Thomas Hobbes Léviathan Résumé

matérielle c’est-à-dire un territoire, une population et un gouvernement, mais aussi un phénomène intellectuelle à nul autre pareil. Cette idée est bien synthétisée par Raymond Carré de Malberg qui disait de l’Etat que c’est un être de droit qui se résume la collectivité nationale. Il faut cependant aller plus loin pour essayer de donner une idée plus précise de l’Etat par l’identification par exemple d’un certain nombre de caractères qui lui seraient propres. Mais ces derniers découlent d’une certaine

aussi la thèse de Thomas Hobbes, philosophe anglais du XVIIe siècle : Un succès constant dans l’obtention de ces choses que, de temps en temps, l’on désire, autrement dit une constante prospérité, est appelé félicité. J’entends la félicité en cette vie. Car il n’y a rien qui ressemble à la béatitude perpétuelle de l’esprit, tant que nous vivons ici, parce que la vie n’est elle-même que le mouvement et ne peut être ni sans désir, ni sans crainte. Hobbes, Léviathan, I, 6 Dom Juan

C’est aussi la thèse de Thomas Hobbes, philosophe anglais du XVIIe siècle : Un succès constant dans l’obtention de ces choses que, de temps en temps, l’on désire, autrement dit une constante prospérité, est appelé félicité. J’entends la félicité en cette vie. Car il n’y a rien qui ressemble à la béatitude perpétuelle de l’esprit, tant que nous vivons ici, parce que la vie n’est elle-même que le mouvement et ne peut être ni sans désir, ni sans crainte. Hobbes, Léviathan, I, 6 Dom Juan est un

C’est aussi la thèse de Thomas Hobbes, philosophe anglais du XVIIe siècle : Un succès constant dans l’obtention de ces choses que, de temps en temps, l’on désire, autrement dit une constante prospérité, est appelé félicité. J’entends la félicité en cette vie. Car il n’y a rien qui ressemble à la béatitude perpétuelle de l’esprit, tant que nous vivons ici, parce que la vie n’est elle-même que le mouvement et ne peut être ni sans désir, ni sans crainte. Hobbes, Léviathan, I, 6 Dom Juan est un

C’est aussi la thèse de Thomas Hobbes, philosophe anglais du XVIIe siècle : Un succès constant dans l’obtention de ces choses que, de temps en temps, l’on désire, autrement dit une constante prospérité, est appelé félicité. J’entends la félicité en cette vie. Car il n’y a rien qui ressemble à la béatitude perpétuelle de l’esprit, tant que nous vivons ici, parce que la vie n’est elle-même que le mouvement et ne peut être ni sans désir, ni sans crainte. Hobbes, Léviathan, I, 6 Dom Juan est un

C’est aussi la thèse de Thomas Hobbes, philosophe anglais du XVIIe siècle : Un succès constant dans l’obtention de ces choses que, de temps en temps, l’on désire, autrement dit une constante prospérité, est appelé félicité. J’entends la félicité en cette vie. Car il n’y a rien qui ressemble à la béatitude perpétuelle de l’esprit, tant que nous vivons ici, parce que la vie n’est elle-même que le mouvement et ne peut être ni sans désir, ni sans crainte. Hobbes, Léviathan, I, 6 Dom Juan est un

C’est aussi la thèse de Thomas Hobbes, philosophe anglais du XVIIe siècle : Un succès constant dans l’obtention de ces choses que, de temps en temps, l’on désire, autrement dit une constante prospérité, est appelé félicité. J’entends la félicité en cette vie. Car il n’y a rien qui ressemble à la béatitude perpétuelle de l’esprit, tant que nous vivons ici, parce que la vie n’est elle-même que le mouvement et ne peut être ni sans désir, ni sans crainte. Hobbes, Léviathan, I, 6 Dom Juan est un hédoniste

C’est aussi la thèse de Thomas Hobbes, philosophe anglais du XVIIe siècle : Un succès constant dans l’obtention de ces choses que, de temps en temps, l’on désire, autrement dit une constante prospérité, est appelé félicité. J’entends la félicité en cette vie. Car il n’y a rien qui ressemble à la béatitude perpétuelle de l’esprit, tant que nous vivons ici, parce que la vie n’est elle-même que le mouvement et ne peut être ni sans désir, ni sans crainte. Hobbes, Léviathan, I, 6 Dom Juan est un hédoniste

divine. Pour lui la loi naturelle, en laquelle l’Homme est attaché dans son essence, repose sur la volonté de Dieu. Thomas Hobbes va assembler tous ces courants de pensée et fonde le positivisme volontariste moderne. Le droit se ramène toujours à la force selon lui. Ex : on nous oblige à suivre les lois et on peut se retrouver en prison. Sa thèse est exposée dans le Léviathan. Chez Hegel et Marx nous retrouvons l’idée d’un droit confondu avec la force. Cette idée sera reprise par tous les totalitarismes

et sa domination sociale . On peut aussi considérer que la modernité correspond à la première civilisation post-traditionnelle et qu’elle a donc de ce fait une portée universelle sans correspondre pour autant à une domination. Le tableau ci-dessous résume les quatre positions que nous venons d’évoquer. La dernière ligne du tableau indique le danger principal associé à chacune des conceptions, ces dangers n’ont rien de fatal. Quatre conceptions de la modernité Conception culturelle Conception