Tutoiement et vouvoiement

valet qui apparaît pourtant comme le personnage ridicule de la pièce Le plan détaillé : I - Un dialogue dans lequel le valet critique le libertinage de son maître Un dialogue qui révèle la supériorité du maitre Le tutoiement (l.1) / vouvoiement (l.2) → différence de classe sociale Les apostrophes : « Monsieur » (. 7) / « Maitre sot » (l.20) → Sganarelle s'adresse à son maitre de manière respectueuse, il est poli → Don Juan lui lance un injure, il le dévalorise

'' Soyez certains que...'' '' observez '' ce qui montre la supériorité de celui-ci , cependant il en joue, en menaçant , en donnant des avertissements '' Gare à vous '' , '' je ne vous conseille pas ''. Au vers 16-17 , le poète passe du vouvoiement au tutoiement : au vers 16 '' Il vous arriverait quelque accident '' alors qu'ensuite au vers 17 , le poète dit '' qu'il te fait '' . Au bout d'un moment, le poète a une vrai volonté sadique parallèlement à Satan , Maldodor peut être compris comme '' mal

Elle se baisse beaucoup car il y a des araignées. Dans la grange, il n’y a pas de lumière, nous nous contentons de la lumière du jour. En montant, les escaliers je lui ai proposé de me tutoyer et elle m’a dit qu’elle avait du mal avec le tutoiement et le vouvoiement en particulier avec sa « patronne ». Elle s’est mise à compter sur ses doigts et m’a dit qu’elle allait prendre 9 bottes. Il y a deux types de pailles : une facile à nettoyer mais plus légère et l’autre l’inverse De plus, le sol était envahi

injonctives, exclamatives. * La syntaxe : phrases longues ou courtes, emphase (mise en relief) ou neutralité du propos * La valeur des temps et des modes * L’emploi des pronoms : je/tu/nous ou neutralité de la 3e personne (il/ils), tutoiement ou vouvoiement, … 4) ADAPTER L’ANALYSE AU GENRE ET AU TYPE DU TEXTE Commenter un texte narratif : * Qui raconte ? * Quel est le point de vue utilisé : omniscient (le narrateur voit tout et entend tout), interne (narrateur = l’un des personnages

est présent la mention de Orgon dans la périphrase « Monsieur votre père », et celle du futur mari de Sylvia « votre futur ; amant ; mari » ce qui définie leur relation, c’est un indice dénonciation. Tout comme l’emploi du tutoiement par Sylvia «Que tu es folle » et du vouvoiement par Lisette «Je vous dis». Sylvia exprime une tournure injonctif qui désigne un ordre avec « taisez-vous » et péremptoire « je vous dis que ». Les mots rustiques employés par Lisette « vertuchou ; oui da » exprime une condition

 la  signification   de  cette  phrase.  Une  part  de  rêve  se  retrouve  dans  cette  scène,  est-­‐il  dieu  ?  Freud  ne  sais  pas  s’il  doit   y  croire.  Tutoiement/vouvoiement  :  l.7,  l.8,  l.31,  Le  visiteur  tutoie  Freud,  comme  s’il  était  son  père,   après  cela  Freud  «  grandit  »,  la  raison  lui  revient,  il  est  inférieur

déterminant possessif + terme respectueux : « ma chère » => expression normalement utilisé pour quelqu'un qui appartient à la noblesse => montre bien que pour la Comtesse, Suzanne est une amie déterminant possessif + adjectif : « ma pauvre Suzanne » tutoiement : il se rapproche + du « tu » de l'amitié que celui de la différence sociale la Comtesse interroge Suzanne sur des choses très personnelles et révèle ainsi qu'elle n'est pas sûre d'elle : « est-ce que j'ai cet air là ? » « est-ce que je l'aurai

jusqu’à la mort pour l’avoir. Ainsi ils oublient tous les liens de sang qui les unit, ce qui montre que le trone est la cause de leur discorde. Cette scène est conventionnelle, elle ne fait qu’accentué la dispute entre les deux frères. On remarque un vouvoiement envers la mère par les jeunes frères avec «Madame » quand Eteocle rétorque sur ces embrassades, ce qui montre qu’il ne la considère plus comme sa mère et donc aucun lien de parenté avec elle et son frère Polynice. Alors, on assiste donc à un crise

parce que tu es en train de défendre ton bonheur en ce moment comme un os.Tu l’as bien dit tout à l’heureTu m’ordonnes, cuisinier ? Tu crois que tu peux m’ordonner quelque chose ? Tutoiement Elle se place au-dessus de Créon, elle ne le respecte plus. Elle hésite entre le vouvoiement (marque de respect) et le tutoiement , mais c’est celui-ci qui domine dans cette scène. Nous sommes de ceux qui posent les questions jusqu’au bout. Nous sommes de ceux qui lui sautent dessus quand ils le rencontrent

| | |22 |Vouvoiement |Faire la ≠ entre M, MS , CP |Usted vive Ustedes viven | | | |Usted, ustedes, Vosotros veulent dire : VOUS |Vosotros vivis = vous habitez | |23 |Vouvoiement sing. |M :je vouvoie une personnes:3ème S