Transfiguration Du Réel

reproduction du réel ou en est-il sa transfiguration ? Tout d’abord, le réalisme est un courant littéraire du XIXème siècle (vers 1850-1890), qui s’oppose au romantisme et qui veut faire de la littérature le reflet de la réalité en dépeignant la société d’époque : l’importance des classes moyennes, ouvrières et bourgeoises, le déclin de la noblesse et l’importance du contexte avec des connaissances scientifiques (naturalisme). Le réalisme de Stendhal est scientifique car ses sources sont réelles ; il n'inventait

Le roman est un genre littéraire qui trouve son origine dans l’Antiquité, avec l’épopée par exemple. Mais est-ce que le roman rend compte fidèlement du réel, ou engage-t-il une vision personnelle du réel ? Nous verrons que certains éléments du roman relèvent d’une écriture réaliste, et que d’autres éléments métamorphosent cette réalité. Certains romanciers tentent de rattacher leur récit à la réalité. Emile Zola par exemple, qui va enrichir ses romans de descriptions détaillées, grâce à la recherche

du réalisme, à travers les quatre-vingt-onze romans de comédie hulmaine , dans laquelle il entend mettre en évidence les mutations sociales. Mais la vision de balzac montre que l’écriture réaliste doit dépasser la simple copie du réel : il y substitue une transfiguration et une symbolisation de la matière. Zola, Comment Robbe-Grillet présente-t-il le roman du XIXème siècle ? Robbe-Grillet présente le roman du XIXème siècle comme étant l’opposé du roman romanesque. L’écriture n’a plus de

nous expliquera en quoi il y a transfiguration du réel dans l’image qui nous est donnée du magasin, puis, grâce au second nous allons comprendre en quoi ce texte exprime la prise de conscience tourmentée du personnage de Denise face aux bouleversements provoqués par le grand magasin. Pour débuter, dans ce premier axe, nous allons expliquer en quoi il y a transfiguration du réel dans l’image qui nous est donnée du magasin. Il y a tout d’abord transfiguration du réel grâce a la souffrance de Denis

mendiant» Au niveau de ce poème on retrouve 3 mouvements :Le 1er du v.1 au v.9 qui montre la présentation du personnage, le 2eme du v10 au v.17 et qui montre la rencontre personnage/poète et le 3eme du v.18 a la fin et qui montre la transfiguration. D’abord, on distingue l’emploi des verbes d’actions au passe simple et une description a l’imparfait qui plane sur le poème une tonalité narrative (une rencontre banale),

florissant dans l’un des pôles artistiques les plus actifs. Un atelier qui sera légué à son fils. Commandé par le cardinal Julien de Médicis, futur pape Clément VII, vers 1516 ou 1517 pour la cathédrale de Narbonne, ville dont il était l’évêque, La Transfiguration est l’oeuvre ultime de Raphaël et l’oeuvre de sa maturité qui s’achèvera à la mort de son artiste en 1520. Néanmoins, une fois l’huile sur bois reçue, le cardinal la conservera finalement et n’enverra que la résurrection de Saint Lazare, autre

Nana (1880), Germinal (1885) et La bête humaine (1893). Dans ces extraits nous expliquerons dans quelle mesure ces textes prennent appui sur le réel et dans quelle mesure ils le transfigurent, avec les éléments réalistes et naturalistes et l’utilisation de métaphores et de personnifications. Dans l’extrait de Nana nous voyons que le texte appui sur le réel avec le cadre spatial temporel de Paris en 1865, pendant le Second Empire. Nous apprenons aussi le milieu social des deux personnages faisant

métaphore du soleil· Les vers sont des alexandrins et le poème est homométrique · Les rimes sont des rimes suivis · Le poème est composé de deux huitains et d’un quatrain.Comment La comparaison se précise entre le poète et le soleil qui sublime le réel Premier huitain : le soleil fait sortir le poète et est pour lui une source d’inspiration · Les deux premiers vers sont un complément circonstanciel de lieuPremier complément : · « 

(Leconte de Lisle, Hérédia…). Cocteau préconise au contraire une poésie du quotidien, consistant non à privilégier des éléments du réel choisis pour leur supposée qualité esthétique, mais plutôt à renouveler le regard porté sur l’environnement le plus prosaïque, afin d’éclairer sa beauté propre, son identité. Les termes employés par le poète pour qualifier cette transfiguration appartiennent au réseau lexical de la lumière : " un éclair ", " elle dévoile ", " une lumière qui secoue sa torpeur ". Ils renvoient

(Leconte de Lisle, Hérédia…). Cocteau préconise au contraire une poésie du quotidien, consistant non à privilégier des éléments du réel choisis pour leur supposée qualité esthétique, mais plutôt à renouveler le regard porté sur l’environnement le plus prosaïque, afin d’éclairer sa beauté propre, son identité. Les termes employés par le poète pour qualifier cette transfiguration appartiennent au réseau lexical de la lumière : " un éclair ", " elle dévoile ", " une lumière qui secoue sa torpeur ". Ils renvoient