Une Bonne Loi Hobbes

critique déjà constituée de la théorie hobbesienne. En effet, Dans le De cive comme dans le Léviathan, Hobbes avait affirmé qu'à l'état de nature l'homme aurait été un loup pour l'homme, qu'il serait mauvais en raison de son ignorance, en cet état, de la vertu. Nous nous souviendrons simplement ici que Rousseau doit faire admettre l'absence de méchanceté naturelle de l'homme contre l'idée, répandue par Hobbes, selon laquelle les hommes présenteraient une attitude naturelle qui serait belliqueuse. Rousseau

ecclésiastique. Peu après le XVème siècle, à la fin du XIXème siècle l’église perd petit à petit le soutien de l’état : L’enseignement catholique est interdit, le gouvernement rompt ces relations avec le Vatican en 1904 et c’est en 1905 qu’est votée la loi sur la séparation de l’église et de l’état, la France devient donc un Etat laïc. Aujourd’hui, le pouvoir religieux est donc quasi-inexistant en France et par ailleurs en Martinique (département français) également, s’il existe c’est alors par l’importance

● Les libertés La question du libre arbitre ● L’approche déterministe de Spinoza – La nature est déterminée. Le libre arbitre est une illusion produite par le langage. La volition est toujours conditionnée. – – – Spinoza (comme Hobbes) oppose la liberté et la contrainte et non la liberté à la nécessité. La liberté ne renvoie pas à un pouvoir indéterminé des possibles, mais à la libre nécessité. Pour être libre l’individu doit comprendre et suivre sa propre nature, ses désirs vraies

cartésianisme tout au long du XVIIIe siècle. Gottfried Wilhelm von Leibniz (1646-1716) développa les mathématiques et le calcul infinitésimal. Sa philosophie des monades se démarquait également de celle de Descartes. Les philosophes anglais, comme Thomas Hobbes et David Hume, adoptèrent une démarche empirique, mettant l’accent sur les sens et l’expérience dans l’acquisition des connaissances, au détriment de la raison pure. Spinoza prit parti pour Descartes, surtout dans son Éthique. Il se démarqua pourtant

par nature un animal politique. Et celui qui est sans cité, naturellement et non par suite des circonstances, est ou un être dégradé ou au-dessus de l’humanité. Il est comparable à l’homme traité ignominieusement par Homère de : Sans famille, sans loi, sans foyer, car, en même temps que naturellement apatride, il est aussi un brandon de discorde, et on peut le comparer à une pièce isolée au jeu de trictrac. ». Nous voyons bien ici qu’il rejette la thèse selon laquelle la cité serait contre-nature

deux signes disent des choses différentes.  Ce n’est pas l’étoile du matin qui est l’étoile du soir du pt de vue du sens mais c’est le même objet référent qui est appelé tour à tour étoile du matin et étoile du soir. Le principe d’identité est une loi aussi bien de la pensée que de l’être. Ce principe a pour formulation négative le principe de contradiction. Aristote le définit cme principe premier, suprême ds la mesure où il n’est dérivé d’aucun autre ; c’est un principe qui régit l’être et donc

question de l’obéissance et de la désobéissance pose d’emblée un problème aigu pour peu qu’on considère plus précisément la désobéissance. En effet, peut-on défendre la désobéissance sans se contredire, à savoir en promulguant une loi qui exhorterait à désobéir ? Une telle loi devrait s’excepter de la prescription qu’elle formule. D’autre part, on peut sérieusement se demander si la désobéissance peut bénéficier d’une caution sociale, voire politique. Afin d’aller plus loin dans ce questionnement, nous

civilisation: cache le vrai visage de l'être humain. - Le perfectionnement est la véritable source des misères. L'état de nature - La notion d'état de nature est une hypothèse permettant de rechercher les fondements de la société. - Selon Hobbes: Etat de nature = état primitif, brutes sanguinaires, guerre perpétuelle. Sa réponse: un état civil ou chacun se soumet, et abandonne sa souveraineté individuelle. - Selon Locke: l'homme est un animal naturellement sociable, bienveillant, vivant

QU’EST-CE QUE LE DROIT ? Introduction : Le droit est à la fois une science juridique (exercice de qualification, d’analyse de cas à retranscrire juridiquement) et une méthode. Ex : accident de voiture à analyser juridiquement pour utiliser la loi appropriée à la situation d’où la nécessité de la qualification juridique. Cet exercice de qualif qui permet le passage du droit au fait repose sur le syllogisme juridique. Ce raisonnement de type déductif s’appuie sur deux propositions : une majeure

hommes se révoltent sans cesse contre la société, qui travaille à nous éloigner chaque jour de notre " bonne nature ". C’est quelque sorte un retour mythique à des origines naturelles, au " chaos " perçu comme " pré-social ". Pourtant, rien ne dit qu’il est dans la nature de l’homme de vivre isolé, hors d’une société. Vouloir quitter la Cité, c’est retomber dans la passion, dans la violence, la " loi de la jungle " propre aux animaux… Comme le dit Aristote, l’homme est fait de telle sorte qu’il ne peut