Tuer Selon Kant

peuvent deviner les intentions de leurs semblables, qui peuvent cependant désirer ce qu’ils désirent. Les conflits qui en résultent font de cet état un état de guerre permanent. La mort peut surgir de n’importe où, car tout faible, par la ruse, peut tuer le fort. La vie politique se fonde ainsi : pour se délivrer de cette peur de la mort violente, les hommes concluent un contrat social accordant des pouvoirs illimités à un « souverain » qui ainsi garantit la paix. Les racines de la religion sont

la raison est éternelle (Socrate) ⇒ Recherche de ce qui est vrai, beau et bien. Comme Empédocle et Démocrite, il est d'accord qu'il y a des choses qui changent, et des choses essentielles qui ne changent pas. ⇒ Pour lui les transformations se font selon un moule, intemporel et immuable (ex : ce que les chevaux ont en commun). Les atomes se recombinent, mais pas n'importe comment (pas de croco-phant ni d'élé-dile à partir de crocodile & éléphant). ⇒ Ces moules sont appelés "idées". Platon soutenait

JACQUET Fanny Terminale ES 1 Pour le mercredi 19/10/2011 DISSERTATION DIRIGÉE Sujet : Mes désirs ne concernent-ils que moi ? Selon le genre de désir, il peut ne concerner que ma propre personne comme par exemple le désir de faire quelque chose ou il peut aussi bien concerner les autres tels que le désir amoureux.

c’est-à-dire une affirmation non fondée en raison, pour celui qui l’énonce, elle est  un énoncé théoriquement faible. Or, bien que théoriquement faible, elle a  une force étonnante;  l’expérience montrant que les hommes sont capables de mourir ou de tuer pour défendre leurs opinions. *   La question est donc de savoir ce qui fait la force des opinions. D’où tirent-elles leur prestige ? * De la force des habitudes ou de l’ouï-dire. Nous sommes ainsi faits que ce qui est consacré par la coutume nous

l’idée de déterminations psychiques inconscientes (par exemple une enfance difficile qui amène à reproduire la maltraitance reçue sur ses propres enfants) comme acte déterminant, c’est selon Sartre un acte de mauvaise foi car il consiste à nier la liberté qui est en soi pour se trouver des « excuses ». Or selon l’existentialisme, en l’homme « l’existence précède l’essence ». Cela signifie que l’homme n’est déterminé que par ses actions, et celles-ci peuvent constamment changer, donc il n’existe

l'Animal (plus rarement la plante) considéré comme l'ancêtre du clan ce qui entraîne les membres du clan à respecter des devoirs et des règles envers l'Animal et des liens de parenté entre membres les obligeant à prendre femme ou mari ailleurs, à ne pas tuer un membre de son clan... Sans morale, l'égoïsme règnerait. Comme celui-ci se base sur l'idée d'importance de soi et de l'instinct de survie, à savoir l'ensemble des tendances ou instincts qui poussent l'individu dans le sens de sa conservation

désigne donc le nouveau type de l’agir humain comme étant la possibilité d’autodestruction, et le nouveau type de sujets de l’agir par le nouvel impératif qui doit être mis en place. Il décline ensuite cet impératif, en s’inspirant de la démarche de Kant et de son impératif catégorique : « ce qui doit être fait inconditionnellement ». Jonas présente donc ses 4 impératifs, posés sur les mêmes fondations mais légèrement différents les uns des autres. Le premier nous dit d’agir de façon à toujours être

bon- soit mal-, selon que ce soit une bonne ou mauvaise augure, chance ou fortune. Le bonheur serait donc le fait d’avoir le moins de malheurs possibles, puisque les deux termes s’opposent. De plus, l’idée de chance suggérée par l’étymologie du terme, suggère qu’un fatum prédétermine le bonheur des individus, sans qu’ils ne puissent rien y changer. Dans la pièce Œdipe Roi, de Sophocle, l’idée de destin est centrale. En effet, Œdipe est voué, selon les prédictions d’un oracle, à tuer son père et à épouser

chose, nous sommes consciente d’avoir oublier cette affaire, c’est-à-dire que nous savons que nous avions la connaissance qui n’est plus là, donc nos souvenirs oubliés ne disparaissent point, mais ils sont ensevelis dans notre inconscient. En citant Kant « Si nous ne connaissons rien, nous ne sommes personne » nous en déduisons que la connaissance signifie avoir un souvenir, une association des idées, un patron de référence. Donc, si les gens oubliaient toute sa vie ou même quelques événements de la

qui est renfermée dans un vase n’est pas libre, à cause que le vase l’empêche de se répandre, et lorsqu’il se rompt, elle recouvre sa liberté » (Hobbes, Le Citoyen, IX, 9). Cette liberté d’action peut prendre, chez l’homme, deux figures différentes selon que son pouvoir d’agir est empêché soit par des contraintes physiques, naturelles ou matérielles, soit par des contraintes juridiques, politiques, morales ou religieuses. Leibniz distinguera en ce sens entre la « liberté de fait » et la « liberté de