Tutoiement et vouvoiement

efficaces et réalistes). La suite est en effet très rapide et va à l'essentiel (« venons-en au fait »). Ils renoncent très vite à leurs rêves de grandeur. Lisette pose une question simple et directe  (ligne 55) : « M'aimes-tu ? » Signalons le tutoiement immédiat pour les deux personnages puisque les masques sont tombés, et la brièveté de la question de Lisette (on est loin des métaphores précieuses). Arlequin répond avec la même simplicité : « Pardi ! oui »et sans grande déclaration :

que Néron donne de lui-même dans cet extrait : il demande à Narcisse ce qu’il doit faire, montrant par là qu’il lui fait confiance aveuglément : « que voulez-vous dire ? ; que veux-tu que je fasse ? » (vv.1406 et 1413). Ici le passage du vouvoiement au tutoiement marque la vulnérabilité de Néron. Dans sa longue réplique (vv.1422-1426), Narcisse use également de l’interrogation, mais cette fois pour faire peser une pression sur Néron : ce sont des interrogations rhétoriques qui ne demandent pas de

départ de l'écriture) et son arrivée : l'univers idéal de l'ailleurs poétique. I - La chevelure, source d'inspiration du poète. 1 - Une énonciation singulière : le poème s'adresse à la chevelure ➙ relever les occurrences du tutoiement (v.8,10, 14, 31,33, 34 ) et du vouvoiement (qd il s'adresse aux cheveux) v.27,28 ➙ relever les apostrophes et les ≠ termes qui désignent la chevelure (v. 1,2, 10, 26,...) 2 - La chevelure, métonymie de la femme. ➙ alors que le v.1 et le v. 31 font ressortir une animalité

Comte donne le flacon à Suzanne."vous" quand le Comte demande si Suzanne lui parlerait sans prétexte.On voit que les pronoms montrent les rapports de pouvoir entre les deux personnages, avec Suzanne qui s'adresse au Comte de manière plus soumise (tutoiement, pronoms de politesse "vous") tandis que le Comte la tutoie.Le point de vue adopté dans cet extrait est un point de vue essentiellement externe.On accède aux paroles et aux actions des personnages, mais on ne pénètre pas dans leurs pensées intimes

prend la forme d'une question directe : « peux-tu douter encore que je ne t'adore ? » (l.5). L'usage du verbe adorer, qui assimile S à une divinité, s'inscrit dans un style précieux hyperbolique et traduit la force du sentiment qui habite D. – Le tutoiement ainsi que l'apostrophe « Lisette » (l.5) témoignent de sa volonté de vaincre la distance et la (fausse) indifférence que lui témoignait jusque ici la pseudo-Lisette. – Après la tirade de S (l.7 à 31), D répond d'une manière passionnée à la déclaration

d’un point d’exclamation traduisant le ton d’autorité de celui qui semble être le maître A cela s’ajout « Mon patron » qui clarifie cette relation par cette appellation (« Mon »il appartient à ce maître = esclave) Le vouvoiement ( « Je vous donnerai le reste ») et le tutoiement ( « Ne te suffit pas » « As-tu perdu l’esprit ? ») Le cadre spatial sur lequel tourneront les événements « L’île »/ « Vaisseau »/ « Rocher »/cadre exotique proche de la nature Les caractéristiques de l’île L’île des esclaves

Le deuxième tableau de l'acte II montre la métamorphose de Jean, aussi bien physique que morale, sous le regard effrayé et impuissant de son ami Bérenger. Le texte révélant sa brutalité, son impudeur, son laisser-aller avec le passage du vouvoiement au tutoiement, la dislocation de la syntaxe, montre qu'il perd progressivement ce qui faisait son humanité : « Chaud… trop chaud. Démolir tout cela, vêtements, ça gratte, vêtements, ça gratte. » À la fin du dernier tableau, à l'acte III, Bérenger, l'inadapté

éveillé, attentif. - par l’idéalisation de la femme : « Saintement » (v. 2) appelle « Personne pure » (au sens particulier, chez Valéry, de « sans mélange », donc « parfaite ») et « ombre divine » (reflet de Dieu, v. 5). - par le passage du tutoiement au vouvoiement (v. 15 et 16) qui confère au poème une sorte de gravité et de ten­dre respect. - par le bonheur qu’il espère du retour de la femme aimée (ou de la Muse) : « dons » (v. 7), « j’ai vécu de vous attendre » (v. 15), et « nourriture d’un bai­ser

l'affirme elle-même au v 290 : « Reine pour tous, pour vous je ne suis qu'une femme ». Elle n'hésite d'ailleurs pas à braver ses craintes et le protocole pour voler au secours de RB qu'elle croit en danger à l'acte V. De même, le passage du vouvoiement au tutoiement, dans la dernière scène : « Qu'avez-vous fait ? Dis-moi » indique que c'est la femme et non la reine qui clôt la pièce parce que l'amour l'emporte malgré tout. Il convient de noter cependant que ce geste témoigne également de l'aveuglement

gamme. | Collier à boules = porte-monnaie | Tarifs affichés et paiement individuels | Ambiance très familiale entre les clients (GM) et les salariés du groupe (GO), peu être trop = tutoiement | Accueil très respectueux façon luxe qui correspond à tout type de clientèle = vouvoiement | Activité très restreintes, quasi identiques dans toute les enseignes du groupe. | Activité diversifiées en fonction du lieu d’implantation du site. (Rio das Pedras au Brésil pour les explorateurs