Thérapie génique

opérationnel est d’atteindre 270 millions d’euros. Transgene 1. Présentation de groupe et de sa stratégie : Crée dans les années 80 par des académiciens et des fonds d’investissement le groupe Transgène a d’abord centré son activité sur la thérapie génique ce qui lui a permis de développer depuis un véritable portefeuille produit. Le groupe est coté sur Euronext compartiment B depuis 1998 avec des augmentations de capital fréquentes (en moyenne tous les 2 ans). Le secteur d’activité est la biopharmaceutique

Des cellules authentiquement pluripotentes chez l’adulte : les MAPC 3) Applications thérapeutiques et essais cliniques en France et à l’étranger 26 27 27 29 29 29 31 3-1 – En France 31 3-1-1) Les applications thérapeutiques courantes 31 a) Thérapie cellulaire par cellules souches hématopoïétiques de la moelle osseuse et du sang périphérique b) Les greffes de cellules souches hématopoïétiques issues de sang de cordon ombilical (sang placentaire) 3-1-2) Les essais cliniques 33 a) Les maladies

mères porteuses. Arnold Munich, chef du service de génétique médicale de l’hôpital Necker-Enfants malades, a considéré que libéraliser davantage la recherche sur l’embryon ne permettrait aucun essor. Il a insisté sur le fait que le « tout thérapie génique » relève de l’idéologie et non de la science. Il a évoqué trois possibilités : libéraliser, prolonger le moratoire existant ou revenir en arrière. En mars 2009, l’Académie de médecine a rendu un avis négatif sur la gestation pour autrui, considérant

lancés sur le marché entre 2010 et 2013 a ainsi plongé de 43 % sur la période, à 466 millions de dollars en moyenne sous l’influence des politiques de santé restrictives, mais aussi parce qu’ils visent des marchés plus étroits, comme c’est le cas des thérapies ciblées des cancers ou des médicaments contre les maladies rares. Or, si les chiffres d’affaires potentiels baissent, le coût de développement moyen des produits a augmenté. Depuis 2010, il a progressé de 18 % à 1,29 milliard de $ (958 millions d’€)

donc l'eugénisme (la sélection des personnes). Cet article interdit également le clonage : « est interdite toute intervention ayant pour objectif de faire naître un enfant génétiquement identique à une autre personne vivante ou décédée. » et la thérapie génique germinale (interdiction d'une modification génétique qui pourrait être transmise : « aucune transformation ne peut être apportée aux caractères génétiques dans le but de modifier la descendance de la personne. ») L'article 16-7 c.civ qui dispose

l’introduction des OGM dans sa vie quotidienne. Ce belge moyen est surtout sensibilisé à l’introduction des OGM alimentaires, ce qui constitue l’essentiel du sujet de ce mémoire, qui ne fera qu’effleurer la problématique des OGM pharmaceutiques et des thérapies géniques. Dans la mémoire du Belge moyen subsistent les traces de grandes crises sanitaires tels que l’épisode de la « vache folle », des poulets « à la dioxyne », de la fièvre aphteuse. Dans ce contexte, il est la cible d’une foule d’informations à

l’infection par le virus, mais d’une préparation visant à stimuler le système immunitaire des personnes déjà atteintes - il entre donc dans la catégorie des traitements, et non de la prévention. Enfin, les recherches menées dans le domaine de la thérapie génique se font selon deux orientations : l’intégration d’un gène capable de perturber l’expression ou la fonction des protéines virales, ou celle d’un gène capable d’empêcher l’entrée du virus dans les lymphocytes. VIII- PRÉVENTION La lutte contre

sur les cellules souches parce qu’elles peuvent tout faire. On en trouve dans l’embryon, dans le placenta et dans le cordon ombilicale) et depuis 2011 a recherche est autorisé. L’avantage des cellules souches est qu’il n’y a aucun rejet. Les thérapies géniques qui sont apparu dans les années 60, c’est une injection de virus dans la partie malade qui permettrait de créer quelque chose qui aiderais à guérir. On peut modifier notre code génétique seulement si une maladie en est la cause afin d’éviter

ethique.inserm.fr multifactorielles (maladies cardio-vasculaires, psychiatriques, diabète sucré, cancers, obésité,…). Les applications de ces tests dans le monde médical peuvent avoir pour objectif de : - confirmer le diagnostic d’une maladie mono-génique (un seul gène touché). Ce résultat permettra de mieux prendre en charge le malade et de donner une indication sur les évolutions possibles de la maladie : test diagnostic (ex : ce sont des maladies telles que la mucoviscidose, l’hémophilie, les myopathies

réussissant à modifier le génome, à implanter, supprimer ou modifier de nouveaux gènes dans des organismes vivants : il s'agit des organismes génétiquement modifiés (OGM). Les mêmes progrès ont ouvert une nouvelle voie d'approche thérapeutique : la « thérapie génique ». Il s'agit d'introduire de nouveaux gènes dans l'organisme afin de pallier une déficience héréditaire. L'évolution sans cesse croissante de la connaissance en génétique pose plusieurs problèmes éthiques liés au clonage, aux divers types d'eugénismes