Thomas Hobbes Léviathan Résumé

moyen d’exprimer et de communiquer des idées qui sont en nous indépendamment de lui. Cette conception du langage comme un simple instrument extérieur à la pensée et qui permet de l’exprimer de manière transparente est celle de Descartes et de Hobbes. Pour Hobbes notamment, les mots (et les signes en général) ne sont qu’un moyen de nous rappeler nos pensées. Ils ne signifient pas par eux-mêmes : L’usage général de la parole est de transformer notre discours mental en discours verbal, et l’enchaînement

représentation qu'on a de l'homme, c'est celle de Jean-Jacques Rousseau. Mais en 1795, on pense l'homme différemment, comme Hobbes. L'homme n'est pas fondamentalement bon mais mauvais, être amoral, brutal, qui du fait de tous les profonds changements, comme politique de table rase, éprouve impossibilité de créer un ordre. L'homme de la Révolution est retourné à un état de Nature de Hobbes. Suit ses instincts, intérêt économiques. Les individus isolés qui ne doivent compter que sur eux pour vivre, et qui

propre de l’homme. Dans les œuvres de Hobbes et de Locke, pour prendre deux exemples particulièrement importants, une fiction concernant l’état de nature est ainsi articulée dans le sens de la justification de l’appropriation. Quelles que soient les différences entre les deux modèles, l’un et l’autre procèdent d’une manière comparable dans leur grands traits, ainsi qu’on le voit en schématisant en trois points les argumentations développées à ce propos dans le Léviathan et dans le Second traité du gouvernement

Economiques (chez VRIN)  n’entre pas en résonance avec nos questions économiques actuelles. En effet, l’une des questions aristotéliciennes est de savoir comment bien gérer ses esclaves, chose qui n’est plus d’actualité aujourd’hui. De la même façon Saint-Thomas d’Acquin est-il un moderne ? il se pose des questions telles : comment les activités économiques peuvent-elles rapprocher de Dieu ? Alors qu’aujourd’hui Dieu n’est plus ancré dans les questions de modernité. Alors que les économistes du XVI è évoquent

l’extrait proposé de La Philosophie dans le boudoir (texte 16). Sade repart de la philosophie de Hobbes (voir plus bas) décrivant dans le Léviathan l’état de nature comme un état de guerre généralisée (« l’homme est un loup pour l’homme »), en deçà de toute morale, et fondé sur le seul intérêt particulier. Mais Sade pervertit fortement le constat de ses prédécesseurs : cet amour-propre ne doit pas comme chez Hobbes être surmonté par un contrat social qui annihilera la nature égoïste et belliqueuse de l’homme

qui était juste. Et ainsi ne pouvant faire que ce qui est juste fût fort, on a fait que ce qui est fort fût juste » (Pascal, Pensées, V, 298). Ce pessimisme sur l’homme, le droit et la justice, est encore plus radical chez Hobbes (1588 – 1679) qui fait naître l’Etat - Léviathan du dérèglement des hommes dans l’état de nature. Dans cet état, tous les hommes ont un droit égal sur toute chose et c’est donc le règne du droit du plus fort. D’où sa formule fameuse : « Bellum omnia contra omnes, homo homini

théorie de la connaissance, fut le plus souvent un vœu pieu que les actes effectifs de connaissance ont rarement réalisé ; individuellement et collectivement, les hommes sont contraints d’opérer également avec des opi86 L’essentiel du dialogue En résumé... Pour que la philosophie commence, il faut que l’opinion devienne une question pour elle-même. Elle doit s’interroger, s’expliquer, devenir consciente de son propre contenu. Ceci ne peut s’effectuer sans désagrément, sans douleur, puisque cela

milieu du 19e s. Un lien très étroit. Il faut replacer la pensée juridique dans son histoire. Pour comprendre la pensée il faut savoir ce qu’il y avait avant. « On est des nains juchés sur les épaules de géants » selon Michel J. Conclusion : si on résume, la pensée juridique c’est l’ensemble des représentations relatives au droit et des moyens par lesquels elles sont exprimées. L’histoire de la pensée juridique c’est l’histoire de la pensée qui prend pour objet le droit, plus qu’une histoire de droit

Cours de vie 5 L’apport de Noam Chomsky en linguistique 6 Activisme, ouvrages politiques et influence 7 Une renommée internationale 7 1.2.Biographie de Robert W. McChesney 9 II) Postulats 10 III) Hypothèses 11 IV) Mode de dÉmonstration 12 V) RÉsumÉ de l’ouvrage 13 Première partie : Noam Chomsky – « Les exploits de la propagande » 13 DeuxiÈme partie : Noam Chomsky – « Le journaliste venu de Mars » « Comment faut-il rendre compte de la “guerre de la terreur” ? » 16 Troisième partie :

C’est aussi la thèse de Thomas Hobbes, philosophe anglais du XVIIe siècle : Un succès constant dans l’obtention de ces choses que, de temps en temps, l’on désire, autrement dit une constante prospérité, est appelé félicité. J’entends la félicité en cette vie. Car il n’y a rien qui ressemble à la béatitude perpétuelle de l’esprit, tant que nous vivons ici, parce que la vie n’est elle-même que le mouvement et ne peut être ni sans désir, ni sans crainte. Hobbes, Léviathan, I, 6 Dom Juan est un hédoniste