Tocqueville Le Bonheur

religieuses et économiques de la France. En fait, la Révolution française a plus fondé une nouvelle société qu’un nouveau gouvernement. Elle marque une étape déterminante entre l’Ancien Régime et le nouveau régime. En effet, ainsi que cela a été dit par Tocqueville, il convient d’admettre qu’ « aucun peuple n’a opéré volontairement dans sa propre histoire, (…/…) une coupure aussi radicale que celle qui sépare la France de l’Ancien régime, celle d’avant 1789, de la France du régime moderne, celle d’après 1789

bouleversement du régime, disparit° totale d’un régime, d’une société et construct° d’une nvelle société en 10ans). Rév° : interdit les ordres, les syndicats de luttes, influence sur le XXème siècle. Avc la mise en place d’une nvelle société (Tocqueville : un contemporain de la rév° française) avc une coupure ds 2 société. Une histoire pol très heurté, 16 constitut°, 20 régimes et autant de rév°, avc une stabilisat° qu’a partir de 1870 avc la IV ème Rep. Créat° d’un nvel ordre, période la plus

donc de l'Etat qu'il protège ces biens. Bonabolt : Essai sur les limites de l'action de l'Etat. « Les Anciens se préoccupaient de la force de la formation de l'Homme en tant qu'Homme. Les Anciens recherchaient la vertu, les Modernes recherchent le bonheur. » Platon : esprit : volonté, cœur : passions. Il faut un équilibre interne à l'Homme pour se maîtriser et être libre. Passions sont bonnes mais doivent être dirigées par la raison. La volonté est au service de la raison pour maîtriser ces passions

qu’il se pose c’est celle des differents types de regimes politiques, il se demande dans sa classification des regimes quel est celui qui est le mieux pour que la societe pol dans laquelle vivent les hommes soit la plus juste, apporte le plus de bonheur collectif (le « eū zen »). L’etat de developpement demographique, eco et politique de la societe. La democratie est difficile car il faut des personnes vertueuses qui fassent passer l’interet commun avant le leur. Le seul qui propose un assemblage

fait qu’il y ait de la diversitétémoigne de l’exercice de la liberté et de la spontanéité non bridée deshommes. Bien instrumental, elle constitue également un bien en soi,indissociable de la liberté, comme élément irréductible du souverainbien (le bonheur) que visent les actions humaines médiatement ou,plus rarement, immédiatement. Ainsi, Mill fait sienne la formule deHumboldt selon laquelle la liberté et la diversité ne « sont pour ainsidire qu’une seule chose »19.Ces éléments nous permettent de dessiner

par le Créateur de certains droits inaliénables ; parmi ces droits se trouvent la vie, la liberté et la recherche du bonheur". Les députés américains n'ont pas semblé plus gênés que leurs homologues français par le problème de l'esclavage, ni par celui des Amérindiens. Par ailleurs, la Déclaration française insiste moins sur la liberté de culte et ignore le droit à la quête du bonheur[10], auquel elle préfère les notions d'utilité ou d'intérêt public. Les deux textes comportent toutefois en commun

par le Créateur de certains droits inaliénables ; parmi ces droits se trouvent la vie, la liberté et la recherche du bonheur". Les députés américains n'ont pas semblé plus gênés que leurs homologues français par le problème de l'esclavage, ni par celui des Amérindiens. Par ailleurs, la Déclaration française insiste moins sur la liberté de culte et ignore le droit à la quête du bonheur[10], auquel elle préfère les notions d'utilité ou d'intérêt public. Les deux textes comportent toutefois en commun

Principe de non contradiction : lois de l’esprit humain naturelles, innées. L’homme respecte naturellement les règles de la logique. On ne peut affirmer A et non A sous le même rapport. ( élimine l’erreur. I Les morales antiques et la recherches du bonheur : l’eudémonisme (la morale d’Aristote) Ethique de Nicomaque Conception du bien : Selon Aristote, le bien consiste pour un être à actualiser ses potentialités ou à faire exister en acte ce qui n’était au départ en lui qu’en puissance. De plus

ne pourra lui procurer le bonheur de la vie sauvage qu’il a perdu. En cela, c’est une véritable critique de ce mythe du progrès que nous propose Rousseau. Loin de se laisser impressionner par les avancées techniques et la puissance toujours accrue que celles-ci semblent nous apporter, il rappelle simplement qu’avec elles l’homme a perdu l’innocent paradis d’un bonheur insouciant qu’il partageait

flotter à la dériv e, ne pouv ant v oir que le ciel qui filait lentem ent au-dessus de lui, portait sur son v isage l’av ant-goût du bonheur et de la paix. » Marcel Proust À l’ombre des jeunes filles en fleurs Introduction Tout le monde cherche le bonheur, « jusqu’à celui qui va se pendre », disait Pascal. Le monde moderne peut quasiment se définir par l’idée que le bonheur sur terre est le but de l’humanité. À l’échelle des siècles, le résultat semble au rendez-vous. La vie était hier « misérable, bestiale