Tyrannie De La Majorité

au programme pour l’auteur avec leur définition : -Démocratie : état juridique qui octroit des droits aux citoyens mais aussi et surtout pour l'auteur état social qui se traduit par un processus d’égalisation des conditions. -Tyrannie de la majorité : c’est quand la majorité peut imposer des normes et des lois en sa faveur et du coup la minorité pourra être privée de certain droits. -Individualisme : comportement qu’exprime un individu à partir d’une idée nouvelle c’est un sentiment réfléchi et paisible

Les sophistes, qui enseignaient la rhétorique, l’art de bien parler, sont les inventeurs de la démocratie. - Celui qui détient l’art de convaincre, détient aussi le pouvoir. - L’opinion la plus répandue devient la norme. 2- La démocratie : tyrannie de l’opinion (la conception antique) - Pour Platon, ce régime politique favorise l’apparition des sophistes parce qu’il est fondé sur le règne de l’opinion. La démocratie est la traduction politique du « relativisme » des sophistes. - De plus,

le despotisme démocratique et la tyrannie de la majorité. 4- Le despotisme démocratique: Les individus limitent leurs liens sociaux et privilégient leur affaire personnelle. => individualisme apparaît => État-centralisé limite la liberté (les individus se détournent des affaires publiques). Les individus renoncent à leur liberté pour l'égalité. 5- La tyrannie de la majorité: L'égalité entraîne la « généralisation » des opinions => la majorité a alors toujours raison et la minorité

travail » composée de rapports belliqueux, conflictuels entre les individus. Au lieu d’être apaisé, l’Etat social démocratique nous pousse vers quelque chose de dangereux. Dès qu’un pouvoir agit sans contrôle ni obstacle, il y a tyrannie. Dans la démocratie, la majorité devient alors une norme sacralisée, incontestée, et donc un despotisme doux. Le despotisme est une forme de gouvernement ou l’autorité est exercée par un individu qui règne avec un pouvoir politique absolu et de manière abusive

libertés.               -C) La tyrannie de la majorité*   Le second risque encouru par les sociétés démocratiques est lié à la moyennisation de la société. Les positions sociales tendent à s'égaliser, de même que les valeurs. On assiste à la montée d'un conformisme : les valeurs de la « classe moyenne » deviennent la norme ; la majorité impose sa loi, au détriment des singularités minoritaires. La tyrannie de la majorité désigne donc cette capacité de la majorité à imposer ses idées et ses pratiques

la société américaine en général. Risque d’asservissement à la tyrannie majoritaire « Je ne connais pas de pays où il règne, en général, moins d’indépendance d’esprit et de véritable liberté de discussion qu’en Amérique. » « Je regarde comme impie et détestable cette maxime, qu’en matière de gouvernement la majorité d’un peuple a le droit de tout faire... » « Quand je refuse d’obéir à une loi injuste, je ne dénie point à la majorité le droit de commander ; j’en appelle seulement de la souveraineté

danger pour les sociétés. Nous répondrons à ces questions à travers trois axes majeurs : la théorie Lazarsfield des effets limités et des deux étages de la communication, en second plan une analyse de l'école de Francfort et pour finir la tyrannie exercée par la majorité. I – Les théories Lazarsfeldiennes L'étude empirique des médias et de leurs publics, a ses origines directes dans la recherche urbaine menée à Chicago et, de facon plus indirecte, dans la prégnance du pragmatisme philosophique

bien être .Ils abandonnent tout soucis publiques, désintéressement à la vie politique = à long terme pouvoir central = despotisme démocratique. _ La tyrannie de la majorité : Tout régime démocratique estime que la majorité a raison , une partie de la population peut être systématiquement pénalise par la volonté général . . La tyrannie de la majorité c'est tout d'abord le non respect des minorité et la non prise en compte de la contestation , la démocratie peut alors être illusoire car atteinte aux

des propriétés terriennes et une redistribution des richesses à l’intérieur de l’Amérique. Cette égalité des fortunes semble aussi s’étendre, selon l’auteur, vers une égalité des intelligences. Comme le nombre de riches est moins élevé, la grande majorité des Américains doivent exercer une profession. Ils ne peuvent donc consacrer qu’une mince partie de leur vie à l’éducation. On reconnait alors un phénomène où la population à grandement accès aux études générales, mais peu aux études majeures et

pour le peuple ». L’Amérique représente ainsi ce laboratoire d’observation pour Tocqueville où tous ces facteurs se réunissent créant une démocratie sociale et contribuant ainsi à la prospérité de la société puisque mobilisant les intérêts de la majorité. Cependant, dans son argumentation l’auteur mentionne également les maux de la démocratie. En effet, il nous parle de la recherche perpétuelle d’enrichissement matériel qui conduit les individus à désirer les biens d’autrui pouvant donc menacer