Théorie de la régulation

laisser passer la division du travail qui selon les classiques augmentent la productivité. Ex manufacture d’épingles de Smith. 3. L’offre : c’est le point de départ des théories classiques. Pour les classiques si on veut influer sur le niveau de l’économie il faut influer sur l’offre et son niveau : JB Say qui mettra en forme cette théorie en déclarant : crise économique, l’offre est absorbée par le marché. L’offre crée la demande. 4. La monnaie : pour les classiques la monnaie est neutre et son rôle

une entière confiance concernant la régulation économique du marché. En effet, suite à la crise des subprimes qui perturbe l’économie depuis 2007, l’opinion publique reste perplexe sur le fait que l’économie peut s’autoréguler par le simple jeu de l’offre et de la demande. Les mécanismes de marché doivent-ils être remis en cause ? Permettent-ils une régulation économique efficace ? D’une part, nous pouvons dire qu’ils assurent une régulation efficace en théorie mais d’autre part quelques limites sont

contrepartie de l’attribution de fonds par les contribuables. 1. CHARREAUX G., «Introduction générale», in Le gouvernement des entreprises: corporate governance, théories et faits, Economica, 1997(a), p. 1. 2. CHARREAUX G., «Vers une théorie du gouvernement des entreprises», in Le gouvernement des entreprises: corporate governance, théories et faits, Economica, 1997(b), p. 427. 3. GLYNN J.F., Public sector financial control and accounting, Cambridge MA: Blackwell Publisher, 2nd Edition, 1993, p

construction de nouveaux logements qui pourraient détruire des espaces verts et la qualité environnementale qu’ils sont venus chercher. Cette analyse de l’auteur est inspirée de la théorie l’économie du public choice et plus précisément du modèle de Tiebout (1956) dans l’ouvrage l’auteur prend clairement partie à cette théorie. La théorie de Tiebout prouve que l’on peut atteindre nos attente non pas a travers le vote mais a travers notre mobilité. C’est-à-dire que pour retrouver un cadre de vie qui nous convienne

l'Institut Universitaire de France. Cet économiste français a également été membre du Conseil d'Analyse Economique auprès du Premier ministre de 1997 à 2003. Principalement connu pour son apport au sein de la théorie de la régulation, dont il est un des fondateurs par son ouvrage "Régulation et crises du capitalisme"(1976), Michel Aglietta couvre un vaste champ d'études. Le second auteur de ce texte est Jacques LE CACHEUX. C’est un ancien élève de l’ENS Ulm, qui est l’Ecole Normale Supérieure. Il

capitalistes ? Le capitalisme sera-t-il toujours fatalement contraint à connaître des périodes de crise ? Les théories sur l’apparition et le fonctionnement des crises ont beaucoup évoluées depuis l’apparition du capitalisme. Les courants de pensées sont parfois opposés. Nous articulerons notre analyse autour de ces idées. 1. Les théories avant Keynes (1936) 1.1. Les théories des cycles On a pu constater au cours de l’histoire que certains événements qui sont à l'origine de ruptures dans

inégalités, qu’il y en ait le moins possible. Et de diminuer les écarts entre les riches et les pauvres. Chapitre 2 Les théories éco du développement  I. Les précurseurs : 1. Les physiocrates : Fin 17eme, début 18eme, ils vont occuper pendant très lgtps une place importante dans la pensée éco. La pensée physiocratique a pratiquement disparu aujd. Des théories, qui ont été dominantes pdt très lgts ont décliné. C’est essentiellement un courant de pensée français, mais mtn les penseurs

impossible l'un sans l'autre). La question centrale est le partage des richesses créées entre d'une part ceux qui ont apporté le capital et d'autre part, ceux qui concrètement travaillent et produisent. Les théories plutôt capitaliste pense que le fait d'apporter le capital est essentiel. Les théories de type marxiste, pensent que la richesse doit revenir à ceux qui produise réellement. La répartition de la richesse entres actionnaires et particuliers, reste aujourd'hui, toujours, une question non résolue

l’économie à la connaissance sociologique et les rapports de la sociologie aux théories économiques ont connu et connaissent encore des modalités évolutives. Dans ce cadre, une convergence entre les deux types d’analyse s’est opérée autour d’une mise en discussion de la théorie dominante et de sa représentation de l’économie. Ce point de vue nécessite cependant de concevoir l’économie comme marquée par la coexistence de théories. Cette approche est celle d’une partie de la profession des économistes, qui

facteurs : • Il est ainsi difficile d!adopter une stratégie d!essai-erreur pour gérer une organisation. ! nouvelles technologies de traitement de l!information (NTIC), D!où : Besoin de modèles, d!outils s!inscrivant dans le cadre de théories : théories de la décision ! complexité structurelle des décisions, plus forte compétition, … Décision et processus décisionnels - Bernard ESPINASSE - • Le coût des erreurs de décision est de plus en plus grand, en raison de la complexité et de