Trois Champs Lexicaux

à Cassandre (ronsard)  Introduction Ronsard a maintes fois traité du thème de la belle indifférente aux transports amoureux du poète. Il en livre ici une version originale où le vocabulaire amoureux rejoint les inquiétudes du poète. Organisé en trois moments, le poème, du vers 1 à 6, offre une vision idyllique de la beauté, pour, dans les 6 vers suivants, faire part d’une inquiétude. Enfin, les douze derniers vers livrent une mise en garde. Dans ce mouvement de progression en basculement, il serait

employé tout au long du sonnet et suggère la répétition, l'habitude de l’action telle que "devenais" "j'étais" (v.2-3), "avait" "j'égrenais" (v.5-6), "écoutais" "sentais" (v.9-10), "tirais" (v.13). Ce thème de l'errance se développe à travers le champ lexical du trajet, "course" (v.6) et "routes" (v.9) mais aussi grâce à la comparaison au petit poucet mis en valeur par la ponctuation "-Petit-Poucet rêveur, j’égrenais dans ma courses des rimes." (v.6-7) seulement au lieu de semer des cailloux le poète

refus ou même une vraie peur de la différence car les gens exilent, le considère comme un paria parce qu’il est aveugle. On le voit par l’utilisation d’une énumération à trois temps croissante servant à le décrire un souffre-douleur, une sorte de bouffon-martyr, de proie donnée à la férocité native et également par le champ lexical du malheur, de la cécité la tâche blanche de ses yeux l’infirmité au hasard qu’il ne pouvait distinguer effort inutile pour parer les coups ne pouvant reconnaître la route

témoin de ses amours, et lorsqu’il y revient sans la femme aimée, il subit douloureusement la fuite du temps. Il se rend compte que seule la nature peut conserver la trace des amours vécues, et notamment dans « Le Lac ». L’obsession du temps • Champ lexical du temps avec des divisions temporelles : « la nuit », « le jour », « l’aurore », « le soir », « les heures », « l’année », « moments », « l’éternité » et présence d’adjectifs significatifs : « l’heure fugitive », « nuit éternelle ». On observe

Clindor, qu’il n’a pas vu depuis 10ans, il sera amené dans la Grotte d’un magicien qui a le pouvoir de lui montrer la vie de son fils durant le temps où il ne l’a pas vu. Corneille présent ainsi sa pièce : « Le premier acte n’est qu’un prologue ; les trois suivants font une comédie imparfaite, le dernier est une tragédie : et tout cela, cousu ensemble, fait une comédie. » Si l’on se concentre sur l’acte II scène 2 écris en alexandrin, de L’Illusion comique, peut on dire que c’est le procédé épique qui

(1) 3. Combien de temps le petit Marcel, avait-il passé en vacances ? (1) 4. Pour convaincre son père de prolonger leurs vacances il a dû lui donner quelques arguments. Relevez-en trois et dîtes ce que vous en pensez. (2)

Et comme Rodolphe connait les désirs les plus profond d’Emma, tiré de ses romans, il n’hésite pas à exagéré en utilisant un ton lyrique « Oh ! » (l.8), « je suis fou ! » (l.12). Pour donner une intonation plus réelle à sa lettre il utilise le champ lexical du malheur : « Le monde est cruel » (l.4), « la calomnie, le dédain, l’outrage » (l.7), « malheureux » (l.13-14), « ces tristes lignes » (l.21-22). Mais ceci n’est que l’envers du décor. Lorsque nous découvrons les commentaires qu’il se fait à

et la forme des collines. -Enfin, il en vient à éprouver de l’espoir. L’espérance de Bernard est certes présente mais sans grandes convictions car « inondé », « vague » et « flottait » prouve que ses désirs restent flous et très évasifs. Le champ lexical de l’eau est en accord avec le fait qu’il commence à espérer cependant, avec incertitudes. « Flottait » qualifiant une légèreté, insiste sur la faiblesse de son sentiment. « La pensée » de « prier Dieu » lui vint à l’esprit mais « craignais » s’oppose

V-12 → Nazis Évocation de l'affiche rouge : « vos portraits » V-6 « tache de sang » V-8 expilcation des portraits péjoratifs de l'affiche « noirs de barbe et de nuits hirsutes menaçants » V-7 effect de peur Rappel de leur fin tragique : champ lexical de la mort 4 mots en majuscules : MORTS POUR LA FRANCE => inscrite par des anonymes → cela prouve que certains français comprenaient et approuvaient l’action de ces hommes. Emplois de l'italique pour montrer que Louis Aragon reprend la lettre

La Fontaine. Construction très simple du texte => 2 quatrains (lombric) ; 2 tercets (comparaison poète-lombric). Outil de comparaison v.9-10 « comme » qui compare les deux comparés de façon très claire aux comparant. Poète = ver de terre ; mots = champ. Les comparaisons se poursuivent avec des métaphores. V.11 « denrées langagières ». 2) Le caractère unique du poète V.9 « le poète » ≠ « les hommes »v.11 V.13 « sans le poète » ≠ v.14 « le monde » => Le poète est singulier, unique. Position en