Tyrannie De La Majorité

religieux ou social. * La Tyrannie Etymologie : du grec turannos, maître, dominateur. Dans l'Antiquité grecque, la tyrannie est un pouvoir absolu conquis par la force et illégalement, après un coup d'Etat, usurpant l'autorité légale, souvent grâce à la faveur populaire. Au sens figuré, la tyrannie est une autorité exercée de manière absolue et oppressive. Appliquée aux choses, elle est un pouvoir irrésistible et contraignant (exemples : la tyrannie de la mode, la tyrannie de l'émotion). *

à l’inégalité dans la liberté. C) Le despotisme démocratique Despotisme démocratique : il se caractérise par un gouvernement arbitraire et absolu. Poussés par leur passion pour l’égalité, par l’individualisme et par la montée de la tyrannie de la majorité, les hommes sont conduits à accepter un état protecteur trop puissant, liberticide. Les hommes démocratiques sont dominés par deux passions : l'égalité et le bien-être. Ils seraient prêts à renoncer à l'exercice de leur liberté pour un pouvoir

Trois régimes politiques fondamentaux Des penseurs aussi divers que Platon, Aristote ou Polybe ont distingué trois types de régimes : le gouvernement d’un seul ; le gouvernement de plusieurs(ou d’une minorité) ; et le gouvernement de tous (ou d’une majorité). Pourtant, contrairement à ce que nous attendrions, le critère du bon régime politique ne se situe pas dans le nombre, car chacun de ces trois types de gouvernement connaît une forme « juste » et une forme « déviée », selon que le pouvoir politique

d’être souverain. La représentation est donc une condition nécessaire pour former un régime démocratique tel que nous le connaissons. En effet, il est impossible d’un point de vue technique et pratique de former une démocratie directe dans l’immense majorité des nations, il faut donc que le peuple soit représenté par des élus. En outre, la représentation peut aussi se révéler bénéfique à la démocratie et à sa stabilité. En fait, peu importe qu’elle soit un mal nécessaire ou qu’elle soit bénéfique, la

démocratie (gouvernement pour le peuple) et l’oligarchie (gouvernement des riches). Ainsi, il classe la noblesse et la vertu dans une petite minorité, les riches et les pauvres dans une grande majorité. Car, le noble et le vertueux n’atteignent pas la centaine, tandis que le riche et le pauvre dans une grande majorité . Selon lui, aucune constitution établie sur la différence (inégalité) n’a de solidité et peut avoir de conséquences désastreuses. Ainsi, il se demande est-ce-que dans certains cas on doit

Arendt, parlant du système américain, le pressentait dès l'après-guerre quand elle disait qu'«affranchi de l'autorité des adultes, l'enfant n'a donc pas été libéré, mais soumis à une autorité bien plus effrayante et vraiment tyrannique : la tyrannie de la majorité». Jusqu'à récemment, les jeunes étaient dans un rapport d'opposition à la génération qui les précédait. C'était conflictuel, névrotique, douloureux, mais jouable. Là, le risque que prennent les jeunes qui refusent de se soumettre au jugement

Commentaire composé : Voltaire : Dictionnaire philosophique : TyrannieTexte étudié : TYRANNIE On appelle tyran le souverain qui ne connaît de lois que son caprice, qui prend le bien de ses sujets, et qui ensuite les enrôle pour aller prendre celui de ses voisins. Il n’y a point de ces tyrans-là en Europe. On distingue la tyrannie d’un seul et celle de plusieurs. Cette tyrannie de plusieurs serait celle d’un corps qui envahirait les droits des autres corps, et qui exercerait le despotisme à la

lui aussi écrit sur les réformes de Clisthène. Les réformes de Clisthène interviennent en 508-507 avant Jésus Christ, se situent donc a la fin de l’époque de la Grèce archaïque et au début de l’époque classique , cette époque est marquer par les tyrannies qui on fleurit au VIIème siècle, notamment a Corinthe, Sicyone, et Argos, mais également au VIème siècle a Athènes avec les tyrans d’Ionie et de Pisistratides. Dans ce texte Aristote explique comment Clisthène est parvenu au pouvoirs et qu’elles

moyenne est un groupe important qui en chérissant l'égalité produit une uniformisation des gouts, des façons de penser etc... L'émergence de contre-pouvoirs et de pensées critiques est donc clairement limitée. La société est victime d'une tyrannie de la majorité. S'ajoute à cela une inquiétude généralisée des hommes provoquée par la possibilité à tout moment de la vie de perdre sa position et son confort. Tocqueville n'est pas un adversaire de la démocratie et si il met en évidence ses défauts

bénéfique à la société. Le pouvoir judiciaire a par ailleurs une importance dans la vie politique, pouvant contester les lois en cas de non-respect de la Constitution. De plus, le “jugement politique”, pouvoir puissant dans les mains de la majorité , autorise des tribunaux politiques à retirer à un fonctionnaire sa responsabilité publique, constituant ainsi une arme démocratique saine. Chap VIII: Après le consensus populaire autour de la 2nde Déclaration