Théodicée

14, puis définissez en 200 mots la métaphysique et expliquez les principes pris en compte dans l’étude de la métaphysique. Étape 20 : En 300 mots, décrivez les problèmes soulevés par les études en ontologie, en philosophie de l’esprit, en théodicée et en cosmologie. Étape 21 : Lisez l’appendice 15, puis dans un texte de 400 mots définissez le logicisme et différenciez les logiques informelle, formelle, mathématique et symbolique. Étape 22 : En 400 mots, décrivez la structure argumentative

entre chrétiens justifie les admonitiones (=demandes) que lui adresse les évêques et les grands du royaume. Hincmar de Reims (archevêque de 806-882) élabore la théodicée de la couronne carolingienne. Il considère «que le roi règne sur le peuple de Dieu rassemblé sous une autorité unique chargée de promouvoir les idéaux chrétiens». Théodicée= théologie développée à l'aide des seuls moyens des lumières de la raison, théologie qui plaide la cause de Dieu face au mal. Ce principe d'universalité existe

de Leibniz, Monadologie, Le Livre de Poche. Oeuvres maîtresses Discours de métaphysique et correspondance avec Arnauld, Introduction, Texte et Commentaire de Le Roy (G.), Vrin, Paris. Nouveaux essais sur l'entendement humain, GF. Essais de théodicée, GF La Monadologie, Edition annotée et précédée d'une exposition du système de Leibniz par E. Boutroux, PhiloSophie ou Le Livre de Poche. Montesquieu [1689-1755] Oeuvres d’accès relativement aisé (Oeuvre maîtresse) De l'esprit des lois, 2 vol

trouvent leur explication et leur justification dans l'ensemble, dans l'harmonie du tableau de l'univers. « Les défauts apparents du monde entier, ces taches d'un soleil dont le nôtre n'est qu'un rayon, relèvent sa beauté bien loin de la diminuer ». (Théodicée, 1710 - parution en 1747). Répondant à Bayle, il établit la démonstration suivante : si Dieu existe, il est parfait et unique. Or, si Dieu est parfait, il est « nécessairement » tout-puissant, toute bonté et toute justice, toute sagesse. Ainsi

- Saint-Augustin Les Confessions (livres I et II) - Leibniz Les essais de Théodicée §20-25 et §404-417 - Rousseau Les Confessions (livres I à IV sinon p.48, 165, 178-180, 199 (édition Flammarion) - Kant La critique de la faculté de juger (§46 à 49); Les religions dans les limites de la simple raison - Nietzsche La généalogie de la morale - Finkielkraut La sagesse de l’amour (chap 5 : l’épreuve du prochain) Shakespeare Othello ; Richard III Le mal est-il une réalité qui est familière au

repose sur le postulat métaphysique selon lequel les principes qui sous-tendent la réalité sont identiques aux lois de la raison elle-même. Ainsi en est-il du principe de raison déterminante (ou de raison suffisante) que Leibniz, dans les Essais de théodicée (1710), formule de la manière suivante : « C’est que jamais rien n’arrive, sans qu’il y ait une cause ou du moins une raison déterminante, c’est-à-dire quelque chose qui puisse servir à rendre raison a priori, pourquoi cela est existant plutôt que

psychologiques, etc qui peut nous rendre libresLe déterminisme ne s’oppose pas a liberté car c’est la connaissance des déterminismes physiques, sociaux, économique, psychologique, etc. qui peut nous rendre libre. De ce faites Leibniz dans les essaie de théodicée nous montre par sa citation « la liaison des causes et des effets, bien loin de causer une fatalité insupportable, fournit bien plutôt le moyen de la lever ». Selon Leibniz connaître les lois de la nature, ou encore les causes qui nous déterminent

filles postée avant fils, gonflée d'orgueil (quartiers) => grotesque (réf Lettres Philo, X) Parodie romans d'amour en vogue : Manon Lescaut (Abbé Prévost), Pamela (Richardson) 3) L'optimisme pris à contre-pied Réponse à Leibniz et sa théorie (Théodicée) : « le Tout est bien » Leibnizien est réd à l'hyberb risible «Tout est pour le mieux» à Wolf, principal disciple de Leibniz (réf néologisme de Wolf 'cosmologie' mélange 'cosmogonie' + -nigo) A Pope (Essay on man) avec son « whatever is, is right

s’agit de tirer quelque chose de ses propres malheurs. B. La question de la théodicée. Comment distinguer entre Dieu comme cause physique et cause morale du mal, sans paraître banaliser et esquiver le mal dans le meilleur des mondes possibles ? Comment l’optimisme évite-t-il la résignation béate, et comment éviter « que Dieu devienne blâmable lui-même pour éviter que l’homme ne le soit » ? (Leibniz, Essais de Théodicée, § 119 ; GF-Flammarion, 1969, p. 173.) Il faut arriver à penser que Dieu tolère

c’est-à-dire marqué par une finalité. Le plan humain ne doit pas dissimuler le plan divin. Voltaire articule ainsi l’ordre de la Providence et la liberté de l’homme. Lorsqu’il écrit Zadig, il accepte la philosophie de Leibniz, auteur des Essais de Théodicée, avec l’idée d’un meilleur des mondes possibles, même si Zadig murmure contre. Dans son oeuvre, Voltaire est sans concession sur l’humanité, qu’il compare à « des insectes se dévorant les uns les autres sur un petit atome de boue ». Au chapitre IX