Tocqueville Le Bonheur

à ceux de la symbolisation qui l’emportaient jusqu’alors. À l’idéal politique rationaliste codifié par Jeremy Bentham, et qui entend construire par la raison, sur les décombres d’un passé méandreux, une société rationnelle apportant le plus grand bonheur au plus grand nombre, répond l’idéal d’une architecture rationnelle parfaitement exposé par Jean-Nicolas-Louis Durand, nommé professeur d’architecture à l’École polytechnique en 1795 et dont les cours seront maintes fois réédités tout au long du XIXe

involontaires de deux types Si on punit, c’est pour empêcher que tout soit permis. Pour Aristote, dans le libre V de l’éthique à Nicomaque, la justice, qui est une vertu, c’est-à-dire qui a une capacité d’accomplir les actes qui permettent d’atteindre le bonheur, se divise en deux aspects. Il existe la justice distributive et la justice corrective. La justice corrective a pour but de corriger l’injustice ou le crime. 2. On punit pour rétablir la justice (corriger l’inégalité) 3. On punit pour être plus

heurtent davantage que dans les pays pauvres parce qu’elles paraissent moins légitimes comme l’avait déjà remarqué Tocqueville. Aussi, Robert Easterlin exhortait les individus à consacrer moins de temps et d’efforts à leurs activités professionnelles (et donc à accepter de gagner moins), et, en contrepartie, à prendre plus de loisirs pour pouvoir se consacrer davantage aux vraies sources de bonheur, dont principalement la santé et les relations familiales et sociales. 5ème explication : cet écart entre

originale de l’université Historiquement, la mission de l’université était de créer et de transmettre une culture commune à la population. Cet objectif est issu de la tradition humaniste et des lumières pour laquelle la raison, le progrès ainsi que le bonheur de la population étaient les maîtres mots. L’université fut créée afin de faire en sorte que la civilisation soit plus humaine, plus civilisée et plus cultivée. L’éducation publique et généralisée fit en sorte que la savoir n’était plus réservé

le moins possible dans la sphère économique : les libéraux souhaitent le cantonner à simple rôle de surveillance des grands équilibres financiers. Le libre-échange est ainsi vu comme un moyen pour assurer le bien-être des populations, et donc le bonheur de l’homme. Les libéraux, enfin, sont fondamentalement anticléricaux. L’Eglise étant perçue comme l’alliée de l’Ancien Régime, ils ne peuvent tolérer sa toute-puissance et cherchent à la confiner dans un rôle purement religieux et à limiter l’emprise

l’individu, mais d’autre part les individus n’ont pas la capacité juridique de renoncer eux même a ces droit donnes par la nature. Ces droit inaliénable, le textes indique simplement qu’on trouve parmi ces droit la vie, la liberté et la recherche du bonheur. -pour garantir ces droits, les hommes instituent des gouvernements. Cela implique qu’un gouvernement juste est le fruit du consentement des gouvernes. Les colons américain n’ont pas eu même institue la royauté britannique -si un gouvernement méconnais

problème c’est que ce qui participent au bonheur des individus c’est la possession d’une propriété, mais il faut un Etat pour assurer cette propriété. L’Etat est là pour un bonheur plus grand pour les hommes. Il faut que des règles soient fixées, les hommes vont donc dans ces conditions créer l’Etat. Locke est considéré comme un auteur libéral. Les hommes vont être liés par un contrat, ils ont le pouvoir de révoquer les élus s’ils n’assuraient pas un bonheur plus grand (la jouissance d’une propriété)

sont la fin et le moyen, à savoir ici le bonheur et la vertu, les deux notions-clés en matière d'éthique. L'amitié se situe en quelque sorte entre les deux, elle participe des deux. D'une part, le pouvoir d'accomplir le bien et celui de créer de véritables liens d'amitié paraissent aller de pair ; c'est ce qui faisait dire à Aristote que « L'amitié est une certaine vertu, ou ne va pas sans vertu3. » D'autre part, l'amitié, c'est quasiment le bonheur. Être heureux et vivre entouré de bons amis

Il pose ainsi un projet d’instruction publique, une des bases de l’enseignement public qui jusqu’à là est assuré par l’Eglise ou par des précepteurs privés pour les plus aisés. Trois éléments importants des lumières : la raison, la liberté et le bonheur. L’idée de raison apparait dans les philosophies de l’antiquité avec Platon, les mathématiciens de l’école de millet puis Descartes. Les penseurs de l’Eglise tentent de concilier depuis très longtemps la raison et la foi, avec Averroès, ou saint

humaine, le pluralisme de la société. Sinon elle cessera d’exister. Pour Aristote, l’importance n’est pas d’imaginer, l’importance est le bonheur. Eudemonia = le bonheur. La politique a pour seul but le bonheur. Il n’est pas dans la perfection mais dans un équilibre entre ce que demandent les gens et ce qu’ils reçoivent. De nombreux politiques ont écrit le bonheur, notamment Montesquieu = adéquation entre les désirs humains et la satisfaction de ces désirs. Fonctionne un temps, car la particularité