Traité De Lisbonne Et Principe De Primauté

de l'Union européenne. La Cour de justice de l'Union européenne (CJUE) a établi (arrêt Costa contre Enel du 15 juillet 1964) que le droit communautaire s'intégrait aux systèmes juridiques des Etats membres qui doivent le respecter. C'est le principe de primauté du droit européen sur les droits nationaux. Le droit communautaire est l’ensemble des règles de droit applicables au sein de l’UE ,ces règles s’appliquent aussi bien aux institutions européennes qu’aux Etats membres ,mais aussi aux citoyens

toutes ses dimensions : trop large. Le traité de l’Elysée fut signé par l’Allemagne (RFA) et la France le 22 janvier 1963 intitulé traité de coopération et d’amitié avec le chancelier Konrad Adenauer et le Général Charles de Gaulle. Il s’agit de sceller solennellement la réconciliation des 2 pays et crée un début d’Europe. On publie un manuel d’histoire commun à la France et à l’Allemagne, dont l’idée est apparue en 2003 lors du 40e anniversaire du traité de l’Elysée. Elaboré en commun avec des

confère un caractère supérieur des traités aux lois. L’article 88- 1 assoit l’autorité du droit européen, complété par une révision constitutionnelle du 4 février 2008, art. 88-1 : « La République participe à l'Union européenne constituée d'États qui ont choisi librement d'exercer en commun certaines de leurs compétences en vertu du traité sur l'Union européenne et du traité sur le fonctionnement de l'Union européenne, tels qu'ils résultent du traité signé à Lisbonne le 13 décembre 2007. » L’autorité

affaires sont statuées par un juge unique : le JAF ( : juge des affaires familiales), le juge pour enfant, le juge de l’expropriation, le juge de la mise en état, le juge de l’exécution. Le TGI a une plénitude de juridiction, appelée compétence de principe : il est compétent pour chaque affaire, dès lors qu’elle n’est pas donné à une autre juridiction. Il se doit d’être compétent dès que la demande dépasse 10 000€ ou que la demande est indéterminée. (Voir page 7 du document).Il a aussi un domaine de

européenne, issue du traité de Lisbonne (13 décembre 2007) entré en vigueur le 1er décembre 2009 Le traité de Lisbonne contient une série d’amendements au traité sur l’Union européenne (TUE) et au traité instituant la Communauté européenne (TCE) qui devient « Traité sur le fonctionnement de l’Union européenne » (TFUE). Il procède également à une fusion des piliers et dote l’Union de la personnalité juridique. Dans le TFUE, l’on retrouve bon nombre de dispositions générales de l’ancien traité telles les règles

Européenne (UE) est l’exemple même de cette unification et intégration avancée, la question se pose toutefois de savoir si on peut réellement la qualifier d’organisation régionale. La qualification de l’Union Européenne depuis sa création par le traité de Maastricht en 1992 est une question existentielle du droit communautaire. En effet, pouvoir la qualifier et la définir juridiquement permettrait d’obtenir un modèle de base pour l’analyser et répondre aux silences et aux problèmes que rencontre

organisation classique A) les caractéristiques d'une organisation IN classique. A l'origine de ces organisations, on trouve des États qui prennent la décision de se réunir pour coordonner leur action, traiter ensemble un sujet donné. Pour coordonner au mieux leur collaboration, les États concluent un traité alors constitutifs de l'organisation IN. Les organisations IN fonctionnent selon une logique de coopération, càd qu'elles prennent des décisions grâce à la réunion de représentants des États qui gardent

DROIT INSTITUTIONNEL COMMUNAUTAIRE M. de L’ECOTAIS 21-01-2011 Traité de l’UE (europa.eu) Jean Paul JACQUE « droit institutionnel de l’UE » édition Dalloz Claude BLUMANN et Louis DUBUIS « droit institutionnel de l’U » édition Litec Giles RIDEAU « droit institutionnel de l’UE » édition LGDJ Guy ISAAC « droit communautaire général » édition COLIN « Grands arrêts » édition Dalloz Tome 1 Jurisclasseur Europe Revues : Europe, RMC, RTDE (revue trimestrielle de droit européen), CDE (cahier de droit européen)

CONSTITUTION C’est la norme fondamentale de et dans l’état, que celui-ci soit simple ou complexe (éventuellement qu’il soit fédéral). La constitution de l’état fédéral se superpose à celle des états fédérés. La constitution comprend les grands principes relatifs à la répartition des compétences, au fonctionnement des institutions. Elle explicite les limites des pouvoirs des organes de l’état : gouvernement, parlement, juridictions. Elle spécifie les règles du jeu politique (type de démocratie

l’homme et les principes de la souveraineté nationale. Si on prend les deux textes on voit que toutes les dispositions de la DDHC concernent les droits de l’homme et les principes de la souveraineté nationale. Par conséquent toute la DDHC entre dans le bloc de constitutionnalité de 1958. D’ailleurs le conseil constitutionnel fait régulièrement référence à cette DDHC. Pour le préambule du 1946, c’est presque la même chose, il concerne presque totalement les droits de l’homme et les principes de la souveraineté