Transfiguration Du Réel

Surréalistes > poète = écrire sous la dictée de l’inconscient, de pratiquer l’écriture automatique et d’explorer l’univers du rêve. != procède à la retouche > garder que les images les plus étonnantes et les plus propres à servir leur dessein de transfiguration du monde par le moyen de l’écriture. Beauté poème médiateur entre l'homme et le divin Classiques ou Parnassiens > la folie de l’inspiration est secondaire. Pour d’autres « beau poème » = musique : cf. Verlaine « De la musique avant

rien, plus un sou" : l10...) - Dimension épique d'un peuple qui va tout dévaster ("c'étaient ces choses" : force de la nature) pour reconstruire un monde meilleur ("nouvelle terre repousserait"). Peuple magnifié par la tonalité épique. On quitte le réel pour l'épique et le mythique. Conclusion : Cette scène n'est pas une simple révolte dans le nord d'un groupe de mineurs. C'est une fin du monde pour les bourgeois effrayés devant un peuple affamé et en colère qui marche vers le progrès. C'est

passage dont nous allons parler est celui de la mort de la machine, la Lison, vue par son mécanicien, Jacques Lantier. Nous allons nous pencher sur : l'aspect tragique de cette mort la métamorphose de la machine en être humain la transfiguration du réel Dès le début de l'extrait, Zola nous indique que la scène est vue par Jacques Lantier à travers la focalisation interne qui démarre à « ouvrit les paupières, ses regards, ses yeux » avec le champ lexical du regard, de la vue. Cette focalisation

poète. Vers 1 à 4 : Il décrit le paysage des étangs et le mouvement du vent. Vers 5 à 8 : Solitude du personnage pendant ses promenades « moi seul ». Le poète s’enferme. Vers 7 à 10 : Verlaine a une vision, une hallucination, c’est la transfiguration du réel par l’imaginaire Vers 11 et 12 : retour à la promenade Vers 13 à 16 : paysage identique malgré tout ce qui s’est passé C’est une organisation concentrique de l’extérieur vers l’intérieur du personnage. 2- Effet de continuité, fluidité

imposées par la raison, les contraintes héritées de la tradition et les habitudes sociales. Il exerce d’abord sur le langage cette puissance créatrice : écriture automatique, écriture collective, association libre des images. Mais cette transfiguration du réel s’opère également dans tous les autres arts, à travers le monde. Nombreux sont les peintres, les sculpteurs, les photographes, les cinéastes que le surréalisme a inspirés et conduits à la réalisation d’œuvres qui gardent leur puissance de

persos, des thèmes, des lieux. Parler populaire participe à cette diversité  « godelureau », « baragouin », « coucher », « femelette ». Création de néologismes avec l’emploi du suffixe –eur  « défonceur de porte, « mépriseur d’hô ». B) Transfiguration du réel Utilisat° poétique transforme malheur en qlqc de beau, d’artistique  Tebaldeo « poésie est la plus douce des souffrances » De même elle transforme le laid, le monstrueux en qlqc de beau  débauche de Lorenzo devient un masque dont il ne

et les dates ne sont pas précises. b) Une autobiographie ? Définition : « récit rétrospectif en prose qu’une personne réelle fait de sa propre existence, lorsqu’elle met l’accent sur sa vie individuelle, en particulier l’histoire de sa personnalité ». Cependant, le récit n’est pas rétrospectif, le récit n’est pas au passé, le « je » ne renvoie pas à une personne réelle et la personnalité reste énigmatique. VI PISTES DE LECTURES Pourquoi et pour qui le narrateur écrit-il ? Comment est

lecteur, mais elle est plutôt pour lui comme une sorte de thérapie mnémonique ; c’est sa nécessité de conter : écrire c’est se souvenir. Tout d’abord l’emploi des photos se révèle un moyen de combler l’espace vide de sa mémoire ; les images, tirées du réel, dessinent un portrait de la mère et du père, tout en permettant à Perec d’en ébaucher une physionomie. Mais les iconiser ne semble pas être son seul but ; en les décrivant il cherche aussi à installer un lien direct avec eux, surtout avec la mère

qui se confond avec celui de l’enfant.· La féérie de la poésie :· la poésie transfigure par le procédé de la personnification et de l’allégorie.· La construction régulière mat en relief la transfiguration : les deux octosyllabes ponctuent un itinéraire magique qui commence dans le réel et s’achève dans le réel. À l’intérieur, le jeu des correspondances, des images, la chronologie propre au narrateur, donnent une vision fragmentée, kaléidoscopique mais harmonieuse du monde en éveil.· La poésie permet

transmutation de la boue d’un réel fort prosaïque en un or poétique ? Nous verrons tout d’abord quels sont les différentes réalités triviales et monstrueuses que recoupe le terme de « boue », puis nous montrerons comment le poète transfigure en or poétique cette vile réalité et enfin quels sont les enjeux esthétiques d’une telle conception de la poésie. Développement1re partie : Baudelaire, poète de la boue (c’est-à-dire du réel le plus trivial, qu’il décrit