Travestissement Au Theatre

Article « Les "lunettes québécoises"  : éléments de réflexion sur la mise en scène » Louise Vigeant Jeu : revue de théâtre, n° 80, 1996, p. 14-19. Pour citer cet article, utiliser l'information suivante : http://id.erudit.org/iderudit/26847ac Note : les règles d'écriture des références bibliographiques peuvent varier selon les différents domaines du savoir. Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y compris la reproduction) est assujettie

métaphore peut se révéler restrictive ou caricaturale. D’autre part, la notion de littérature peut entraîner des lacunes ou des hors sujet : il faut la cerner. Tombent dans le champ de la littérature aussi bien la poésie que le roman que le théâtre que les essais ou pamphlets. Sortent du champ de la littérature les écrits médiatiques ou même philosophiques. Par ailleurs, il existe un usage péjoratif du mot « tout cela, c’est de la littérature, ça ne nous fait pas avancer », comprenez : la littérature

personnages types de la Néa. Puis, nous pourrons étudier les procédés et caractéristiques propre à une fin de comédie. I/ Une mise en scène comique traditionnelle 1) La métrique : support du rythme et de l’unité musicale Le théâtre de Plaute appartient au genre appelé à Rome la « Comaedia Palliata », c’est à dire la comédie en « pallium », en « manteau grec ». On peut relever cet élément dans les vers de Cleostrata, qui avec insistance au vieillard ou est passé son manteau pour

et à sa représentation (tableau ; spectacle). Introduction: La comédie est une pièce de théâtre qui est la représentation, en action, des caractères et des mœurs des hommes, d’incident ridicules ou plaisant qui excitent le rire. Les ruses et stratagèmes ainsi que les déguisements et travestissement sont des ressorts particulièrement efficaces donc souvent employés pour distraire le public. Cette pièce de théâtre née dans l’Antiquité grecque, la comédie devient un genre populaire avec le succès de la

Olivier Dubois m’accompagnera dans le travail corporel Tout d’abord… Je voudrais faire un spectacle sur le théâtre. C’est-à-dire sur la seule fabrique de représentation capable de faire apparaître le vrai sous le faux, le corps sous le costume et le visage sous le masque. Je voudrais faire un spectacle qui dénonce l’illusion des images, de la représentation parce qu’elle en joue comme théâtre mais jamais comme pouvoir. Quel est le sujet d’Amphitryon ? Des hommes dépossédés de leur identité par des

une femme bafouée, une prostituée soumise à la tyrannie, corrompue par les excès qu’elle engendre. De ville fleur, elle devient une « fange sans nom », (I, 6) lieu par excellence de la souillure. Elle est un espace de perte des valeurs morales où le travestissement et la débauche sont valorisés.• Des valeurs perduesElle est également un espace où les valeurs patriotiques sont bafouées. Philippe et Lorenzo déplorent, sur un ton pathétique, la perte de ces valeurs (« Pauvre ville ! » « Pauvre patrie ! »(II

phases d’action et des phases d’observation. Tel un félin, elle observe puis teste son apprentissage : ce sont les phases d’inaction qui lui ont permis d’observer et de réfléchir. Elle a jugé le monde extérieur, a appris la dissimulation et le travestissement. Elle a su jouer avec les apparences, faire semblant pour arriver à ses fins. La marque de la première personne omniprésente souligne la volonté sans faille. On assiste à la mise en place d’un jeu théâtral pervers mais marqué par un certain stoïcisme

proses poétique.-> Abandon des règles de trois unités et bien séance.-> Théâtre spectaculaire. -> Sources historiques. III - L'action et oeuvres générales Introduction "Je ne voudrais pas écrire, ou je voudrais être Shakespeare ou Schiller". Musset affirme clairement l'influence des auteurs pré romantiques dans son oeuvres. Il persiste toutefois des différences majeurs entre les deux oeuvres Conclusion L'influence du théâtre shakespirien se fait donc fortement ressentir dans "Lorenzaccio", malgré

phases d’action et des phases d’observation. Tel un félin, elle observe puis teste son apprentissage. Ce sont les phases d’inaction qui lui ont permis d’observer et de réfléchir. Elle a jugé le monde extérieur, a appris la dissimulation et le travestissement. Elle a su jouer avec les apparences, faire semblant pour arriver à ses fins. La marque de la 1ère pers. omniprésente souligne la volonté sans faille. On assiste à la mise en place d’un jeu théâtral pervers mais marqué par un certain stoïcisme

cette théorie peut être mise en défaut par un exemple simple : le sommeil. En effet, lorsque l'on dort, nous ne sommes pas conscients mais nous continuons d'exister. De plus, le sommeil est un contre-exemple d'autant plus intéressant qu'il est le théâtre d'une activité psychique intense qui sera qualifiée plus tard par Freud (au XXème siècle) de « voie d'accès royale à l'inconscient »  : le rêve (sur lequel nous reviendrons plus tard). La théorie cartésienne de la conscience est donc remise en cause