Une Monarchie Absolue Contestée

religieuses et qui ont conduit à la révolution britannique de 1648 et qu’il condamne (il s’agit de la république de Cromwell). Pour lui, les hommes vivent originellement dans l’anarchie et ont donc conclut entre eux un contrat qui institue une monarchie garante de leur “propre préservation”. Mais par ce contrat, les hommes ont abandonné leur liberté naturelle et comme le roi est tiers au pacte (il ne l’a pas signé), il ne peut donc le violer donc la révolution est illégitime. ★ Locke - “Traité

domination E-U ( 1966 : se retire de l’OTAN Multiplication critiques contre pol E-U : France reconnaît Chine pop comm (1964) ; 1966 : discours contre guerre du Vietnam, visite à K. 1963-73 : refus du R-U ds CEE ms France reste Atlantiste (1 pol contestée par l’usure du pouvoir -opposition pol dès 1965 ds son propre camps surtt pol étrangère (Moyen orient : Israël). Sté critiquant le caractère autoritaire du pvr. (Difficultés électorales : élections présidentielles : Réélu en 1965 slt au 2ème tour

L’avènement d’Hugues Capet 987 c’est le début du Moyen Age jusqu’au milieu du XVème. Deuxième Moyen Age, XIIème siècle c’est alors le renouveau de l’Europe. Royauté domine, la féodalité. Au milieu du XVème c’est l’Ancien régime  renouveau de l’Etat, Monarchie Absolue). PREMIERE PARTIE : L’EPOQUE FRANQUE: LE POUVOIR PERSONNEL ET L’ANARCHIE Fin du Vème siècle, avec la sédentarisation d’un peuple d’origine germanique : les francs

développée l’idée de limiter le pouvoir au moyen de règles pour garantir la liberté. Ce mouvement idéologique appelé « constitutionnalisme » a inspiré les philosophes des Lumières et la révolution dont le but était de limiter le pouvoir de la monarchie absolue, privative des libertés essentielles. À partir du 17e siècle, des règles du jeu politique vont se substituer à de simples rapports de force. Ainsi, les institutions politiques sont nées, afin de définir ces rapports et créer de nouvelles règles

libéraux est qu’il faut absolument limiter le pouvoir car on considère que le pouvoir est dangereux pour l’individu et que ce qui doit l’emporter c’est la liberté individuelle qui a un caractère sacré. Lord Acton : « le pouvoir rend fou et le pouvoir absolu rend absolument fou ». Cela a été prouvé. Un homme politique américain Thomas Jefferson, avait déclaré « le meilleur gouvernement est celui qui gouverne le moins ». Cette conception libérale se traduit dans la déclaration des droits de l’homme et

d’accepter ou pas la loi, s’il la trouve mauvaise il refusera de l’appliquer. Pour le juge c’est quelque chose de plus délicat. Dimension de préconisation : il trouve ce système le meilleur possible. Il voudrait que la France l’adopte, elle est alors une monarchie. Il croit que l’Angleterre a ce système. Cette séparation des pouvoirs va devenir le crédo de tous les libéraux, ceux qui se méfient du pouvoir et qui mettent en avant la liberté de l’homme. Face à eux, on va avoir ceux qui se disent démocrates,

instaurés en France avant 1870 (troisième république). 1) la monarchie de droit divin (jusqu’à 1789) A partir du Vème siècle, la France s’organise progressivement en monarchie. Le roi de France est sensé avoir été choisi par Dieu lui-même, et il gouverne au nom de Dieu : il est souverain (c’est-à-dire premier entre tous, ne recevant d’ordre de personne). La monarchie absolue donne au souverain un pouvoir quasi absolu. 2) la monarchie constitutionnelle (1789-1792) C’est le régime de Louis XVI

veiller à ce que ce dernier soit légitime. Cette légitimité a d'abord été, dans les sociétés primitives, un rapport de domination. C'est la loi du plus fort. Puis la légitimité est venue de Dieu. C'est la période, pour la France, symbolisée par la monarchie absolue. Depuis la Révolution, le pouvoir vient du peuple. La légitimité est donc populaire : le souverain c'est la nation (ou encore, pour Pierre-Joseph Proudhon, "L'État, c'est nous"). Enfin, l'État permet d'instaurer le monopole du pouvoir. Seuls

(moment où on abandonne dès 1789 la souveraineté royale pour la conférer aux citoyens).  On passe alors à la notion de légitimité : le pouvoir suprême, à qui doit-on le confier, à qui est-il légitime ?   C’est ce qu’on appelait la monarchie de Droit Divin (= « on est au pouvoir depuis 800 ans, c’est qu’on est bien et que Dieu nous soutient. »). En 1789, on change de système de légitimité.  Tout de suite, une controverse apparaît : la souveraineté doit elle être confiée au peuple

payent. Cela est dû au fait que la croissance de la fiscalité royale inquiète. Participer aux affaires publiques, pour les élites, c’est vouloir jouer pleinement leur rôle politique et social, en empêchant la dérive jugée despotique de la monarchie. C’est dans ce contexte que les ministres de Louis XVI, Turgot, Necker, puis Calonne, ont saisi qu’il était urgent de capter au profit du pouvoir royal des aspirations qui pourraient devenir dangereuses. Des assemblées sont ainsi établies