Trois Champs Lexicaux

le lecteur est mis dans la même position que le personnage principal. Le lecteur arrive dans l'univers du roman, comme Etienne Lantier arrive à Montsou. (découverte des lieux et des autres personnages) Un espace hostile. a) Nuit: champ lexical de l’obscurité : « nuit sans étoiles, d’une obscurité et d’une épaisseur d’encre » « noir », « ténèbres », « noircis ». b)_ Route sans repère, solitude et cadre déshumanisé:_ « aucune ombre d’arbre ne tachait le ciel » « sensation de l’immense

puissance hostile et démesurée. - entrée dans un espace avec le premier mot « dans » = entrée dans la fiction, dans le roman, et dans un espace précisément décrit.
Omniprésence de cette nature, ce paysage écrasant. - paysage caractérisé par le champ lexical : - de la nuit, comme « ténèbres », mis en valeur à la fin du premier paragraphe ; « obscurité » « épaisseur d’encre » = mise en valeur de la « nuit sans étoiles » par le rythme ternaire de la première phrase. - Du froid, alors qu’on est en mars

Corpus Français 1ere S1 Vachon Léo La 1ère rencontre amoureuse fût pendant longtemps le thème privilégié au Théâtre. Nous allons à l’aide de ce corpus vous présenter les trois textes étudiés et nous constaterons donc une évolution au fil des siècles. Le thème ici évoqué est la 1ere rencontre amoureuse dans une pièce de théâtre, nous essaierons donc de tirer le maximum d’informations sur comment cette rencontre était représentée. Différents types de présentations ont lieu dans ces extraits

justice viendra sur nos pas triomphants Ma Mélinée ô mon amour mon orpheline Et je te dis de vivre et d'avoir un enfant Ils étaient vingt et trois quand les fusils fleurirent Vingt et trois qui donnaient leur coeur avant le temps Vingt et trois étrangers et nos frères pourtant Vingt et trois amoureux de vivre à en mourir Vingt et trois qui criaient la France en s'abattant. Louis Aragon, Le Roman Inachevé Problématique: En quoi la forme poétique de ce poème permet-elle une

du nord de la France) b) description en mouvement donc en évolution champ lexical du mouvement : « suivait », « marchait », « avançait » et « s’enfonçait » c) L’évolution spatio-temporelle Il marche depuis 1 heure et il est 3 heures. Il est parti de Marchienne pour aller à Montsou Il a parcouru 8 Km Il est passé des champs sur la grande route au petit chemin creux. d) Découverte progressive de la fosse. « trois braisiers » « village aux toitures basses et uniformes »(coron) , « cheminée

serein que Rimbaud émet a la mort nous empêche de comprendre immédiatement que la vie d’un jeune soldat s’apprête à finir. Mort : Froid (v11) –nuque baignant (v6) il est étendu (v7) –Pale dans son lit (v8) enfant malade (v10) Champ lexical Indice de mort : Il a froid (v11) Double rôle de la nature Rimbaud a vraiment mis l’accent sur la nature comme étant la mère du soldat et ces mémoires de jeunesse à travers le poème. Comparaison Souiriant comme

du refus : Anaphore : ‘je ne veux point’ dans les trois premiers vers met en relief le refus du poète. Le poète refus également : ‘dessiner ; tableaux ; peigner ; friser ; déguiser’. Au vers 12 ‘aussi ne veux-je’ on a une inversion pour mettre en relief la négation. On trouve aussi au vers 7 :’Mais’ une conjonction de coordination qui exprime l’opposition du poète entre ce qu’il veut et ce qu’il ne veut pas. b. La poésie savante : Champ lexical artistique : ‘architecture ; peinture ; tableaux’ cette

utilise le champ lexical de l’armée, de la guerre, ce qui met l’accent sur le combat entre l’auteur et les critiques. C’est une isotopie, mais aussi une métaphore filée. A la ligne 2 le mot « charger » rend déjà compte du champ lexical du combat. A la ligne 16 « comme une armée qui se tire d’un mauvais pas entre deux combats d’avant postes et d’arrière garde ». Les mots « boucliers », « bataille », « soldat » font aussi parti du champ lexical de la guerre et du combat. Il y a ensuite le champs lexical

les rimes masculines et les rimes féminines, ce qui donne au poème l’aspect d’une chanson douce, d’une berceuse. Les vers « Là, tout n’est qu’ordre et beauté, Luxe, calme et volupté » répétés trois fois à la manière d’un refrain, viennent accentuer cet aspect. Ainsi ce refrain semble diviser le poème en trois parties distinctes : la première se concentre sur l’invitation au voyage adressée à la femme aimée, la correspondance entre le paysage et la femme convoitée ; dans la deuxième partie, on assiste

Voyage est composée de trois strophes. Tout d’abord la première strophe met en avant une comparaison entre la femme et la paysage ; on peut dire que c’est un avant-goût de l’invitation proposé par le poète. Le verbe « songe » peut faire penser à un rêve qui n’est pas encore devenu réalité, le poète le décrit seulement à sa bien-aimée. Mais dans cette strophe, le poète parle plus de la femme que du paysage. Pour montrer l’omniprésence de la femme, il utilise le champ lexical de la séduction (« charmes