Theorie Et Pratique Kant

donc cette universalité pour tout être pensant, référence qui lui permet de légitimer son propre discours comme discours vérace. L’histoire de la philosophie cherchera cet universel dans les choses, en Dieu, dans la raison humaine, dans le langage ; Kant y verra un « a priori » de toute épistémè (1986a), Galilée avait tenté de le fonder en nature (1966). Le relativisme le 18 Bernard Jolibert plus agressif, le scepticisme le plus affirmé postule toujours implicitement sa propre objectivité comme

Quel enseignement peut-on recevoir de l'expérience ? Plan I. On reçoit tout enseignement de l'expérience. 1. L'expérience comme pratique : l'expérience enseigne le savoir-faire. 2. L'expérience comme rencontre du :" réel ». 3. L'expérience, par opposition au discours, est la seule source d'un enseignement véritable. II. L'enseignement n'est pas « reçu » de l'expérience, mais tiré d'elle. 1. Il n'y a d'enseignement de l'expérience que par une activité de l'esprit. 2

Héritage de la philosophie antique : les philosophes de la nature et Aristote, premiers grands "rationalistes". - Héritage cartésien : Descartes et le doute méthodique - les philosophes empiristes et sensualistes - Idéalisme kantien et post-kantien : Kant, la supériorité de la raison sur l'expérience, une psychologie rationaliste - P. Natorp et les fondements logiques de la psychologie : vers une problématique de l'être : Husserl et le courant phénoménologiste. - L'inconscient avant Freud... Séquence

l’animé et l’inerte. Trois grandes découvertes fondent alors au XIXème siècle la biologie comme science : La théorie cellulaire établit l’existence d’un constituant commun à tous les êtres vivants et permet la connaissance de plus en plus approfondie de sa structure ; La génétique : Mendel met en évidence les lois qui règlent la reproduction et la transmission héréditaires ; Les théories de l’évolution, d’abord avec Lamarck au début du siècle, puis surtout avec Darwin. Tous deux essayent de comprendre

Le moment de Kant Kant va développer deux sortes de jugements esthétiques : D’abord les jugements de gout ils portent sur la beauté, cette beauté a des formes spatio-temporelle, ici l’expérience de la beauté qu’elle soit naturelle ou artistique, c’est prendre plaisir à la beauté de la chose. Pour Kant la beauté n’est pas une propriété de l’objet mais un jugement de goût qui renvoi à la relation sujet objet sans intermédiaire, ne effet le jugement de goût repose non pas sur des concepts mais

moyens mis en œuvre, tandis que l’explication finaliste étudie la fin poursuivie par les moyens. C’est Aristote qui, très attentif aux phénomènes du vivant, a distingué plusieurs types d’explication possibles pour un même phénomène. Il s’agit de sa théorie des quatre causes : cause finale, cause matérielle, cause mécanique et cause formelle (Métaphysique). Toutefois, toutes les sciences ne recourent pas à la causalité finale – bien qu’elles aient pu le faire dans leur histoire. Ex. : la Terre tourne

le reproche adressé à la religion, par la raison, d’être superstition. Terme très péjoratif (bcp disent ‘’j’ai la foi’’, personne ne dit ‘’je suis superstitieux’’), désignant une croyance religieuse qui tourne vraiment le dos à la raison (c’est, dit Kant, « la propension à placer une plus grande confiance dans ce qu’on pense arriver d’une façon non naturelle qu’en ce qui se laisse expliquer selon les lois de la nature » Critique de la faculté de juger : la tempête, c’est la colère de Dieu, etc.). Fondée

la lecture de tous les textes du corpus pour appréhender les différents angles d’études du concept d’autonomie. J’ai ensuite tenter de regrouper les textes selon les théories abordées. Enfin après avoir rédigée la synthèse j’ai repris certaines théories développées afin de leurs apporter des éclairages pratiques issus de ma pratique professionnelle. Historique et définition(s) L’autonomie est un terme qui vient du grec « autos » : soi-même et « nomoi » : lois. Dans le dictionnaire critique

Dans cette perspective, la définition de I. Kant n’est en rien désuète : « (L’éducation est une) activité en vue de discipliner, de cultiver, de civiliser et de moraliser l’être humain, son but étant de développer dans l’individu toute la perfection dont il est susceptible». (traduction libre) Bibliographie de référence IOVAN, Marțian, Repere în pedagogie – prin universul educației, Arad, 1997 JAMES, William, Précis de psychologie, Paris, 2002 KANT, Immanuel, Réflexions sur l'éducation, Librairie

Préface Kant y décline la philosophie ainsi qu'Aristote en 3 sciences : Physique, Ethique et Logique. Les deux premières sont matérielles, car elles se rapportent à un objet - la nature pour la Physique, la morale pour l'éthique. La logique est quant à elle purement formelle. Physique et Éthique ont chacune une partie empirique, c'est-à-dire s'appuyant sur les enseignements de l'expérience, tandis que la Logique ne saurait avoir de partie empirique. Toute philosophie non empirique est dite pure