Thomas Hobbes L Homme Est Un Loup Pour L Homme

envisagée d'abord dans les philosophies antiques (A) ensuite dans les philosophies modernes (B). * 1 GRAWITZ (Madeleine), Lexique des sciences sociales, 7e Edition, Paris, Dalloz, 2000, p135 * 2 HERSCH (Jeanne) (sous la dir.), Le droit d'être un homme. Anthologie mondiale de la liberté, Paris, JCL/Unesco, 1990, p 129 * 3 VINCENSINI (J.J.), Le livre des droits de l'homme, Paris, Ed. Robert Laffont, 1985, p 12 * 4 KRIEGEL (Blandine), Cours de philosophie politique, Paris, Librairie Générale Française

politique: Règles prévues par la Constitution Système politique: Fonctionnement concret des institutions Jean Gicquel décrit la pratique de la Constitution dans le régime politique: le PR peut révoquer le PM Facteurs qui vont faire que les homme politiques vont être contraints ou non de respecter la Constitution, système de variables déterminantes, éléments juridiques ou non autres que le texte de la Constitution qui vont exercer une influence sur son contenu et son application. En effet

peuple donné et indépendant. L'Etat est surtout le plus visible et le plus tangible aspect de la science politique, c'est pourquoi il est considéré par beaucoup comme le plus important. Les premières notions d'états sont énoncées notamment par Hobbes, Locke, etc. qui associent l'Etat à la création d'institutions politiques Ensuite, une autre facette est apparue: le POUVOIR. La différence entre Etat et Pouvoir est importante car on voit bien que l'Etat ne suffit pas à bien décrire les phénomènes

» Lanza del Vasto « Il est plus efficace de trancher les têtes que de fendre les cheveux en quatre. » Arthur Koestler n La peine de mort est-elle une solution de facilité ? n Pensez-vous qu’il y ait des situations où il est acceptable de tuer un homme ? Lesquelles et pourquoi ? n Chacun sait qu’il faudrait changer la société plutôt que continuer à exécuter des êtres humains. Pourquoi ne le fait-on pas ? n En quoi la sûreté de sa personne est-elle une aspiration fondamentale de l’être humain ? 3

elle sont la transposition des règles morales. Incontestablement les énoncés juridiques sont donnés sur le coté moral. [ Ex : Arrêt du 5 juillet 2001 de la Cour de Cassation, cet arrêt nous dit que le seul fait d’entretenir une liaison avec un homme marié ne constitue pas une faute de nature à engager la responsabilité de son auteur à l’égard de l’épouse. L’épouse de peut pas intenter une action en justice contre la maitresse de son mari. Le fondement est essentiellement moral car avec une conception

d’association initiatique, ouverte à tous les hommes qui le veulent. La marque emblématique des initiés est un bonnet en peau de chèvre. Ce bonnet est appelé Kikumbu. Reste cependant que la non-accession à quelque échelon dans la corporation pour un homme était regardée, avant l’évangélisation de l’Afrique et l’aliénation qui s’ensuivit, comme une insuffisance sociale, en « manque de maturité ». Et les familles ou les lignages qui s’abstenaient de l’organisation du Mpala de Bwami s’exposaient assurément

d’accomplir des actes du jus civile ou droit civil. On la retrouve dans l’article 1128 du Code civil : « il n’y a que les choses qui sont dans le commerce qui puissent être l’objet des conventions ». Dans un langage qui n’est plus de mode on dira d’un homme qu’il est civil ou policé, d’un commerce agréable, ce qui signifie qu’on peut se lier à lui, avoir des relations, des rapports avec lui. Notre définition est naturellement sujette à critiques. Elle est inacceptable pour un juriste adepte des idées

selon lui, " tout était bon à ramasser qui peut servir ". Cependant, ce geste provoquera la suspicion du village de Goderville, car tous pensaient que ce qu'il avait pris était en fait un portefeuille de cuir noir, richement garni. L'avarice d'un homme provoqua la suspicion d'un village entier, qui engendra finalement sa mort. Notons à ce propos que le narrateur -par souci d'impartialité et d'impersonnalité- évite les commentaires psychologiques étoffés qui expliquent le bien-fondé du geste du personnage

J'aurais donc voulu que personne dans l'État n'eût pu se dire au-dessus de la loi, et que personne au-dehors n'en pût imposer que l'État fût obligé de reconnaître. Car quelle que puisse être la constitution d'un gouvernement, s'il s'y trouve un seul homme qui ne soit pas soumis à la loi, tous les autres sont nécessairement à la discrétion de celui-là  ; et s'il y a un chef national, et un autre chef étranger, quelque partage d'autorité qu'ils puissent faire, il est impossible que l'un et l'autre soient

J'aurais donc voulu que personne dans l'État n'eût pu se dire au-dessus de la loi, et que personne au-dehors n'en pût imposer que l'État fût obligé de reconnaître. Car quelle que puisse être la constitution d'un gouvernement, s'il s'y trouve un seul homme qui ne soit pas soumis à la loi, tous les autres sont nécessairement à la discrétion de celui-là [1] ; et s'il y a un chef national, et un autre chef étranger, quelque partage d'autorité qu'ils puissent faire, il est impossible que l'un et l'autre