Tractatus logico-philosophicus

Naturellement, la guerre est une relation négative mais elle est encore une relation au sens où l’autre est reconnu en tant qu’autre. C’est une différence avec le génocide ou l’acte terroriste où l’autre n’existe plus comme être singulier. 1 Tractatus, 5.6. 2 Aristote, Ethique à Nicomaque, livre IX Au contraire, l’acte de lecture, qui est l’usage de la langue, est une relation apaisée avec la pensée de l’auteur. Confronter ma pensée avec celle d’un autre permet le développement et le perfectionnement

En le faisant l’analyse du langage et du linguistique est en effet nécessaire pour éviter les ambiguïtés et obscurités qui peuvent constituer de sérieuses objections a une argumentation. Et on peut ajouter plus précisément que le but de la méthode logico analytique de Russell est de clarifier les problèmes philosophiques en examinant et clarifiant le langage. Quand on vient au terme de philosophie continentale, on dit que le terme a été forgé par les philosophes analytiques pour designer la tradition

(l'ontologie), est lié à notre perception des choses, (l'ontique), et notre perception des choses est liée au langage. - "Une réponse qui ne peut être exprimée suppose une question qui elle non plus ne peut être exprimée." (L.Wittgenstein, Tractatus logico-philosophicus, 1921, proposition 6.5) - "L'Humanité ne se pose que les questions qu'elle peut résoudre." (Karl Marx) - "Ni absolu, ni relatif ; ni abstrait ni concret ; ni confus ni complexe ; ni adéquat, que chérira Spinoza, mais en latin ; ni

«  Les frontières de mon langage sont les frontières de mon monde » est une citation extraite du « Tractatus logico-philosophicus, » œuvre du philosophe britannique d’origine autrichienne, Ludwig Josef Johann Wittgenstein, parue en 1921, qui montre les limites du langage et de la faculté de connaître de l'homme. Elle introduit un débat qui suscita de nombreux travaux et qui soulèvent plusieurs questions : Tout d’abord : Existe-t-il une pensée sans langage ou sans le langage l’homme est-il

M. Heidegger (1889-1976) Être et Temps (1927) Introduction à la métaphysique (1935) Essais et conférences (1954) Apports à la philosophie (posth.) ; L. Wittgenstein (1889-1951) Tractatus logico-philosophicus (1921) De la certitude (1951) Investigations philosophiques (posth.) ; W. Benjamin (1892-1940) articles « L'Œuvre d'art à l'époque de sa reproductibilité technique », « La tâche du traducteur » in Œuvres ( en 3 volumes

| | | | | |* "Ce dont on ne peut parler, il faut le taire." (Wittgenstein, Tractatus logico-philosophicus) | | |"Le pouvoir est là tapi dans tout discours que l'on tient, fût-ce à partir d'un lieu hors pouvoir." (Roland Barthes, Leçon) | |L'art

lorsque le temps devient espace : analyse du « Deuxième livre d’études pour piano », Paris, l’Harmattan, 2007. Cauquelin, Anne, Court traité du fragment. Usages de l’œuvre d’art, Paris, Aubier-Montaigne, 1986. Damisch, Hubert, Traité du trait, Tractatus tractus, Paris, Edition de la Réunion des musées nationaux, 1995. Davila, Thierry, Marcher, créer : déplacements, flâneries, dérives dans l’art de la fin du XXe siècle, Paris, Regard, 2002. Delaplace, Joseph, György Ligeti : un essai d’analyse

« Wittgenstein, Finitism, and the Foundations of Mathematics » (1998), et il fut chercheur à l’Université de St. Andrews et à l’Université de Boston avant d’enseigner à l’Université d’Ottawa de 1994 à 2003. Il a publié une introduction au Tractatus Logico-Philosophicus (2004), co-dirigé la publication de 9 recueils d’articles et numéro spéciaux de revues, et publiés plus 60 articles en philosophie des mathématiques et de la logique et en théorie de la connaissance, dont plus d’une vingtaine sur Wittgenstein

consciente du porte parole, de manipuler la pensée de l’autre individu lors d’évoquer la réalité. Pour ce dernier axe, nous allons aborder les possibles implications morales de la parole. D’après l’œuvre de Ludwig Wittgenstein, Tractatus Logico-Philosophicus, 1921, il dit : « Ce dont on ne peut pas parler, il faut le taire » .Ici l’auteur veut nous montrer, qu’on ne peut pas tout dire. Pour lui ce dont on ne peut pas parler ce sont les mensonges, une vérité qui soit douloureuse, ou une parole

et à montrer une profonde analogie entre la situation où nous nous trouvons en fin de II (l'impossible définition de nous-mêmes) et ce qu'il appelle "l'inexprimable" dans le Tractatus logico-philosophicus (6.522). On peut même, à la lumière de cette dissertation, bien mieux comprendre la portée de la dernière phrase du Tractatus : lorsque Wittgenstein nous enseigne qu'il faut bien, contraints et forcés, taire l'inexprimable, il nous place dans une position intolérable : car même si nous ne pouvons