Thomas Hobbes Langage

Chapitre XIII: de la condition du genre humain à l'état de nature, concernant sa félicité et sa misère. Pourquoi Hobbes peut-il écrire que la nature fait des êtres humains rigoureusement égaux? Hobbes dit cela car il remarque que certes il existe des différence entre les êtres humains mais que par exemple une différence de force peut-être compensé par une alliance , ou une réflexion. Il entend par là que une aptitude plus ou moins forte chez l'un ne l'avantage pas par rapport aux autres. Il

I) à trouver II)Une vérité relative prouvée pourra toujours être contredite... 1) ...car il n´y a pas de fait indépendant stipulant que l´on a raison... 2) ... mais aussi à cause du langage, qui ne sera pas reçu de la même manière suivant les personnes (sens propre, sens figuré, 1er et 2nd degré...) ------------- Intro Quand il y a présence d´une vérité dans l´opinion commune, celle-ci, prise au sens courant du terme, est sous-entendue vérifiée donc prouvée à l´origine. Cette opinion

aliments paraissent et sont amères aux malades, et ils sont et paraissent le contraire aux hommes bien portant ». Sujet de bac : « Ce qui crève les yeux est-il toujours vrai ? » 2. La vérité est-ce l’accord de la pensée et du réel ? a. Saint Thomas d’Aquin « la vérité c’est la conformité de notre pensée aux choses. » lit on dans son maitre ouvrage qui a pour titre la somme théologique. b. Distinguons vérité et réalité. Elles ne doivent pas être confondues. La vérité caractérise la qualité

fournit les préceptes de la droite raison que le droit positif doit appliquer. Le droit naturel est péremptoire, prescriptif. Le droit positif l’applique et au besoin punit : le droit positif est provisoire. Nous y reviendrons plus longuement. Pour Hobbes, le droit naturel soutient et fonde l’ordre juridique. Le droit positif détermine le contenu du droit. Le droit naturel le légitime en fonction des lois dégagées dans l’état de nature. Dans le cadre des républiques d’acquisition, il faut se soumettre

de Glaucus, en comparant le temps qui transforme l’âme humaine de la même manière que l’eau agit sur la transformation de la statue avec le phénomène naturel de l’érosion. Pour remédier au problème, Rousseau utilisa l’état de nature, avancé par Thomas Hobbes, même s’il considère que cet état correspond à la situation fictive de l’être humain avant l’instauration de la société et il doit être considéré comme une «hypothèse de travail». Dans la perspective de Rousseau, cette hypothèse consiste à se demander

soit l’homme qui personnifie le vent, lui attribuant une intention, lorsqu’il déclare le vent violent. Le vent ne saurait en effet faire usage de la force, puisqu’il est lui-même une force. Affirmer que le vent est violent relève donc d’un abus de langage. Dès lors, nous pourrions supposer que seuls les animaux et l’homme sont capables de violence, dans la mesure où seuls, ils feraient littéralement usage de la force. Pourtant, une différence de taille existe entre la violence animale et la violence

sociales. I. La genèse de l’Etat. L’Etat n’a pas toujours existé, donc son émergence suppose un début qui doit en réalité être recherché dans les profondeurs même des sociétés anciennes. Selon les philosophes contractualistes comme Rousseau, thomas Hobbes pour ne citer que ceux-là, l’Etat a pris naissance à la suite d’un état communément appelé état de nature. Cet état est, selon Rousseau, considéré comme un état de paix, de tranquillité et de solitude. Les hommes y vivaient de façon séparée et

naturel) - Thomas Hobbes (1588 – 1679) - Il répond à Descartes - « Leviathan », « Du citoyen » - Définit l’homme à l’état de nature - « L’homme est un loup pour l’homme » - État perpétuel de violence et de guerre - John Locke (1632 – 1704) - Définit l’homme à l’état de nature - L’homme est bon, raisonnable, moral… mais il a un désir de propriété - Cause des conflits, donc il faut un gouvernement - Rousseau n’est pas d’accord avec eux - Locke et Hobbes auraient fait

[pic][pic][pic] Hobbes Thomas L'éthique et la politique chez Hobbes Harald Höffding Hobbes fonde sa conception tout entière de la vie éthique et sociale sur l'instinct de conservation personnelle avec la même énergie qu'il appuie sa conception tout entière de l'existence sur les lois du mouvement mécanique. Peut-être demandera-ton quel rapport il y a entre l'éthique et la politique de Hobbes d'une part et le reste de son système d'autre part; or il a déjà fait lui-même cette concession

également, que le langage prédispose l’homme et que sans obéir aux lois, l’homme n’est pas un homme. Robinson Crusoé, par exemple, est un homme car c’est le hasard des circonstances qui l’a isolé. Tarzan, lui, ne l’est pas. Ainsi, ce n’est pas le groupe qui fait l’homme mais la loi. Cependant, un dieu accomplit sa nature tout seul, tandis que l’homme ne peut l’accomplir que s’il entre en relation avec d’autres hommes. Ce rapport doit impliquer un passé commun, une justice commune et un langage dans lequel