Tutoiement et vouvoiement

trouve dans une atmosphère de conte : on sait qu’ils ont vécu une idylle amoureuse partagée, malgré le refus du second de s’en souvenir. 2. Les oppositions dominantesCes oppositions sont marquées par la structure binaire du poème.Le tutoiement s’oppose au vouvoiement : le premier personnage tutoie l’autre, exprimant une intimité et essayant de faire ressurgir un amour passé. Le « vous » (v. utilisé par le second spectre marque la volonté de garder ses distances. Pour lui, l’intimité passée est révolue

une atmosphère de conte: On sait qu’ils ont vécu une idylle amoureuse partagée, malgré le refus du second de s’en souvenir. 2. Cependant les oppositions dominent: Ces oppositions sont marquées par la structure binaire du poème Le tutoiement s’oppose au vouvoiement: le premier personnage tutoie l’autre exprimant une intimité et essayant de faire ressurgir un amour passé. Le vous utilisé par le second spectre marque la volonté de garder ses distances. Pour lui, l’intimité passée est révolue. L’initiative

3 et Suzanne se retire l.5 cet éloignement traduit une situation de tension à cause de la chambre et des intentions du Comte c) Eloignement dans les paroles  stichomythies des l.9à16 + jeu des pronoms personnels : du tutoiement l.19 « tu prends l’humour » au vouvoiement l.25 « qu’entendez-vous par ces paroles ? » * La parole devient le lieu d’un conflit d) Le maître : Suz et Fig apparaissent sous la domination du seigneur, il apparait comme une tierce personne du couple, un intrus

animée de sentiments troubles pour Chérubin (cf questions du début). B. Le pendant féminin d'un couple maître-valet traditionnel - Des relations a priori conventionnelles : supériorité hiérarchique de la Comtesse sur Suzanne • Jeu du tutoiement/vouvoiement • Désignations qu’utilise Suzanne et qui montrent bien son infériorité sociale : - "Madame" (l. 3) - "Monseigneur" (l. 5), "sa servante" (l. 6) pour se désigner - Rectification / interrogation de la Comtesse (l. 4) : le

révolté contre les injustices de la société et qui se veut le porte-parole de tous les misérables. Inversement, Florent symbolise aux yeux de Thérèse tous les riches comme le suggère la généralisation à la fin du texte, avec le passage du tutoiement au vouvoiement : « vous ne savez rien, vous avez ce privilège de ne rien savoir ». o Un personnage dur et provocateur : la dureté de ses propos évoque la dureté du mal qui la ronge, comme l’indique le terme « torturée » o Un personnage entier qui refuse

genre à la faveur d’un autre. Exemple : - Énallage portant sur le temps du verbe: «Je mourais ce matin digne d'être pleurée, J'ai suivi tes conseils, Je meurs déshonorée» - Énallage portant sur la personne (pronom personnel) passage du vouvoiement au tutoiement : « Vous ne répondez point ? …perfide ! Je le vois, Tu comptes les moments que tu perds avec moi. » - Énallage portant sur le pronom et le nom : « Néron est amoureux » (Néron à Narcisse) Une Enumération : Liste de mots se rapportant à

constantes, ce qui participe à la tonalité burlesque de la pièce. 9 La désignation Mère Ubu et non Madame Ubu comme le veut l’usage connote un milieu plutôt populaire qui contraste avec leurs anciens titres, parallèlement le passage du vouvoiement au tutoiement a la même fonction. 10. Mère Ubu met l’accent sur la sottise et l’incompréhension de son mari. 11 Sa bêtise sera confirmée par l’expression une légion d’enfants qui a un effet d’amplification traditionnelle dans le registre comique ainsi

programme de son séjour selon ses désirs. Le « confort à la carte » offre le choix entre cinq catégories de chambre et trois niveaux de confort. Un soin minutieux est apporté à la propreté et la décoration des allées et des couloirs. Le tutoiement est remplacé par le vouvoiement pour assuré un certain standing. La qualité de la nourriture à été apprécié au détriment de l’abondance. ----------------------- Opportunités - Chaque pays a sa propre culture du tourisme de part leur histoire

éveillé, attentif. - par l’idéalisation de la femme : « Saintement » (v. 2) appelle « Personne pure » (au sens particulier, chez Valéry, de « sans mélange », donc « parfaite ») et « ombre divine » (reflet de Dieu, v. 5). - par le passage du tutoiement au vouvoiement (v. 15 et 16) qui confère au poème une sorte de gravité et de ten­dre respect. - par le bonheur qu’il espère du retour de la femme aimée (ou de la Muse) : « dons » (v. 7), « j’ai vécu de vous attendre » (v. 15), et « nourriture d’un bai­ser

est présent la mention de Orgon dans la périphrase « Monsieur votre père », et celle du futur mari de Sylvia « votre futur ; amant ; mari » ce qui définie leur relation, c’est un indice dénonciation. Tout comme l’emploi du tutoiement par Sylvia «Que tu es folle » et du vouvoiement par Lisette «Je vous dis». Sylvia exprime une tournure injonctif qui désigne un ordre avec « taisez-vous » et péremptoire « je vous dis que ». Les mots rustiques employés par Lisette « vertuchou ; oui da » exprime une condition