Un acte d'amour

malheureux mais à améliorer le sort des hommes par des moyens d’une portée générale, notamment par des institutions charitables. Dans ce contexte, quelle est l’originalité de l’amour du prochain ? N’est il pas contradictoire d’associer les termes d’amour et de prochain ? Cette injonction d’origine religieuse peut-elle constituer un impératif moral, une loi au sens kantien du terme ? I) Les difficultés liées au terme de prochain : a) Essayons tout d’abord d’identifier le prochain, c’est à dire

THÉATRE : TEXTE ET REPRÉSENTATION. CONVAINCRE, PERSUADER, DÉLIBÉRER. La déclaration d’amour.  Corpus [pdf du Lycée français] : Texte A. Marivaux, Le Jeu de l’amour et du hasard, 1730, Acte III, scène 8. Dorante / Silvia. [De : "Silvia (…) : Que vous importent mes sentiments ?" à : "Silvia : Non, non, mais si vous me le demandez encore, tant pis pour vous."]  Texte B. Musset, On ne badine pas avec l’amour, 1834, Acte III, scène 3. Camille (cachée) / Perdican / Rosette. [De : "Camille, cachée, à part :

auteur, Victor Hugo (celui-ci est né en 1802 et mort en 1885). Hernani est une protestation contre le système dramatique. Pas d'unité de lieu, la scène est tantôt à Saragosse (actes I, II et V), tantôt dans les montagnes d'Aragon (acte III), tantôt à Aix-la-Chapelle (acte IV). Pas d'unité de temps: le drame s'étale sur plusieurs mois. L'action est complexe: intrigue sentimentale et intrigue politique. La vraisemblance est négligée. • Principaux personnages - Hernani, personnage éponyme de la pièce

de résister à la passion qui est la cause des plus grands désastres. Le moment culminant de la pièce est le dernier acte où Médée remet à deux reprises en question son projet de meurtre : elle congédie puis rappelle ses enfants et tient des propos à l’ambiguïté tragique. Finalement elle égorge ses deux enfants à l’intérieur de la maison. C’est Euripide qui fait de ce meurtre un acte délibéré de Médée. Le public n’assiste pas au meurtre contrairement à la tragédie de Sénèque. Il y a une autre différence

et non idéologique. L'adverbe « pourtant », à la troisième ligne de la réplique de Dora marque un tournant important dans ce dialogue: on passe du général au particulier, du groupe à l'individu. Yanek, forcé de se prononcer entre ces deux formes d'amour est gêné, il ne répond pas directement... « Je meurs d'envie de te dire oui »... puis « Tais-toi » répété . Cette partie pourrait aller jusqu'au bas de la page 87. d) Les deux « amants » potentiels redeviennent des combattants :on remarque

Analyse : Acte II, scène 9 Scène d’adieu: “éloignement” l.1 : antipathie  jeu sur le double sens du mot  scène d’adieu qui va se transformer en scène d’aveu  paronyme Stichomythies (=échange vif, agressif) : l.1-18 ; l.40-l.89  jusqu’au moment d’aveu Phrases brève  rythme haletant  sensibilité du personne  l.20-22, l.28-29 + elle dit que Dorante n’a aucune chance avec elle (repris plus tard par Dorante) Répétition de la question l.12-13, l.60-62  remet en cause l’adieu < XVIIème

ACTE II, Scene III Une salle chez Olivia Entrent Messire TOBIE ROTEGRAS et Messire ANDRÉ GRISEMINE, ivres. Messire Tobie, s’attablant. Approche, messire André. Ne pas être au lit après minuit, c’et être debout de bon matin; et diluculo surgere, tu sais… Messire André, s’attablant de même. Non, par ma foi, je ne sais pas; mais je sais qu’être debout tard, c’est être debout tard. Il mange. Messire Tobie. Fausse conclusion : je la réprouve comme un flacon vide. Être debout après minuit et

« Ô lourde légèreté, sérieuse vanité, / Difforme chaos de formes harmonieuses, / Plume de plomb, brillante fumée, feu froid, santé malade, / Sommeil qui toujours veille, et n’est point ce qu’il est ! / C’est là l’amour que j’éprouve sans y trouver d’amour » (v. 173-177), « L’amour est une fumée qui émane des soupirs : / Purifié, c’est un feu qui scintille dans les yeux des amants, / Contrarié, c’est une mer que grossissent les larmes énamourées. / Qu’est-il encore ? Une folie pleine de discernement

Immaculée Vierge, auguste Reine des anges et des hommes, Mère de Dieu, Mère de tous les enfants de Dieu, très douce Patronne de notre famille monastique, nous sommes à vos pieds. Nous vous demandons un regard de vos yeux, un sourire de vos lèvres, un acte d’amour de votre cœur. Enseignez-nous à connaître Dieu, le bon Dieu ; Dieu votre Créateur et notre Créateur ; Dieu votre Père et notre Père ; Dieu que vous aimez et que nous voulons aimer ; Dieu en présence duquel vous avez vécu et dans la vue duquel

S’agit-il d’un roman d’Amour ? Introduction. I- L’Amour dans le récit. A- Relation entre Ste Colombe et sa femme. 1- Tristesse-culpabilité 2- Des visitations bouleversantes 3- Amour de la femme pour son mari. B- Relation entre Marin Marais et Madelaine. 1- Une relation charnelle 2- Un dévouement sans borne. 3- Des doutes qui mènent à la rupture. II. L’Amour, essence même de ce qui détermine la vie et la mort. A. Un Amour qui détermine la Vie. B. Un Amour qui détermine