Trouble cognitif

Chapitre 3 : Attitudes et comportements ?? L’attitude est sous jacente inferé Le comportement est pas tant Indirectement observée . observé directement Quel lien causal ? Identité, personnalité, attitudes et comportements : Identité : -L’identité c’est la manière dont le personne se définit

réussisse. C’est, selon cette théorie, une construction symbolique et cognitive de l’organisation. En d’autres mots, l’être humain peut définir une valeur symbolique à une chose et ensuite interpréter cette valeur. Pour la théorie du point de vue cognitif, la culture est avant tout l’ensemble des connaissances de l’organisation Toutes ces théories ont une vision de la culture de l’organisation qui est vraie en partie. La culture organisationnelle est la globalité des valeurs partagées d’une organisation

différentes composantes du langage ainsi que sur les différentes modalités d’expression et de compréhension), avec étude chiffrée à l’appui (56,7% pour l’épreuve de compréhension. Voir note 4 p191). Enfin, les processus d’apprentissage et de développement cognitif issus de ces activités inter linguistiques peuvent être aisément réinvestis dans d’autres champs disciplinaires. On peut parler de transfert de compétences, d’où l’utilité et l’importance de ces activités dans le système éducatif. Sont-elles alors

et le constructivisme, le concept de schèmes - et la psychologie cognitive inspirée du modèle de traitement de l’information, c’est-à-dire la contrainte qu’une capacité limitée de traitement de l’information exerce sur l’ensemble du fonctionnement cognitif (limite de la capacité attentionnelle et de la mémoire de travail). Jean Pascual-Leone (pionnier du courant néo-piagétien 1970) : M-power = le passage d’un stade de développement au suivant s’expliquerait par l’augmentation de la puissance mentale

dimensions essentielles : - la valence : avec la paradigme positif-agréable / négatif-désagréable - l’alerte : calme/tendu - le contrôle : possible/impossible. C. Les théories cognitivo-physiologiques Elles mettent en évidence le rôle du processus cognitif dans l’élaboration de l’émotion. - Schachter et Singer (1962) - Valins et Mandler (1971) 1. Définition de cognition C’est l’ensemble des connaissances que le sujet a du monde et de lui-même, et comme l’ensemble des processus qui permettent d’acquérir

peut être suivie d'une éventuelle évaluation cognitive et accompagnée d'un conflit émotionnel et cognitif. L'achat impulsif découle directement ou pas de l'impulsion selon qu'il y a eu ou non évaluation et tentative de résistance. L'étude de l'achat impulsif ne se résume ainsi pas à celle d'un acte d'achat. s'interroger sur la rationalité des achats impulsifs. Le caractère extensif du processus cognitif en jeu dans une décision est en effet communément considéré comme un gage de sa rationalité. Dans

mémoriser. Découverte d’une nouvelle structure mnésique : la MDT DE LA MCT à LA MDT MCT : stocke provisoirement des infos MDT : stockage provisoirement de l’info dans l’objectif de réaliser une opération cognitive (=traitement cognitif). Ex : *il n’est pas faux qu’il n’est pas vrai que A n’est pas précédé de B décrit bien l’ordre AB. *Tous les A sont B Aucun C n’est A  quelques B ne sont pas C *1478+2556= ? La MCT se développe rapidement. Elle n’est pas en corrélation

que Jean Piaget réfléchit sur la genèse de l’appareil cognitif chez l’enfant. Baigné par la philosophie, la religion et la logique dés son adolescence grâce à son grand-père, ces disciplines l’ont amené à élaborer une épistémologie de la connaissance. Toute sa vie, J. Piaget s’est interrogé sur la notion de connaissance, sur les modes d’acquisition de celle-ci, sur les facteurs internes et la réalité externe contraignant le développement cognitif chez l’enfant. Bibliographie : 1923 - Le langage

satisfaction car elle est « un terme complexe et un concept difficile » (Czepiel et Rosenberg, 1973), la dimension cognitive de la satisfaction a été démontrée depuis longtemps, Howard et Sheth (1969) considèrent la satisfaction comme étant « l’état cognitif de l’acheteur étant adéquatement ou non récompensé pour les sacrifices consentis » D’autres chercheurs comme Westbrook et Reilly (1983) mettent l’accent sur la nature affective de la satisfaction et la définie comme étant, «une réaction émotionnelle…[la

environnement dans lequel le sujet choisit, crée « ses problèmes » et y travaille. Les critères de choix d’un style d’intervention dépendent des objectifs à poursuivre (objectifs de savoir, de savoir faire ou de savoir être) et des schèmes du sujet : cognitif (connaissances), physique (expérience) et psycho-social (sécurité, confiance). Des facteurs peuvent influencer le choix du style d’intervention comme les schèmes de l’intervenant (savoir, savoir faire et savoir être), les pressions sociales (culture