Un Congrès Sous Influence Présidentielle

absolument nécessaire d’assurer la continuité du pouvoir de l’état, qu’il faut remédier aux graves inconvénients de ce que l’on appelle la vacance du pouvoir (période où il n’existe aucun gouvernement, aucun pouvoir d’autorité). Elle apparaît déjà sous l’ancien régime, la transmission du pouvoir était héréditaire, de père en fils etc. Mais surtout ce qui caractérisait cette monarchie Française telle qu’elle se constituait autour des décombres de la société féodale (13e et 14e siècle), c’est que le

autonomie attribuée aux unités territoriales qui la composent telle que ces dernières conservent le nom d'Etat. En effet c’est face aux querelles entre les Etats et au chaos qui régnait après la guerre d'indépendance que ces Etats se sont réunis sous une autorité centrale dans le but de préserver leur autonomie. La Constitution, acte fondateur de cette organisation doit donc trouver un équilibre entre l’existence de l’Etat fédéral et l’autonomie des organes fédérés. Ce principe d’autonomie

l’Assemblée nationale sur la question de la réforme des retraites. Cela met l’accent sur le fait que la présence du Parlement dans les décisions prises par les membres du pouvoir exécutif relève d’un objet important, les actions du Gouvernement sous toujours soumises à l’avis du Parlement. Si le Parlement peut accepter ou non les propositions de lois, il peut également faire l’objet d’un contrôle et d’une limitation pour le pouvoir exécutif afin que celui-ci soit plus contrôler et ne fasse

exécutive et judiciaire sont réparties de telle sorte qu’aucun pouvoir constitué ne peut cumuler deux fonctions ou plus. De cette façon, la liberté vient d’une position acceptable par tous. Le pouvoir législatif est détenu par le Parlement ou par un Congrès qui a la charge de légiférer. Ses lois ont une portée générale et s'appliquent à l'ensemble des citoyens tandis que le pouvoir exécutif est entre les mains du gouvernement qui exécute les lois votées au parlement et administre les affaires publiques

l’été précédent les élections présidentielles, est l’occasion de confronter les différentes tendances d’un parti et doit permettre l’émergence d’un programme et la désignation du candidat qui devra représenter le parti à l’élection présidentielle. Le texte qui nous est présenté est un extrait du discours tenu à la Convention Démocrate le 9 juillet 1896, par William J. Bryan, jeune avocat de 36 ans originaire du Nebraska. Entré au parti Démocrate en 1888, il fut élu au Congrès en 1890 puis en 1892 mais

appréhender la situation actuelle. Pour mener cette réflexion, il faut d’abord observer le comportement de la gauche sous la IVe République. Ensuite, l’histoire de la gauche sous la Ve République peut s’étudier en deux phases, une période d’opposition et d’adaptation au régime, jusqu’en 1981, puis un tournant avec le retour de la gauche au pouvoir et les vingt ans qui suivent. I - La gauche sous la IVe République a) Le Parti communiste français, premier parti, mais perpétuel opposant Avant la Seconde

CHAPITRE I : LES REGIMES CONSTITUTIONNELS ETRANGERS Section I – Le régime des États-Unis d’Amérique § 1 : L’Exécutif : le Président des États-Unis L’Exécutif aux États-Unis, comme dans tous les pays qui ont adopté, à un moment ou à un autre, le régime présidentiel, est monocéphale. Par conséquent, dans ce pays, le pouvoir exécutif appartient à un seul homme, le Président. Cela signifie que le Président assume, à lui tout seul, les fonctions de chef de l’État et de chef de Gouvernement1. Nb. : Selon l’Article

La démocratie américaine au 19ème siècle : un modèle politique ? 1800 – 1850 Introduction Le 4 juillet 1776, à Philadelphie ( Pennsylvanie), le Congrès continental réunissant les délégués des treize colonies britanniques en révolte contre leur métropole adoptent leur déclaration d’indépendance : les Etats-Unis d’Amérique sont nés. Le 17 septembre 1787, le texte de la constitution américaine est adopté par 39 des 42 délégués présents et fonde une démocratie. Au 19ème siècle, la jeune démocratie

puisque cet Etat a mis en application tous les types de régimes qui existent (régime présidentiels, parlementaire, autocratique, républicain, monarchique, …). 1) La typologie des régimes politiques a) Le mode d’organisation des pouvoirs (lorsqu’on définit un régime) Il y a 2 formes de pouvoirs qui nous intéressent législatif et exécutif. Il y 2 types de séparations des pouvoirs : souple (parlementaire) stricte (présidentiel) Voir « il y a 50 ans dans le Monde » tribune de George Gaudet. b) Les différents

; une Constitution ne peut être figée dans le temps. Tout texte de loi, y compris celui qui va servir de référent est le produit d’un contexte politique, d’un rapport de force dicté par une situation économique et sociale, parfois même par des influences extérieures. En outre, le meilleur des textes, animé par les plus nobles intentions peut se révéler difficilement applicable ou même aboutir à des situations qui nécessitent une réécriture. Enfin, la marche du temps, les nouvelles attentes des citoyens