Théorie du choix rationnel

microéconomie La microéconomie s'intéresse aux agents individuels et à leurs comportements, elle étudie le comportement (choix et décisions) des agents économique individuels, et institutions. C'est en cette fonction individuel qu'elle s'oppose à la macro économie. Une branche de la microéconomie explique les choix des consommateurs, mais aussi des producteurs, investisseurs, état (choix face à des questions économique), qui sont tous des agents économique. La macro économie s'intéresse quant à elle

a science politique a une grande importance : elle peut préciser les vrais termes de choix, mais elle ne peut pas choisir, dans la mesure où’ la politique repose sur les choix, sur les engagements, ces concepts sont relativisés, et se définissent par rapport à des systèmes de valeurs déterminées (liberal, communist, musulman…). Ils ne signifient pas la même chose, dans chacun les systèmes idéologiques. On peut décrire : l'image libérale, l’image conservative, fasciste de la politique l'image musulmane

Microéconomie ➢ La microéconomie observe et explique les comportements ou choix individuels et leurs interactions. La microéconomie s’intéresse donc aux décisions des agents économiques individuels, le consommateur, le producteur,… et aux relations que ces agents doivent nécessairement établir entre eux sur le marché. ➢ La macroéconomie s’intéresse aux grandes variables économiques agrégée au niveau de l’économie nationale : chômage, etc. Partie 1 : La rationalité et l’équilibre

Herbert Simon : rationalité limitée, théorie des organisations et sciences de l’artificiel. Claude PARTHENAY1 Introduction Depuis ses premiers ouvrages sur la gestion des services municipaux en 1937 jusqu’à la publication du tome 3 de Models of Bounded Rationality [1997], le fil conducteur de l’œuvre de Simon, consiste à s’interroger sur la manière dont les être humains prennent leurs décisions ([Simon 1997, p. x], [Augier & March 2004, p. 5]. Tout au long de sa carrière Simon va décliner cette

la possibilité de tester empiriquement sa théorie; celle ci n'aura de caractère scientifique que si elle présente ce caractère de réfutabilité, de falsifibilité. Popper pense que la science permet un progrès de la connaissance : elle s'approche de la vérité mais elle ne détiendra jamais aucun savoir certain. La science progresse par élimination de ses erreurs donc il récuse comme non scientifique les théories formant un système clos irréfutable ( la théorie marxiste par exemple car déterministe ) ==>

selon la theorie classique chaque humain est libre et doit pouvoir exercer librement son apar travail. Cet être est rationnel et cherche avant tout son intérêt personnel. Pour A. Smith, il n'est pas seulement égoïste, mais aussi sensible à la considération des autres. Smith décrivait le marché comme une "main invisible" c est a dire que ce sont les les individus en s'enrichissant qui enrichisse a leur tour la nation mais de facon non intentionnelle .Pour lui, c'est la confrontation de l'offre

Robbins (1898- 1984) : «  L’économie est la science qui étudie le comportement des individus face à la gestion des fins et moyens rares à usage alternatif » (1932) La notion de rareté implique la question de l’arbitrage, des choix. L’économie est précisément l’étude de ces choix. Actuellement avec crise de 2007 cet outillage est trop perfectionné et pas assez explicatif du comportement des agents économiques. Naissance de la science économique : Adam SMITH (1776) : Recherche sur la nature et

différence de la sociobiologie, la psychologie évolutionniste ne cherche pas à se substituer aux sciences sociales. La psychologie évolutionniste est une théorie de la psychologie, et non des sciences sociales. Notre but dans ce chapitre est de montrer que comprendre la psychologie humaine de manière évolutionniste constitue un outil pour construire des théories et décrire des phénomènes empiriques en sciences sociales. Ce chapitre est divisé en deux parties, qui correspondent grosso modo aux deux

donc que cette rationalité, c’est être rationnelle c'est-à-dire avoir un esprit scientifique et avoir besoin de preuve pour croire, un être rationnelle ne laisse pas de place a l’imprévisible. Weber ne pense pas que rationalité est égale a intelligence mais qu’elle va avec le «  désenchantement du monde » qui est le déclin des croyances religieuses même si certaines pratiques tel que la voyance persiste dans la société, les être sont de plus en plus rationnelle selon Weber. Cette rationalisation des

4. Les approches contemporaines du management! 4.1. La théorie de la décision! !   La décision est la partie la plus intangible d’une politique générale d’entreprise ou d’une organisation! Elle constitue l’une de ses principales ressources car elle permet aux idées, projets des personnes de se transformer en actions stratégiques! !   Qu’est-ce qu’une décision ? La décision peut être définie comme un processus par lequel une entreprise passe d’une position stratégique à une autre!