Un roi sans divertissement

1 : Pascal , Pensées 1670 L’homme est mortel , donc toutes ses activités sont vaines, et pourtant l’homme s’ agite beaucoup. C’est le constat paradoxale que dresse Pascal dans le fragment des Pensées étudié , écrite en 1670 et consacré au divertissement. Ce terme ici ne désigne pas seulement les loisirs agréables, mais toutes les occupations qui détournent notre pensées de la mort : au sens étymologique, divertir signifie en effet détourner, distraire . Le but de la démonstration est de faire

chez soi avec plaisir, n’en sortirait pas pour aller sur la mer ou au siège d’une place. On n’achètera une charge à l’armée si cher, que parce qu’on trouverait insupportable de ne bouger de la ville ; et on ne recherche les conversations et les divertissements des jeux que parce qu’on ne peut demeurer chez soi avec plaisir.   Mais quand j’ai pensé de plus près, et qu’après avoir trouvé la cause de tous nos malheurs, j’ai voulu en découvrir la raison, j’ai trouvé qu’il y en a une bien effective, qui

Mélanie. FICHE SUR PASCAL PLAN DU COURS : 1-pascal le mystique 2-pascal et Port-Royal 3-Les provinciales :entre extrémisme et propagande 4-les incompatibilités 5-de la théologie à l’honnête 6-Pascal et le monde 7-réquisitoire contre le divertissement 8-Pascal et l’homme 9-les puissances trompeuses 1-Pascal et le mysticisme Ce savant expérimental se fera le protagoniste d’un parti religieux, il veut être l’apologiste d’une religion à la fois intransigeante et cpdt capable de convertir

en sera-t-il de même d'un roi, et sera-t-il plus heureux en s'attachant à ses vains amusements qu'à la vue de sa grandeur, et quel objet plus sitisfaisant pourrait-on donner à son esprit? Ne serait-ce donc pas faire tort à sa joie d'occuper son âme à penser à ajuster ses pas à la cadence d'un air ou à placer adroitement une barre, au lieu de le laisse jouir en repos de la contemplation de la gloire majestueuse qui l'environne? Qu'on en fasse l'épreuve. Qu'onn laisse un roi tout seul sans aucune sitisfaction

la maxime du parnasse qui est « la loi de la forme et l’exigence du beau ». Le style est très travaillé avec les alexandrins qui donnent un style ample et fait passer plus d’idées. Cette grandeur est souligné par le champ lexical de la richesse : « Roi » v1, « riche »v2, « fleurdelisé » v9. ○ Le style est harmonieux et ordonné avec des rimes suivies comme par exemple « hébéthé » et « léthé » v17-18, « toilette » et « squelette » v11-12. Cela est aussi souligné par une alternance deux à deux de rimes

On peut donc pensé à travers cette scène que tout un chacun, comme Frédéric peut devenir le prédateur, et donc tuer pour ce divertir. Cette œuvre nous fait donc réfléchir sur l'homme et sur son divertissement. Mais également sur la nuance entre le beau et l'horreur, qui rejoins la notion de divertissement qui peut être à la fois beau et horrible quand il fini part un meurtre. Cette nuance le lecteur la comprend petit à petit à travers le hêtre. Au début du roman on nous parle d'un hêtre magnifique

SPLEEN , LXXVI , Je suis comme le roi d’un pays pluvieux… Poème parmi les quatre pièces intitulées SPLEEN, appartenant à la section « Spleen et idéal » des FDM, ce poème « Je suis comme le roi… » intensifie la notion de spleen pour le lecteur, un état de mélancolie intense, une angoisse profonde qui nait du mal de vivre (mot anglais qui évoque une mélancolie, un ennui, auquel Baudelaire donne un sens beaucoup plus profond). Dans le recueil des FDM , Baudelaire oppose le spleen à l’idéal

contre celui de la solitude. Il est composé de trois textes et d’une photographie, chaque document datant d’un siècle différent, échelonné sur quatre siècles du XVIIe au XXe siècle. Nous retrouvons un extrait des Pensées VII de Pascal intitulé Divertissement de 1670, un article du nom de Société de l’Encyclopédie ou Dictionnaire résonné des sciences des arts et des métiers en 1765-1772 de Diderot et D’Alembert, ainsi qu’un poème de Charles Baudelaire nommé La Solitude du recueil Petits Poèmes en prose

dans ce cadre qu’intervient le texte soumis à notre étude, extrait du fragment 139L-136B de Pensées de Blaise Pascal ; auteur dont la réflexion porte sur les contrariétés de la nature humaine. Dans ce texte, Pascal nous parle essentiellement du divertissement. Pour se faire, il articule sa thèse autour de trois mouvements : le premier mouvement part de « quand je m’y suis quelquefois » a « mais la classe qui nous en détourne » ; dans ce mouvement, Pascal soutient que l’homme ne sait guère demeurer

Le théâtre est un moyen de divertissement pour son publique. Mais d’une autre manière l’auteur cherche aussi à éduquer la salle comme on faisait souvent dans l’Antiquité. Est-ce possible que la comédie comme la tragédie puisse remplir cette double fonction ? Pour trouver la réponse il s’agit d’analyser des œuvres de tragédie et puis de comédie, et de voir si dans les deux on retrouve de l’éducation morale. La première partie traitera deux œuvres : la tragédie « Antigone » écrite par Sophocle en