Tyrannie De La Majorité

principes d'un régime politique pluraliste, garant des libertés individuelles, reposant sur le suffrage universel et le principe de séparation des pouvoirs (exécutif, législatif et judiciaire). C'est sur ces fondements que se base, aujourd'hui, la majorité des régimes qui se veut démocratique dans le monde. Cependant, pour illustrer le régime démocratique d'aujourd'hui, Winston Churchill (Premier ministre du Royaume Uni pendant la Seconde Guerre Mondiale) a déclaré à la Chambre des Communes à Londres

survie de la communauté, défense et prospérité. Gestions de la polis varie selon le type d’organisation communautaire. Varie selon la politeia  Constitution (forme politique choisie) Différente selon  Un seul individu aux commandes (monarchie ou tyrannie) Groupe restreint aux commandes (oligarchie) Groupe élargi (démocratie) a) Monarchie Mono Un seul Archè Domination, pouvoir Commandement d’un seul  Roi Basileus En pratique  pouvoir absolu / modéré / dynastique/ non-dynastique Exercé

selon Tocqueville est ce qu’il appelle la tyrannie de la majorité. Dans le système démocratique, il est un principe qui accepter par tous, l’intérêt du plus grand nombre vaut plus que celle de la minorité ; face à cette réalité la majorité qui est la réelle gouvernante de toute société démocratique peut tomber sans opposition dans la tyrannie. Tocqueville nous fait part de ses inquiétudes sur les possibles dérives et critique la toute-puissance de la majorité en arguant qu’une erreur, bien qu’elle

devient ainsi l'ennemi de la liberté. C) La tyrannie de la majorité Dans les sociétés démocratiques basées sur l'égalité des citoyens, c'est la majorité qui prend les décisions communes car toutes les opinions se valent. Un individu peut alors laisser l'opinion majoritaire déterminer ses propres comportements car il ne peut plus se référer à un être supérieur (le roi ou le seigneur) pour guider ses choix. Il s'exerce alors une tyrannie de la majorité qui impose ses idées et ses façons de vivre

La tyrannie médiatique La tyrannie médiatique « Décrire une tyrannie, c’est déjà l’affaiblir. » Polemia Présentation de polemia.com L’association pour  une fondation Polemia a  été créée le  2 décembre 2002 pour  réintroduire la libre confrontation des idées dans le débat public. Son portail Internet, www.polemia.com, est ouvert depuis le 1er janvier 2003 : plus  de 500 contributions y sont disponibles ; c’est un début d’encyclopédie politique  et géopolitique indépendante à laquelle 

que l'on peut distinguer comme democratie directe (Athènes au Ve siecle av. JC) et la democratie representative où le peuple gouverne par le biais de representants elus. Ele renvoie a une theorie de souveraineté ; la d émocratie suppose la loi, la majorité, une illusion de liberté et d'égalité. C'est un régime de plaisir. Cependant, il ne faut pas confondre une democratie et une republique. La republique désigne un etat non monarchique fondé sur le principe de la souveraineté populaire que celle ci

de la majorité (sorte d’oligarchie dirigeante). La volonté générale ne peut ni légiférer ni gouverner : délégation d’une partie de la souveraineté générale populaire à des représentants qui exercent la réalité du pouvoir entre chaque consultation du peuple. Idée 2 : une majorité opprimant une minorité. La prétendue volonté générale se réduit au fait qu’une partie des citoyens impose sa loi à tous les autres. Idée 3 : la tyrannie de l’ignorance et des préjugés. l’avis de la majorité ne prouve

Activité législative intense, législateurs parfois célèbres, connue aussi par inscriptions et on peut intégrer à ce groupe l’aisymnète, législateur parfois tyrannique (surtout Orient grec) - Floraison de tyrannies, régimes sans légitimité institutionnelle, reposant sur la force, le consensus, d’une majorité de la population ou d’une « minorité agissante ». Comme pour les législateurs et les aisymnètes, l’origine de leur pouvoir se trouve dans l’état de guerre civile latente ou déclarée, la stasis. Autre

de la majorité et par l’ensemble du gouvernement ? Le vote et le référendum, censés être l’expression directe de la volonté générale des citoyens, se rapprochent en pratique, surtout de l’expression de la volonté de la majorité que de ce qu’on tente de faire croire au peuple (I). De plus, il en ressort une certaine tromperie à peine dissimulée quant au pouvoir de participation des citoyens dans la vie politique (II). I- Le vote et le référendum : l’expression de la volonté de la majorité. Le

démocratie sont deux termes interdépendants. Or, le libéralisme amène une conception de l'Etat selon laquelle celui-ci dispose de pouvoirs et de fonctions limités tandis que la démocratie amène une idée selon laquelle le pouvoir appartient à tous ou à la majorité. Selon Benjamin Constant, le partage du pouvoir social entre tous les citoyens d'une même patrie représentait la liberté des anciens. La liberté des modernes se reflétait quant à elle dans la jouissance paisible de l'indépendance privée. 2. Les