Transculturel

l'émission et de l'audition de la voix et du chant24, le cerveau animal (des mammifères et oiseaux notamment montrent des compétences innées en termes de rythme, notamment utilisées pour le langage25. La musique et la danse ont des aspects fortement transculturels ; il semblent universellement appréciées au sein de l'humanité, depuis 30 000 ans au moins d'après les instruments découverts par l'archéologie26, et la musique d'une culture peut être appréciée d'une autre culture dont le langage est très différent27

d’une société à une autre. Il existe des variations des émotions liées à un même antécédent déclencheur (Mesquita et Frijda, 1992). De même il existe des variations en matière de catégorisation. Russel (1991) s’est interrogé sur la « réalité » transculturelle des phénomènes émotionnels. Selon les langues, le nombre de vocabulaire émotionnel peut être riche ou limité. Parfois on ne peut retrouver d’équivalence terminologique pour définir une émotion existante ou alors certaines cultures n’ont pas de

culture par la propagation d'un modèle de réseau dont l'effet est une forme hybridic de l'identité culturelle (dans lequel il est de plus en plus difficile de discerner ce qui est le nôtre, où finit et où commence ce qui est étranger). Une nature transculturelle des communautés multiculturelles crée des conditions favorables pour le dialogue interculturel pour devenir plus intense et plus profonde. Et l'identité culturelle est le sentiment actuel d'un individu de qui il / elle est du point de vue culturel

besoin d'adresse sociale et de problèmes structurels. Cette dichotomie a conduit les cliniciens et académiciens à se fonder sur une conceptualisation postmoderne des détresses mentales et du bien-être. De telles approches, parmi les psychologies transculturelles et "hérétiques", sont principalement basées sur la morale ethnique et culturelle.. Certains pays tentent de lutter contre les préjudices fait aux minorités dans les services psyhiatriques. Perception et discrimination Stigmatisation La

africaines et cultures occidentales coloniales et postcoloniales, et cultures orales et écrites, constitue une deuxième caractéristique de leur postmodernité.» (Lusebrink, 2004 : 9) Ainsi, pour montrer cet aspect transculturel des Soleils des indépendances, nous utiliserons la critique transculturelle que Josias Semujanga définit comme étant : «La méthode [Type text] 4 d’analyse qui vise à montrer comment une œuvre dévoile la culture de «soi» et de l’«Autre» par des coupes transversales sur les genres

efficace, et parvenir à mener des existences bien remplies et satisfaisantes * d’encourager l’ensemble des citoyens à participer pleinement à la société et à influencer les décisions qui affectent leurs vies * de favoriser la compréhension transculturelle et la résolution pacifique des conflits. Ces objectifs sociaux et économiques sont au cœur des systèmes éducatifs nationaux. Pour les atteindre, les enseignants doivent être préparés pour qu’ils aient les compétences requises pour enseigner

culturelle émane d’un sujet-clé , car pour les uns comme pour les autres, l’autre culturel est à la fois l’objet d’étude et le sujet de la dynamique de la rencontre interculturelle. Or, ce bulletin thématique focalise sur l’apport d’une réflexion transculturelle ou transfrontalière pour élucider non seulement les conceptions diverses de l’interculturel, mais aussi pour promouvoir nos approches de formation et d’éducation interculturelles (cf. Dasen & Perregaux, 2000). C’est pourquoi nous nous interrogeons

d'implication et de participation qui se sont développées lors des manifestations artistiques et analyse leurs effets sur les participants. Au travers du concept de « décalage », au sens du « dislocation », cette étude se penche sur les projets transculturels et introduit un nouveau vocabulaire dans le domaine de la recherche sur les arts de la rue et de la pratique artistique. Le décalage y est considéré sous deux aspects : tout d'abord sous sa forme créative, lors d'interventions artistiques dans

développement d’une discipline que réunissent la psychanalyse et l’ethnologie. Il faut remarquer que Devereux n’a pas seulement débattu théoriquement la question, mais l’a fait, comme Géza Róheim, dans la pratique, à travers d’une psychothérapie transculturelle. Devereux a développé ce qu’on appelle le « complémentarisme ». Selon lui, les phénomènes humains peuvent être expliqués à partir d’un double-discours, dans ce cas là pour la psychanalyse et pour l’ethnologie. Il cherche dans les peuples dits

d'habitude, le relativisme ne résiste pas à l’examen. D’abord, il existe au moins un point commun à toutes les cultures humaines dans le monde entier : la prohibition de l’inceste. Il existe donc au moins une vérité universelle - ou plus exactement "transculturelle" - apte à fournir, potentiellement, un critère d'évaluation des diverses cultures. Et à y mieux regarder, en fait, il existe une foule de points communs dans les cultures humaines, ne serait-ce qu'en raison de la morphologie humaine. Le groupe