Traité De Lisbonne Et Principe De Primauté

Pour organisations internationales, ce traité est appelé acte constitutif de l'organisation internationale. Il définit la compétence, la structure, et le fonctionnement de l'organisation. Une fois que ce traité est rédigé et signé, il doit être ratifié par chacun des Etats membres. Tant qu’il n’est pas ratifié, l’organisation ne peut être créée.   Compétence des organisations internationales : Les organisations internationales sont gouvernées par le principe de spécialité. C'est-à-dire qu'elles

des obligations en vertu du droit international. Cette organisa° internationale existe par la volonté des Etats mais elle a aussi une existence propre. Les OI st apparues dès le 19ème siècle. Avant il y avait une coopération entre les Etats par traités puis il y a eu la mise en place d’une coopération organisée -> organisation internationale Après la 2nde GM, les OI se st multipliées car il y a de + en + de domaines et parce qu’elles ne st pas ttes universelles. Le + svt, les OI vont regroupées

PREMIERE PARTIE : Théorie générale des Institutions Il s’agit d’un ensemble de notions, principes. Ces notions sont utiles pour un bon fonctionnement des institutions étatiques. Certaines de ces notions sont invariables=>ex :La Constitution, l’Etat. Quant à leurs exigences mais non pas quant à leur idéologie. Elles sont variables quant à leurs contenu. Le principe de la souveraineté (le fondement du pouvoir) est de donner la légitimité au pouvoir. La séparation des pouvoirs

Les parlements, les arrêts de règlement et le refus de l'enregistrement des ordonnances royales - L'absence d'uniformité du droit à la veille de la révolution française - L'apport de la révolution et de Montesquieu : l'égalité devant la loi et la primauté de la loi - La réduction des pouvoirs des juges - Le problème de l'interprétation de la loi et le référé législatif - Le Code civil et l'émergence d'un équilibre entre la loi et la jurisprudence - Le rôle de la jurisprudence selon Portalis - Points

constitutionnels inspirés du principe de la séparation des pouvoirs Le parlementarisme et le présidentialisme sont deux systèmes d’une inspiration identique (le principe de la séparation des pouvoirs) mais ils divergent dans leur interprétation de ce principe et leur pratique constitutionnelle. On étudie les différentes lectures de ce principe dans le système présidentiel et dans le système parlementaire en tant que deux interprétations et deux pratiques différentes du même principe, à savoir la séparation

contrats . Il y a des cas exceptionnel en France dans lesquels les juges qui sont donc auteur de décisions sont autorisé non pas en appliquant une règle de droit mais en appliquant l'équité qui est une idée, c'est ce qui paraît juste et équilibré . En principe le juge ne doit pas jugé selon l'équité mais selon la règle de droit et il décline cette règle à la situation qu'il a à régir . C'est le cas par ex de l'art 270 du CC qui dispose «L'un des époux peut être tenu de verser à l'autre une prestation

-règlement La jurisprudence : -elle interprète la loi et la complète -l ’adapte à l ’évolution sociologique (divorce) et aux besoins nouveaux(R sans faute) ou loi trop rigide ( recherche de paternité) La Doctrine : enseignement , traités (Dalloz) Sources internationales Traités internationaux pour régler des conflits de lois , ou pour uniformiser le droit , dans la relation internationale uniquement ou encore pour créer une loi applicable aux relations internes et internationales . Les Conventions

contrôle de conventionnalité jusque-là dévolu aux juridictions de droit commun conformément à sa propre jurisprudence (Cons. const. 15 janv. 1975, IVG). Le dialogue des juges est un élément essentiel pour garantir l’effectivité, l’unité et la primauté du droit de l’Union. Ce dialogue repose aujourd’hui sur la faculté du juge national de pouvoir poser une question préjudicielle en interprétation à la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) en cas de doutes sur le contenu d’un texte de l’Union

(Zaïre, 1732). Mais il est surtout pour l’Europe un prince de l’esprit et des idées philosophiques, qu’il diffuse par ses poèmes (Poème sur le désastre de Lisbonne, 1756), ses contes philosophiques (Zadig, Candide), ses essais historique (Le Siècle de Louis XIV, 1751) et son dictionnaire philosophique (1764). Il écrit des textes comme Traité sur la tolérance en faveur des victimes d’erreurs judiciaire (Callas, Sirven, Lally-Tollendal). Bibliographie : Œdipe (1718), La Henriade (ou La Ligue

raison dans l’ordre philosophique. On ne fonde plus les principes de la société sur des critères divins mais sur des critères rationnels (= la raison). 2/ L’écrit constitutionnel, manifestation politique du souverain Titre premier de la Constitution de 1958 : « De la souveraineté » = on place au sommet la question de la souveraineté. On peut parler de construction historique de la souveraineté. La souveraineté est aujourd’hui un principe fondamental de tout Etat, de toute Constitution. Dire qu’un