These Sartre Situation Ii

Introduction : A priori, une distance originelle envers les choses apparaît; en tant que sujet, un certain recul à soi et aux choses est nécessaire. De plus, qui n'a pas fait l'expérience de constater l'impuissance des mots face à une certaine situation ? Les mots ne sont que des généralités, utilisées de tout le monde, ils n'ont pas le caractère singulier d'une émotion que l'on ne peut donc communiquer. Les mots ici nous éloignent donc des choses. Néanmoins, ne pouvons-nous nier l'existence d'un

avec vous », pp. 9-12. Questions : 1. Comment le narrateur réagit-il à l’annonce du décès de sa mère ? Qu’en pensez-vous ? 2. Comment les relations sociales sontelles présentées ? Quel jugement Camus porte-t-il sur la société ? Séance n°3 : Activité II : Rédaction (250 mots). « Terminé Sisyphe. Les trois Absurdes sont achevés », note Albert Camus dans ses Carnets à la date du 21 février 1941. Il s’agit des trois volets de la réflexion du jeune écrivain sur l’Absurde : un essai, Le Mythe de Sisyphe

moi-même et ainsi me faire connaître qui je suis. Cependant, il s'agit d'une idée paradoxale. S'il est déjà si difficile de se connaître soi-même, comment autrui pourrait-il m'aider? I. L'étranger Autrui, c'est l'autre, "celui qui n'est pas moi" (Sartre, l'Etre et le néant, III). Certes, il m'est semblable, puisqu'il est cependant un autre homme, un homme comme moi. Mais c'est précisément ce qui me rapproche d'autrui qui, paradoxalement, m'éloigne de lui. En effet, si nous sommes semblables, c'est

rhétorique, la capacité selon Viktorovitch d’exprimer verbalement ses idées et de l’es organisée en un discours construit serait à la parole ce que la dissertation, représentation succincte de la structuration de l’esprit humain, serait aux lettres. II. Cependant la mise en place d’une structure de l’esprit avec les lois ampute l’homme de ses capacités innées.1) La mise en place des lois à atteint certaine faculté de l’homme en le rendant dépendant des écrits. En effet, les textes de lois ont également

leur pouvoir d’agir. En effet, il s’agit tout d’abord de voir comment les êtres humains peuvent-ils aliéner voire annihiler leur liberté de par la réalisation effective de possibilités d’agir, rationnelles et affectives s’ouvrant à eux. ( II) Après quoi, il faut examiner une autre perspective selon laquelle l’être humain n’a, nullement, le pouvoir d’aliéner et/ou d’annihiler sa liberté car il est, par nature, libre et celui-ci, être fini, n’étant jamais son propre fondement

et de l’autre un objet, mais une corrélation nécessaire entre la conscience et son objet. Toute conscience est toujours déjà conscience de quelque chose, ce qui signifie qu’on ne peut saisir la conscience qu’en acte, en situation, en train de saisir un objet. C’est cette visée constitutive de la conscience que nous permet de comprendre Husserl, le fondateur de la phénoménologie, dans ses Méditations cartésiennes . Phénoménologie

de l’ensemble des textes, vous répondrez d’abord à la question suivante (4 points) : En quoi le personnage central de chacun de ces textes est-il rendu antipathique ? Vous justifierez votre réponse en vous appuyant sur quelques exemples précis. II. Vous traiterez ensuite, au choix, l’un des sujets suivants (16 points) : Commentaire Vous ferez le commentaire de l’extrait des Trois mousquetaires, d’Alexandre Dumas (texte B). Dissertation Julien Sorel, Milady, la Thénardier : nombreux sont

..................................................................................................i 摘要..................................................................................................................................................ii Introduction.................................................................................................................1 ChapitreⅠLa mythologie grecque .............................................................................2 1.1 La

Sujet A retenir : Individu/sujet/personnalité/personne Thème/thèse/argument Morale (prescriptive, inconditionnée, universelle) Ethique (réflexive, par édification, adaptable) Considérer la fin du roman de R.-L. Stevenson : l’étrange cas du Dr Jekyll et de M. Hyde Hypothèse de lecture de la fin du roman de Stenvenson : Jekyll se sait perdu parce qu’il sent que la métamorphose n’est plus en son pouvoir, mais en celui de Hyde. Suis-je toujours identique à moi-même ? Oui, par définition : rationalité

au niveau de l’action humaine ? La thèse de la liberté d’indifférence formulée par Descartes est une réponse positive à cette question. Elle est illustrée par le « complexe de Buridan ». Le paradoxe de l’âne de Buridan est la légende selon laquelle un âne est mort de faim et de soif entre son picotin d'avoine et son seau d'eau, faute de choisir par quoi commencer. L’âne meurt de faim et de soif parce qu’il hésite entre ses deux désirs. Dans cette situation, aucun motif ne pèse plus que l’autre