Théorie des mécanismes d'incitation

 La theorie de l’agence introduction : I- La relation d’agence 1- Definition Jensen et Meckling (1976)  définissent une relation d’agence comme  « un contrat par lequel une ou plusieurs personnes (principal) engage une autre personne (agent) pour exécuter à son nom une tâche quelconque qui implique une délégation d’un certain pouvoir de décision à l’agent ». Ex: Un actionnaire confit la gestion de l’entreprise à un manager, un employeur confie un travail à un salarié,

Introduction  1. Définition  2. Théories de l'agence et des droits de propriété  3. L’importance de l’agence  4. Les hypothèses de la théorie d’agence  5. Divergence d'intérêts des dirigeants  6. Asymétrie dans la distribution de l'information, le problème de l'opportunisme  7. Les points noirs de l’agence  7.1 La problématique de l'agence   7.2 Les coûts d’agence  Conclusion  Bibliographie Introduction : La théorie de l'agence ou théorie des mandats remet en cause

véritable moteur pour les performances de l’entreprise………………………….……….………....3 I - L’actionnariat salarié : un mécanisme d’incitation individuelle……………………………..…..…4 A- L’impact sur les comportements des salariés et l’intérêt financier…………..…………...4 B- Influence des salariés dans les prises de décisions…………………………………….….….…..6 II- l’actionnariat salarié : un mécanisme d’incitations collectives…………………………….……....7 A- Le sentiment d ‘appartenance ……………………………………………………………………..….…..7 B-

priseur contrairement à la théorie classique dans laquelle les offreurs et demandeurs n'avaient pas de contact direct ils passaient par le commissaire priseur. Maintenant ils passent par le contrat. Ils passent des transaction directement entre eux sans passer par la fiction du commissaire priseur. Étude de la manière dont les agents formulent des contrats. Les agents vont essayer de passer des contrats qui maximise leur utilité puisque les agents sont rationnels. C'est la théorie contractuelle des organisation

 THEORIE DE L'AGENCE Relation d’agence : « Une relation d’agence est un contrat par lequel une ou plusieurs personnes (le principal, ou le mandant) engagent une autre personne (l’agent, ou mandataire) pour exécuter en son nom une tâche quelconque qui implique la délégation d’un certain pouvoir de décision à l’agent » (Jensen & Meckling, 1976) –Ex: relations actionnaires / dirigeants –La relation d’agence est un contrat –La firme est vue comme un « nœud de contrats » Corps de la théorie

représentation du chômage et de ces causes. On parle de nouvelles politiques de l’emploi lorsqu’un ensemble de nouveaux dispositifs émergent. Ces nouveaux dispositifs soutiennent généralement à la fois l’offre et la demande de travail par des mécanismes d’incitations monétaires et non monétaires. L’une des caractéristiques de ces nouvelles politiques, c’est son action à la fois massive et ciblée. Massives parce qu’elles mobilisent un budget sans précédent et que le nombre de personnes touchées par ces

permettant l’allocation optimale des ressources. 3 caractéristiques principales du marché (cf page 8) : gestion décentralisée des prix (pas une entité supérieur déterminant les prix (planificateur)) ; c’est un système de responsabilisation et d’incitation ; les prix sont le résultat d’un processus d’ajustement (p* maximise le surplus du consommateur et du producteur). De ce point de vue le marché est un mode d’organisation idéal. II- Les marchés des organisations complexes au-delà de la

D'après Léon Walras et Vilfredo Pareto, la théorie de la main invisible affirme que si chaque consommateur peut choisir librement ses achats et si chaque producteur peut choisir librement les produits qu'il vendra et la façon de les produire, alors le marché évoluera vers une situation mutuellement bénéfique pour tous les agents. La raison sous-jacente à cette théorie est que le penchant égoïste des individus va conduire chaque individu à se comporter d'une manière qui sera bénéfique pour la société

distributions, quelles sont les règles qui lui font choisir pour une distribution plutôt qu’une autre ? La différence entre 0 et 1000 est perçu comme plus importante que la différence entre 1 million et 10 000. C’est la théorie de l’espérance de la richesse. L’espérance d’utilité C’est une théorie qui considère que pour apprécier les loteries les agents commencent à analyser les revenus qu’elles proposent à travers un certain filtre appeler « utilité ressentie » et qu’ensuite ils prennent comme référence

performance de l’entreprise, dans la mesure où ce dernier pourrait résulter, aussi bien des apports du capital-investissement, que de la capacité de celui-ci à ne retenir que des entreprises prometteuses. Cette relation implique la mise en place d’un mécanisme consistant à rendre compatibles, les intérêts, pas nécessairement convergents, des multiples parties prenantes. Donc, d’un système de gouvernance. Cet état des choses nous amène à formuler quelques questions : le capital-investissement est