * que dois-je faire ? (mon devoir est mon devoir, et je dois faire mon devoir) * que suis en droit d’espérer ? (espoirs légitimes, mérite &

première et la plus célèbre à saint Augustin, dans la Cité de Dieu. Leibniz au XVIIe siècle s'y est particulièrement illustré, et semble être à l'origine du néologisme « théodicée »[2]. Enfin, dans le catholicisme, ce terme a pris le sens de théologie naturelle. Sommaire [masquer] * 1 Théodicée augustinienne * 2 Les six arguments les plus usuels o 2.1 L'argument satanique + 2.1.1 Réfutation de l'argument satanique o 2.2 L'argument de l'harmonie

La philosophie de la religion est la partie de la philosophie qui pose la question de savoir ce qu'est une religion[1]. Selon le concept de religion qui est posé et selon la question fondamentale que l'on se pose sur la religion, la philosophie de la religion peut correspondre à différentes démarches. La principale distinction entre les diverses approches de la philosophie de la religion se fait entre les approches dites « essentialistes » et les approches dites « fonctionnalistes »[2]. La philosophie

admettre la légitimité de cette croyance et donc son caractère raisonnable ? 1. La raison à l’appui de la croyance en Dieu ? La raison ne nous conduit-elle pas elle-même à croire en un Etre suprême ? La philosophie se ferait alors “servante de la théologie”. Selon St Thomas d’Aquin, la lumière surnaturelle de la Révélation ne contredit pas la lumière naturelle de la raison. Ayant toutes deux leur source dans le Dieu unique, elles sont nécessairement en harmonie. Mais, la seconde (la raison) vient

des réflexions à travers ces ouvrages  Finitude et culpabilité (1960), Le Conflit des interprétations (1969) et en 1985, il présentera une conférence  à la Faculté de théologie de l’Université de Lausanne sur le mal. Le texte de cette conférence sera publié un an après sous le titre : Le Mal. Un défi à la philosophie et à la théologie aux éditions Labor & Fides. Pour Paul Ricœur, méditer le mal, c’est dire une faille. Car la liberté de l’homme est sommée à exister devant le mal. « Méditer sur le