Train fantôme

Elvire, symbole de toutes les femmes bafouées par le libertin, puisque Dom Juan dit « je crois reconnaître cette voix ».  Puis allégorie de la mort et du temps, avec « sa faux à la main », qui s’envole littéralement. Forme indéterminée, « spectre, fantôme ou diable, « corps ou esprit » s’interroge Dom Juan, insaisissable et changeante, le spectre contraste avec la statue, dont il annonce la venue. C) La statue: Étrangement animée, mais image de la mort et de la pétrification que redoute tant Dom

souvenir de mes rêves de cette nuit, pourtant, j'ai très mal dormi, et je suis certain de m'être reveillé mais je n'en ai plus aucun souvenirs. Aujourd'hui, je vais faire une éventuelle promenade au cimetière, car, l'apparition de ma femme sous forme de fantôme a éveillé des soupsons, il faut que je découvre ce qu'il se passe, et pourquoi elle ré-apparait, comme ça, après 1 ans. Probablement qu'elle était contrarié, je ne sais pas, et j'étais décidé a le découvrir. Je pris un sac, avec un nécéssaire comme

la voûte: un torrent de lumière plus éblouissante que celle du jour fond par celle ouverture; une iëte de chameau horrible, autant par sa grosseur que par sa forme, se présente à la 10 fenêtre; surtout elle avait des oreilles démesurées. L'odieux fantôme ouvre la gueule, et, d'un ton assorti au reste de l'apparition, me répond: Che vuoi2 ? Toutes les voûtes, tous les caveaux des environs retentissent à l'envi du terrible Che vuoi? \ Je ne saurais peindre ma situation; je ne saurais dire qui soutint

passe. « Et quand la fatigue baissait ses paupières, elle voyait Camille dans le noir, elle rouvrait les yeux en sursaut » « Il lui semblait voir, sous l’arche du pont, passer de longues traînées de noyés qui descendaient au fil du courant. » Le fantôme de Camille ne veut plus les laissées, il ne leur laisse aucun répit, cet âme est tourmenté et ne laissera jamais Thérèse et Laurent en paix. Thérèse et Laurent deviennent fous, le fait d’avoir commit l’irréparable les tourmentent jusqu’au plus haut

relate les soirées qu’il a passée avec sa compagne, sur son balcon (soirées d’été). Ce poème est teinté de moments agréables. XXXVII. LE POSSEDE L’auteur écrit sur le thème du Diable. Il semble prendre le rôle d’un adorateur de l’Enfer. XXXVIII. LE FANTOME Les ténèbres. Il semble décrire son état d’esprit très sombre et disgracieux, qui s’éclaire en voyant sa femme. Le parfum. L’auteur interpelle le lecteur sur les sensations relatives à l’odorat. Ces odeurs particulières qu’il décrit, semblent caractériser

L’action se passe à Londres, la veille de Noël, au 19ème siècle et l’action dure toute la nuit. -clic- - Ebenezer Scrooge : C’est un vieil homme, avare. Il ne s’intéresse à personne. Il vit seul. L’esprit des noëls passés, présents et futurs Le fantôme de Marley : C’est l’ancien associé de Scrooge. Il est mort depuis 7 ans. Cratchit : C’est l’employé de Scrooge. Il travaille dur, sans jamais se plaindre. Il a une femme et des enfants dont un qui est très malade. Fred : C’est le neveu

chambres secrètes… Temps : les vacances, l’enfance, un rêve, le soir, le matin tôt, le crépuscule (couché du soleil), l’aube, la nuit, le brouillard…(toutes les heures troubles où la vision perturbée) Personnages : sourcier, ange, démons, monstre, fantôme ; loup garou, vampire (mort-vivant), spectre, diable, doubles, poupée vivante… Objets : la baguette magique, le miroir magique, le tapis volant, la lampe merveilleuse, voiture volante… Rédaction du texte en se divisant en petits groupes

détermination et l’ingéniosité du trio les conduiront à la découverte d’un trésor enfoui depuis des siècles, mais qui alimente toujours la légende d’Oskana. Le souvenir du massacre des bisons des plaines changera à jamais les hivers de l’Ouest canadien. Les fantômes de Spiritwood Un soir d’orage, un groupe d’adolescents dont fait partie Ethan trouve refuge dans une école de campagne abandonnée, près de Spiritwood. Pour passer le temps, ils se racontent des histoires à donner la frousse, dont une légende concernant

On peut constater qu’il est attiré par l’infini et ce qu’il y a après la vie, attiré aussi vers Dieu. Il ne sait pas si la vie s’arrête après la mort ou si elle continue et les anges, les spectres, les fantômes sont les liens entre ces deux mondes différents par exemple dans Le Pont : « fantôme blanc, vierge ». Il utilise le champ lexical de l’infini dans la plupart de ses poèmes en particulier dans le poème IV «ombre infini, abîme sans fond, dieu, espace » ainsi que dans IBO « immense, éternelles

et qui, sa bouche sur la mienne, buvait ma vie entre mes lèvres ». En conclusion, « le Horla » pourrait être un vampire différent des légendes habituelles puisqu’on retrouve certains éléments de cette légende de base, il pourrait être aussi un fantôme notamment par rapport à son invisibilité ou tout simplement une hallucination du personnage puisqu’il nous explique le fonctionnement du cerveau et de l’imagination à un moment donné.