Transcendance

Multitude (peuple), en la personne du prince souverain. Bodin marque même un quasi transcendance entre le roi, et ses sujets en affirmant que le souverain est l’imitation de Dieu sur Terre ; « Si donc le sage prince doit au maniement de ses sujets imiter la sagesse de Dieu au gouvernement de ce monde, il faut qu’il se peu souvent en vue de ses sujets, et avec une majesté convenable à sa grandeur et puissance ». Cette transcendance entre le souverain et le peuple, en plus de poser les bases de la structure

traversent à peu près toutes les sociétés humaines, des sociétés primitives aux sociétés dites avancées. Il peut s’exprimer dans un monothéisme comme dans un polythéisme voire par une attitude religieuse dénuée de toute référence à une quelconque transcendance. En effet, certaines attitudes relatives notamment à la nation (hymne, drapeau, commémorations) peuvent rappeler l’attitude religieuse. Historiquement, la religion a servi à la fois d’explication du monde et de fondement du lien social. C’est

existentialiste et subjective. Son idée est la suivante : en enfantant et en allaitant, la femme reste dans l’animalité, l’immanence, tandis que l’homme, débarrassé de ces obligations, chasse, crée, se détache donc de son animalité pour entrer dans la transcendance. II. Le pouvoir appartenait dès la Préhistoire aux hommes, et si les femmes bénéficiaient de valeurs positives, comme la fertilité, elles n’avaient pas de sort enviable. L’homme restait le maître. À mesure que l’agriculture s’est développée, que

Introduction I) La religion selon l'auteur A. Définition B. Caractéristiques II) Une religion qui est omniprésente A. Du point de vue de l'auteur B. Exemples concrets Conclusion La religion est une institution liée à l'affirmation d'une transcendance définissant un domaine spécifique, celui du divin ou du sacré. Elle rassemble les croyants dans une communauté qui est soudée par les convictions et pratiques de chacun des adhérents (cérémonies, rites, règles de conduite obligatoires). Dès la

ciel couvert et le sol visible au 1er plan. * L’univers représenté est celui de la terre, du monde réel. * La seule verticale du tableau qui dépasse et la croix, tennue au-dessous du prêtre. * Elle représente une aspiration vers la transcendance (fils, père, st esprit…) * Tableau =3m15 sur 6m68.Il est réservé traditionnellement à la grande scène historiques. * Courbet veut donc affirmer de manière provocatrice que tous les sujets de tableau d’avoir une égale unité. * Elément

la mort. L’immortalité veut dire que mon âme ne mourra jamais. D’une religion à une autre il y a des différences face à l’au-delà. Toutes les religions ont une différence entre le sacré et le profane. On appelle sacré tout ce qui manifeste une transcendance radicale. Pour que l’être humain devienne religion, il faut qu’il est le sentiment d’être « dépasser ». Discours sur la Religion « La religion est le sentiment de notre dépendance absolue » Schleiermacher.

des connaissances permettaient. Ainsi l’humanité a–t-elle dès l’origine attribué à des êtres mythiques, à des principes sacrés l’explication du monde, de la nature, et des différents phénomènes. Le sentiment religieux en tant que croyance à une transcendance à laquelle le monde profane est relié et dont même il dépend est constitutif de toutes les sociétés humaines. Il est donc naturel pour l’homme d’élaborer des croyances (les plus anciennes revêtent pour nous la forme de superstition mais elles

Dieu/ hommes ( // gnosticisme ) 3. La réponse de Nicée premier concile œcuménique CONTRE AVIS D'AVANT Jésus est « Dieu, né de Dieu, engendré non pas crée, de même nature que le Père » => Jésus est Dieu, fils de Dieu => met en question transcendance de Dieu ( monoth tjs mais paradoxe Dieu Père/ Dieu fils/ Esprit ) Nicée exerce liberté de création conceptuelle dogmatique => va au delà du texte biblique => bousculant logique trad au profit d'un paradoxe 4. Le concile de Constantinople

sujet; il ne limite pas non plus la connaissance du sujet en raison de son statut; ni ne pose un sujet pur comme existant réellement. Il y a dans la phénoménologie, en raison du statut des essences (Eidos), la possibilité d’avoir une forme de transcendance dans l’immanence. Les essences sont chez Husserl le fond constitutif des choses empiriques, l’idéal qui construit et détermine mes rapports aux choses. Cependant, il y a une tension qui ressort de cette affirmation, car il y flotte un risque de

Théodore Adorno, et ajouterons-nous des thèses de la déconstruction lors même qu'elles ne citent pas explicitement le sublime. Par quoi, la littérature peut répondre de tout, même de ce qu'elle ne peut pas présenter. Le jeu de l'immanence et de la transcendance, rapporté à la littérature, tel qu'il est formulé par la référence au sublime, permet une double caractérisation de la littérature : donner la littérature pour une réponse à ses objets, à tout objet, à ce qu'elle tient pour sa question — l'imprésentable