Tutoiement et vouvoiement

l’intervention de Suzanne, de lui dire combien elle est délaissée par lui (scène 19, « Me suis-je………concilier ?) Au début de la scène, le comte est furieux et dispute sa femme qui elle est soumise. En effet, le comte, jaloux, l’insulte et passe du vouvoiement au tutoiement : « Indigne épouse », « Perfide », « vous vouliez garder votre chambre », « Tu es bien audacieuse… ». Il y a opposition entre la colère du comte et la bonté de la comtesse qui s’accuse : « Il n’est pas coupable…. » D’autre part, il y a

+ « poignard » = menaçant « 1 bourse » = richesse + Impératifs « parle v.15, cache-moi v.23 » = ordres brefs et impérieux  autorité, arrogance du persG, + enjambement vers 9-10 = persG impatient, coléreux. + Tutoiement familier ou vouvoiement ironique dont il use avec la duègne « Daignez, madame … » v.31  aisance du seigneur qui a l’habitude qu’on se soumette à lui. B. Elle nous informe également sur les personnages absents, mais dont on parle  Dona Sol, qui entre

En se sacrifiant, Ruy Blas a obtenu une certaine reconnaissance de la reine , et semble souhaité se racheter , en lui permettant de retrouver son honneur. On assiste ainsi à une réelle évolution du comportement de la reine : passant du vouvoiement au tutoiement, celle-ci finit par l'appeler don césar, puis césar, pour enfin arriver à l'appeler Ruy Blas . Elle n'aime désormais plus don césar, mais Ruy Blas. Cette évolution est mise en évidence par le terme « merci » à la fin de la scène. Ce héros

Charlotte s'entretient avec Pierrot, qu'elle connaît bien et qui est de son milieu, elle utilise une sorte de jargon régional où les mots sont déformés, les phrases courtes et le tutoiement est de rigueur. Avec Dom Juan, qu'elle ne connaît pas et qui n'est pas de son rang social, Charlotte opte pour un langage courant où le vouvoiement est de mise. 5-La scène 3 tourne à la farce lorsque Dom Juan et Pierrot se chicanent les faveurs de Charlotte en s'offrant des soufflets. Cette scène est aussi un intermède

l’initiative du pardon 2-la parole accordée aux esclaves les valets usent de la parole pour dénoncer les mauvais traitements (injures scène 3 et mauvais traitements (scène 9) Ils ont droit à l’insolence (affranchissement d’Arlequin scène 1) le tutoiement est ressenti comme une libération. Ils deviennent à la scène 6 autonome et cette parole est victorieuse. (Fin de la scène 10).A la scène 10 Cléanthis anticipe la revendication d’un Figaro à la reconnaissance en tant qu’être humain. Or cette reconnaissance

contraignante : Injonction direct à l'impératif "jure donc". De plus la façon de désigner le pauvre par Sg et DJ au cours de la scène change, ce qui entraine un retournement de situation. Sg: opposition entre vouvoiement au début de la scène "enseignez-nous", "vous ne connaissez pas" et le tutoiement "va,va jure un peu". Sg l'appel bonhomme qui a une connotation péjorative. Au début, avant de savoir que le pauvre veut des aumônes, DJ l'appel "mon ami". A la fin de la scène, les répliques sont de plus

Le deuxième tableau de l'acte II montre la métamorphose de Jean, aussi bien physique que morale, sous le regard effrayé et impuissant de son ami Bérenger. Le texte révélant sa brutalité, son impudeur, son laisser-aller avec le passage du vouvoiement au tutoiement, la dislocation de la syntaxe, montre qu'il perd progressivement ce qui faisait son humanité : « Chaud… trop chaud. Démolir tout cela, vêtements, ça gratte, vêtements, ça gratte. » À la fin du dernier tableau, à l'acte III, Bérenger, l'inadapté

déroule en 2 temps d’abord il se montre insolent ironique : Semblant de le plaindre ou bien répète ces paroles .Puis il passe a une révolte ouverte longue réplique de la fin révèle qui traite de égal a égal avec son maitre il passe du vouvoiement au tutoiement l’’appelle par son nom. Dénonce aussi ces abus d’autorité. Il condamné la violence qui réduit l’homme a un animal .Il reproche au maitre de confondre justice et force. On peut également noter que arlequin est indifférent au malheur d’Iphicrate

32) puis « Ruy Blas » (v.40) ce qui montre le rapprochement des deux êtres et surtout les vrais sentiments de la Reine envers ce valet. La Reine joue aussi, sans le vouloir, avec les pronoms. Assurément, la souveraine passe sans cesse du vouvoiement au tutoiement. Par exemple dans une même réplique elle va utiliser le pronom vous, « je vous pardonne » (v.41) puis le pronom tu, « je te l’ordonne » (v.41). Cette disparition du fossé sociale entre Ruy Blas et la Reine montre bien les sentiments de cette

scène marquée par la violence et la terreur I Deux amants pris au piege A) un amour coupable - Rappelons RB et la reine sont des amants , car la reine est mariée -Les deux personnages sont tres proche ce qui est sugéré par l'emploie du tutoiement ex BLEU FEILLE -Cette proximité et appuyer part des signes de tendresses qui sont perceptibles"lui prenant les mains" ainsi que "et lui montrant du doigt la ligne qu'elle lit" - La reine se trompe sur l'identité de RB et l'appelle César dès la