Thomas Hobbes Léviathan Résumé

quelques-uns des artifices dramatiques de tous les temps, ceux qui servent à exprimer un sentiment ou un personnage type : le masque grec, la stylisation du « No » japonais, les symboles eschyliens, Iago en face d’Othello ou l’ « invitus invitam » qui résume toute une tragédie. Ainsi le plus élémentaire des arts, par sa simplicité même, peut devenir le plus lointain et le plus nostalgique. Ainsi, par ce jeu des corps et des lumières, cette précipitation d’hommes violemment colorés vers la consommation

modernes, l'homme d'État italien et penseur Niccolo Machiavelli ( 1469-1527 ), les philosophes anglais Thomas Hobbes ( 1588-1679 ) et John Locke ( 1632-1704 ), le philosophe français Jean-Jacques Rousseau ( 1712-1778 ), les philosophes allemands Georg Wilhelm Friedrich Hegel ( 1770-1831 ) et Karl Marx 2 Dans un livre intelligent et provoquant, Understanding Political Theories ( Spragens 1976 ), Thomas Spragens, fils, a montré comment les grandes théories ont été formulées en réaction aux crises graves

que détient un individu représente donc l’ensemble des réseaux et liens qu’il peut mobiliser, ajouté de l’ensemble des capitaux culturels et économiques que possède chacun de ces réseaux et liens. L’idée est ancienne comme l’atteste l’expression de Hobbes: « avoir des amis, c’est avoir du pouvoir »[45]. Le capital social n’est pas une ressource indépendante des autres capitaux (économique et culturel), elle tend à amplifier les effets de ces derniers, et donc à accroître l’hérédité. Elle constituerait

l’idée qu’exprime Schopenhauer : L’absence de tout but et de toute limite est […] essentielle à la volonté en soi, qui est un effort sans fin. […] Le but atteint n’est jamais que le point de départ d’une carrière nouvelle, et cela à l’infini. […] En résumé, la volonté sait toujours, quand la conscience l’éclaire, ce qu’elle veut à tel moment et à tel endroit ; ce qu’elle veut en général, elle ne le sait jamais. Schopenhauer, Le Monde comme volonté et comme représentation Dire que la volonté est indéterminée

L’expression même d’acharnement thérapeutique inspire une certaine défiance : le mot acharnement est à lui seul symbole, dans une certaine mesure, d’une violence inutile et répétée portée sur la personne du malade. Comme le souligne Louis-Vincent Thomas, « l’acharnement thérapeutique témoigne de violence et de dépossession de soi ». Elle sous-entend que l’on inflige des souffrances inutiles, pour ne pas dire des « tortures », en « prolongeant » l’agonie du patient tout en le privant de sa dignité

qu’exprime Schopenhauer : L’absence de tout but et de toute limite est […] essentielle à la volonté en soi, qui est un effort sans fin. […] Le but atteint n’est jamais que le point de départ d’une carrière nouvelle, et cela à l’infini. […] En résumé, la volonté sait toujours, quand la conscience l’éclaire, ce qu’elle veut à tel moment et à tel endroit ; ce qu’elle veut en général, elle ne le sait jamais. Schopenhauer, Le Monde comme volonté et comme représentation Dire que la

l’idée qu’exprime Schopenhauer : L’absence de tout but et de toute limite est […] essentielle à la volonté en soi, qui est un effort sans fin. […] Le but atteint n’est jamais que le point de départ d’une carrière nouvelle, et cela à l’infini. […] En résumé, la volonté sait toujours, quand la conscience l’éclaire, ce qu’elle veut à tel moment et à tel endroit ; ce qu’elle veut en général, elle ne le sait jamais. Schopenhauer, Le Monde comme volonté et comme représentation Dire que la volonté est

prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit. Études Légitimité et Constitution : les trois types purs de la jurisprudence constitutionnelle Michel Coutu * Résumé Dans cette étude, l’auteur distingue trois types idéaux de la jurisprudence constitutionnelle : la jurisprudence formelle, instrumentale et axiologique. En ce dernier cas, les principes constitutionnels fondamentaux sont déterminés en référence à

lacunes)          OUVRAGES CLASSIQUES   Aristote, Les Politiques, Ed. Flammarion, coll. « GF », n° 490 Benjamin Constant, De la liberté des anciens comparée à celle des modernes, in Écrits politiques, Folio Essais, 1997, pp. 589- 622, Thomas Hobbes, Le Léviathan, coll. «  Folio », Gallimard. Edmund Husserl, La Crise de l'humanité européenne et la philosophie, Hatier, coll. « Profil » n° 754 John Locke, Deuxième traité du gouvernement civil,  coll. « GF », n° 408 Emmanuel Kant, Vers la paix perpétuelle

avait eut par Rome. L’unité impériale dans le domaine des lois, de la religion, la langue latine, a fait que les peuples d’Europe ne pourraient plus jamais être complètement séparés. A) Rome n’est plus dans Rome Cette phrase de Corneille résume parfaitement la pensée occidentale sur la survie occidentale. St Raphaël quitte Rome, il se réfugie en Espagne et dit « Rome n’est plus dans Rome ». C’est la phrase qui indique la distinction entre le régime légal et le régime légitime. En 40-42