Trouble cognitif

comportementale tente de mettre en évidence la psychologie des intervenants financier tout en démontrant que les décisions sont constamment biaisées par les émotions et par des raisonnements erronés. Ces biais sont classés en deux catégories : les biais cognitifs et les biais émotionnels. Afin de comprendre les mécanismes psychologiques en jeux nous allons nous demander en quoi le comportement des investisseurs crée-t-il des inefficiences de marché ? Comme nous l’avons vu, investir ne relève pas d’une décision

fidélité. Day (1969) opère une distinction entre la vraie et la fausse fidélité. Pour ce dernier, la vraie fidélité n'existerait que si les achats répétés sont expliqués par un ou plusieurs processus cognitifs qui en contrôlent l'émission : un achat répété qui ne serait pas sous le contrôle d'un processus cognitif serait considéré comme étant la fausse fidélité. Il en ressort que l’attitude favorable est une des conditions d’existence de la vraie fidélité et que le rachat en l’absence d’une attitude favorable

projet de maximisation de la rationalité instrumentale. Il va toujours manquer des ressources ou du temps pour tout comprendre. * Mécanismes psychologiques : Les humains cherchent des situations satisfaisantes plutôt qu’optimales. * Biais cognitifs : Bien que les humains soient naturellement intelligents, ils ne sont pas mécaniquement rationnels. Cette intelligence n’est pas objective et neutre, principalement au niveau de la cueillette d’informations et au niveau de l’analyse. La créativité

fonctionnement cognitif. On distingue deux aspects dans la métacognition : ▪ Les connaissances acquises de nos « produits cognitifs » (= nos connaissances) : - savoir ce que l’on sait - en évaluer la qualité - en estimer le degré de certitude - en reconnaitre le champ de validité, - connaitre le degré d’automaticité Ces connaissances interviennent dans ce qu’on appelle la confiance en soi ou le sentiment de compétence ▪ Nos processus cognitifs : - savoir

théorie de l’efficience des marchés financiers notamment pendant la crise des années 2000 et plus récemment celle des Subprimes. En effet, les récentes études émanant de la Finance Comportementale montrent que les investisseurs sont sujets à des biais cognitifs qui sont susceptibles de modifier à la fois leurs croyances mais aussi leurs préférences. Ces travaux ont donc remis en cause l’hypothèse de rationalité des investisseurs et par la même occasion le corolaire de l’efficience informationnelle des marchés

0M p= 1% “solution rationnelle”: E(B)=1,14M Allocation d'Actifs et Gestion de Portefeuille > E(A)=1M II. La FC: une réponse aux anomalies de marché Allocation d'Actifs et Gestion de Portefeuille Les travers comportementaux (1/2)  Biais cognitifs collectifs ou individuels - Liés à la compréhension (ex : cadrage) - à la mémoire (ex : ancrage mental) - aux habitudes mentales dites heuristiques (raccourcis de raisonnement) Allocation d'Actifs et Gestion de Portefeuille Les travers comportementaux

Intro : Etant confronté à des interrogations personnelles, à des choix d’attitudes à adopter, le conseil le plus souvent donné est « sois toi-même ». On peut se demander comment on peut être autre chose que soi-même. Ne pas être soi-même, c’est adopter un comportement artificiel, jouer un rôle. Dans ce cas, qu’est-ce qu’être soi-même ? Est-il possible d’y parvenir ? La conscience permet à l’Homme de se demander qui il est, de s’interroger sur son existence, sa fonction. Il pense donc savoir qu’il

empiriques menés par les chercheurs en finance comportementale concluent que les investisseurs, individuels ou professionnels, ne sont pas pleinement rationnels. Leurs comportements affichent au contraire de nombreux biais, lesquels peuvent être cognitifs, émotionnels et sociaux et ils témoignent de préférences complexes vis-à-vis du risque. Par opposition à l'hypothèse de base des marchés efficients, cette théorie va chercher à mettre en avant les situations lors desquelles, les marchés ne sont pas

Bonjour je vais répondre à la question 4 : donnez un exemple d’un biais induit par l’heuristique de représentativité. L’heuristique de représentativité est un des biais cognitifs qui peut nous induire dans l’erreur lors de notre décision, notre cerveau peut avoir acquis certaines certitudes qui peut s’avérer erroné vis-à-vis les informations recueillies. Dans le texte du petit chaperon rouge nous avons une candidate Janis Kallison diplômée du conservatoire, nous avons aussi Suzy Varchau qui n’a

Psychopathologie Clinique LES PSYCHOSES 1) Historique des troubles schizophréniques C'est MOREL qui a introduit en 1860 le terme de démence précoce, et cela a été repris par KRAEPLIN. MOREL isole les démences normales de l'individu avec l'état de vieillissement prématuré autrement appelé à cette époque « idiotisme ». En 1870, HEKER parle « d'ébéphrénie », la maladie mentale apparaitrait à la puberté. KAHBUM parle de désordre catatonique et de désordre moteur. Fin 1800 début 1900, KRAEPLIN révolutionne