Trois Champs Lexicaux

influentes, mais ont également un physique très avantageux. Ceci est montré par l’accumulation d’adjectifs mélioratifs tels que «Il était beau, de bonne mine, vaillant, hardi, libéral.» (l. 9) et le champ lexical de la grandeur (l. 1 «grands», l.5 «magnifique).De plus, l’auteur caractérise les trois fils comme «parfaitement bien faits» (l. 3). L’évocation de ce cortège n’est pas gratuite, elle a un but bien précis. En effet, ce «catalogue» d’hommes parfait sert a montrer la supériorité du personnage

et devait permettre au couple de se marier et de vivre sa passion sans l'obstacle de Camille. Lors d'une promenade en barque il est question de faire basculer Camille dans la Seine et de faire croire à une noyade. Dans ce passage apparaissent les trois personnages du triangle maudit. Premièrement, le texte : Le crépuscule venait. De grandes ombres tombaient des arbres, et les eaux étaient noires sur les bords. Au milieu de la rivière, il y avait de larges traînées d’argent pâle. La barque fut

font office de 2 personnages opposés, le fort face au faible. Mais ici, La Fontaine renverse les rôles et bafoue son dogme au profit d’une fin peu commune. Comment l’auteur s’y prend-il pour comparer le chêne et le roseau. Pour cela, nous utiliserons trois axes d’étude : la parole du chêne, la parole du roseau puis la morale. Si l’auteur nous présente 2 personnages aux paroles originales, nous avons aussi une opposition entre les 2. I) Les différents personnages A) Le modeste roseau La parole du chêne

| | |Les quatre textes du corpus sont tous des extraits de romans. | | |Ils datent, pour trois d’entre eux, du XIXème siècle et, pour le dernier, du début du XXème siècle.| | | |

laissait derrière elle que la fuite vibrante du câble.- C'est profond ? demanda Etienne à un mineur, qui attendait près de lui, l'air somnolent.- Cinq cent cinquante-quatre mètres, répondit l'homme. Mais il y a quatre accrochages au-dessus, le premier à trois cent vingt.Tous deux se turent, les yeux sur le câble qui remontait. Etienne reprit :- Et quand ça casse ?- Ah! quand ça casse...Le mineur acheva d'un geste. Son tour était arrivé, la cage avait reparu, de son mouvement aisé et sans fatigue. Il s'y

l’orchestration particulière, et la mise en scène visible dans le poème lui-même. Premièrement, la thématique du temps est très présente dans ce texte, de plus, l’auteur met en valeur plus particulièrement le temps qui passe. Il est représenté ici par le champ lexical du temps : « toujours » (v.1) ; « nuit éternelle » (v.2) ; « âge » (v.3) ; « temps » (v.21) » ; « lente » (v.3) ; « heure fugitive » (v.33). De là, Alphonse de Lamartine veut nous montrer que c’est le temps qui passe qui nous rapproche de la mort

: il la compare à un spectacle qui se fait « sur invitation » et parle de « public ». Ces termes sont ironiques car Camus trouve révoltant le fait de tuer des Hommes et aussi cruellement. Dans sa description on peut voir « Savez-vous que » répété trois fois : il pose des questions qui n'attendent pas de réponse de la part de Rieux. Il fini sa description par sa propre réponse à ces questions « Non, vous ne le savez pas ». Cela crée un effet d'insistance sur la gravité de la fusillade. De plus nous

les éléments de l’Affiche Rouge: les portraits qui cherchent à inquiéter, les couleurs (« noirs »/ « sang ») les noms étrangers etc… - On trouve une comparaison « l’affiche qui semblait une tache de sang » > insistance sur l’idée de violence + champ lexical de la mort. - Mais il ajoute une note positive avec la phrase « Morts pour la France » inscrite par des anonymes > cela prouve que certains français comprenaient et approuvaient l’action de ces hommes. - « l’un de vous dit calmement » : le nom

Texte 3, séquence 3 : Le chêne et le roseau Introduction : -Restituer l’époque : Même trois siècles après leur publication, Les Fables de La Fontaine ont su rester dans les mémoires et sont encore apprises à des générations d’écoliers. Ce succès est sans aucun doute garantit par le don du fabuliste du XVIIème qui parvient avec aisance construire une histoire plaisante à lire et qui a une portée didactique « placere et docere » est d’ailleurs la règle définissant le mieux l’œuvre littéraire de La

Pour répondre à ce questionnement nous allons étudier dans un premier temps les personnages, ensuite le comique de cette scène et pour finir dans un second temps les techniques de Dom Juan. Dans cette scène de l'acte II, nous pouvons trouver trois personnages, Dom Juan, héros de l'histoire, Sgarnarelle son fidèle valet, puis Charlotte une paysanne. Mais nous pouvons aussi voir le comique de cette scène. Dom Juan est un personnage défini comme un libertin, qui est libre de ses valeurs morales