Travestissement Au Theatre

I- LE CONTEXTE HISTORIQUEI- LE CONTEXTE HISTORIQUE XVIII me : un siècle marqué par les difficultés économiques et la philosophie des Lumières qui s’achève par la révolution française · Crise économique (guerre, famine, banqueroute de Law) · Affaiblissement de l’autorité de l’état, montée en puissance de la bourgeoisie, contestation des privilèges de la noblesse, importance de l’argent (les discriminations sociales et et les clivages de la société deviennent de plus en plus insupportables

éternelle » et le passage de l’imparfait itératif au présent de vérité générale avec le verbe « jouent » (l.14). Le deuxième espace représenté est la salle de théâtre, avec cette « vaste place, irrégulière et mal pavée » (l.16), où les acteurs ont pris place sous la forme de « groupes étranges » (l.17). Comme au théâtre au Moyen-Âge, les comédiens et les figurants viennent du peuple et sont indisciplinés puisqu’ils se déplacent « Tout cela allait, venait » (l.18) et s’expriment bruyamment

figures de style comme la métaphore. Jouant sur le motif des identités multiples, le théâtre et le roman mettent souvent en scène des personnages polyvalents, doubles et mystérieux « portant un masque » (ex : Dom Juan avec une duplicité acharnée.). On a donc une récurrence de thèmes comme l’inconstance, l’illusion (pièce de théâtre L'Illusion comique de Corneille), les figures minérales, la métamorphose, le travestissement ou le déguisement (comme dans L'Astrée), le rêve, le songe (La vie est un songe de Calderòn

leurs écrits. La nouvelle classe dominante étant la bourgeoisie, la littérature se fait naturellement l’écho de ces changements. Le théâtre prend alors une place importante dans la société. Désormais au théâtre, les auteurs cherchent avant tout à refléter le bien et les travers du milieu bourgeois. Les principaux représentants sont Marivaux qui joue sur le travestissement et le mensonge avec un grand souci de réalisme et Beaumarchais qui utilise la comédie afin de faire une satire de la société française

de l'époque convaincue qu'ils venaient d'entrer dans un nouvel âge illuminé par la raison dans ses oeuvres et écrits comme dans le théâtre les auteurs cherchent avant tout refléter les travers et les vertus du bourgeois. Ils accordent un intér t moindre la description des rois ou des nobles. Un de ces principaux représentants est Marivaux qui joue sur le travestissement et le mensonge avec un grand souci de . Marivaux est un journaliste, auteur dramatique et romancier français né le quatre févriers

de l'exagération bouffonne, des facéties burlesques (le jus et les sauces lui dégouttent du menton et de la barbe; s'il enlève un ragoût de dessus un plat, il le répand en chemin dans un autre plat et sur la nappe; on le suit à la trace), du travestissement (usage discret et médisant des noms antiques) Gnathon, selon certains chercheurs, correspondrait au personnage de l'abbé Louis-Roger Danse, chanoine de la Sainte Chapelle (mort en 1696). Le but de La Bruyère est aussi de rabaisser les grands

-nombreux débats sur la peine de mort dont Claude Gueux ou Le dernier jour d'un condamné -s'oppose également contre Napoléon III. -grand romancier et poète: Notre Dame de Paris , Les Misérables et Les Contemplations. - auteur de pièces de théâtre comme Hermanie. -oeuvres poétiques et autobiographiques c'est donc un auteur total. Présentation de l'oeuvre: -Les contemplations, 1856. -158 poèmes réunis dans un recueil de souvenirs, d'amour, de joie et de deuil. -Cette réponse à un

Parcours « Molière Le Malade imaginaire – comédie et spectacle » Objet d’étude : Le théâtre du XVIIe siècle au XXIe siècle Séquence 2 Acte III scène 10 de « je vs suis obligé, monsieur, des bontés que vs avez pr moi » à la fin de la scène Introduction 1) Le 3eme acte est l’acte de dénouement et on verra comment cette 10ème scène y participe. Les Diafoirus, Purgon et Fleurant ont disparu car ss l’influence de Béralde, Argan a refusé un lavement ce qui a braqué M Purgon. La place est dc libre

grammaires se font jour : celle de la blessure (Gina Pane, C. Burdon), celle du sang (Journiac, Pane) , l’expérience de la résistance physique (Vico Aconci, Stelarc, Nitsch…), la mise en danger, la mise en périle (Abramovicz, Yokohono, Burdon…), le travestissement (Molinier, Journiac, Cahun)… ® On peut se permettre de les classer aussi selon les utilisations du corps : corps en tant que chair, corps en tant que lieu (pane, orlan) l’artiste est l’œuvre, et le corps en tant qu’apprentissage cathartique

masquant leur véritablenature. Le théâtre-monde révèle la vision d'un monde illusoire et trompeur et est employé comme métaphore (filée) qui démasque cette comédie sociale « Le ministre ou le plénipotentiaire1 est un caméléon, est un Protée2 ; semblable quelquefois à un joueur habile, il ne montre ni humeur, ni complexion3... » (X,12) Il montre ses contemporains en perpétuelle représentation, comme le sont les personnages de théâtre : « Dans ces lieux de concours