Une Bonne Loi Hobbes

définition négative de la liberté : il s'agit de ne pas être empêché. C'est une définition proche qu'adopte le philosophe anglais Hobbes. D'après le sens propre (et généralement admis) du mot, un HOMME LIBRE est celui qui, s'agissant des choses que sa force et son intelligence lui permettent de faire, n'est pas empêché de faire celles qu'il a la volonté de faire. Hobbes Léviathan 1651 Pour le philosophe Hobbes, la liberté est donc absence d'obstacle à la réalisation de ce que ma force et mon intelligence peuvent réaliser

La politique Légitimité : de droit, juste, conforme à la loi, justifié... Est-il préférable que l’Etat existe ? Etat est une instance de commandement. Raison d’Etat = prendre une décision même si les lois l’interdisent pour la survie de l’Etat. Le citoyen obéit à l’Etat, on est forcé de se plier à ses décisions (démos=peuple, kratès=le pouvoir). Il y a le commandement et l’obéissance. Etat indique tjrs 2 choses : qlqn pour commander et qlqn pour obéir et des individus associés à l’intérieur

juristes ont multiplié les interprétations de ces lois et de ces décisions de justice, etc. Il est arrivé un moment (1er siècle av. JC) où il y avait tellement de règles que personne n’y comprenait plus rien. Les praticiens ne savaient plus quelle loi il fallait appliquer.  Nécessité d’élaguer, de faire du tri, de supprimer. Au 6ème siècle, Justinien, empereur de l’Empire Romain d’Orient a décidé de faire réaliser « Les compilations de Justinien » Il a réunit ses ministres, ses avocats, ses juges

pas, il réagit. Dans ce même sens, pour Hobbes, au départ, « l’Homme est un loup pour l’Homme », l’Homme n’agirait donc que par la loi du plus fort et n’utiliserait que la violence. Le Mal serait donc dans la nature humaine. Mais si le Mal est humain peut-on parler d’inhumanité ? 2. Mais alors, un comportement peut-il être inhumain si tout est humain ? Au contraire de Hobbes, si l’on définit, à l’image de Rousseau la nature humaine comme « bonne », tout comportement qui serait contraire

considéré comme juste tous se qu’une société considère comme telle à travers son système de loi. « Positivistes » « légalistes » : ce qui pense que s’est seulement la loi qui a valeur de justice. Celons cette définition « positivistes » ou « légalistes », le juste et l’injuste sont synonyme de l’égale et de illégale Problématique : _Peut on réduire la justice à sa seule dimension juridique ? _Une loi est elle nécessairement juste du seul faite quel soit conforme au droit ? I) Le droit :

Existe t-il des violences légitimes ? « La violence est la loi de la brute » (Romain Rolland)   « Violence » : action d’intervenir sur quelqu’un en le faisant agir contre sa volonté, en employant la force et la brutalité. « Légitime » : caractère de ce qui est reconnu conforme au droit, à l’équité, qui est justifié par le bon droit, la raison, le bon sens. De ces deux définitions, puisées dans le Petit Larousse, il

par étudier la définition de la tromperie avec l’exemple d’Alexandre VI, qu’effectue l’auteur, dans un premier temps de la ligne 1 à 4. Dans un second temps de la ligne 5 à 10, Machiavel qualifie la tromperie de mélioratif, il la décrit comme “une bonne qualité”. Cette tromperie devient alors un atout du paraître, où il est plus important de paraître que d’être. Et dans un dernier temps de la réflexion, de la ligne 11 à 16, Machiavel tire la conséquence qu’il n’est pas possible pour un prince, donc

du code civil avant le consulat est donc impossible car c’est de ce même consulat et par l’impulsion de son premier consul que le Code civil a pu voir le jour. * Qu’est-ce qu’une loi ? Si l’on s’en réfère à la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen et plus précisément à son article 6 : "La loi est l’expression de la volonté générale. Tous les citoyens ont le droit de concourir personnellement, ou par leurs représentants à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu’elle

politique prend d’autres formes), mais comme l’Etat espace privilégié du politique. Texte de Pierre Clastres Voir la fiche de lecture de Mikael. Les théories du contrat social Notes sur les autres théories du contrat social : Les théories de Hobbes, Locke & Rousseau sont les plus « célèbres », mais d’autres auteurs ont pu faire appel à l’idée d’un contrat, qu’il soit explicite ou implicite. Par ailleurs, on peut considérer que Rawls que nous étudierons plus tard a repris la tradition du

interroge d’un point de vue universaliste. En philosophie politique nous allons rechercher l’essence de la justice, parce que ça nous donne des critères de la constitutions: une lois peut être injuste, il faut savoir comment on va pouvoir raisonner sur une loi et dire en quoi elle est injuste. C’est pourquoi il faut donner une définition générale de la justice. La volonté politique c’est un problème qui est liée à la modernité, c’est a dire qu’elle est née des conceptions décontractualistes (Rousseaux)