Une partie de plaisir

principalement utilisées seront celles de Platon et d'Épicure. Par la suite, nous allons comparer et analyser ces thèses de sorte à identifier ce qui est contestable et discutable de celles-ci. Finalement, nous tenterons d'élaborer une définition établie à partir de la synthèse des doctrines préexistantes ainsi que par notre réflexion par rapport à ces dernières. Tout d'abord, il est entendu que chacun a sa propre conception du bonheur et que par ce fait, nous pouvons regrouper ces dernières en catégories

l'homme a une nature (il y a ainsi des désirs naturels), ensuite il y a la recherche du plaisir physique et finalement la recherche de l'ataraxie de l'âme. À partir de ces idées sur la bonne vie, Épicure raisonne et développe sa philosophie. Il dit que l'homme a juste besoin de satisfaire les plaisirs naturels pour être heureux; une fois ceux-ci satisfaits l'homme n'a que faire du plaisir et ne recherche pas de plaisirs supplémentaires. Dans ce cas l'homme a des désirs uniquement lorsqu'il souffre. Une

aient pu trouver un accord. Notre extrait s'ouvre donc par la parole de Socrate, qui tient la tempérance pour une vertu (alors que, selon Calliclès, elle n'est qu'une impuissance qui ne dit pas son nom). Mais Calliclès prétend que la recherche du plaisir doit guider l'homme en toute chose, c'est sur ce terrain que Socrate porte la question. Ainsi, une vie modérée n'est-elle pas plus heureuse, finalement, qu'une vie dépravée, qui court sans fin après les désirs dans le but illusoire de les voir enfin

Méthode : corrigé plan détaillé + 3 eme partie : La raison est-elle un obstacle au bonheur ?Plan détaillé : bien intégrer les exigences, cela sera demandé en devoirThèse 1 : Être rationnel et raisonnable ne peut que nous éloigner d’une vie de jouissance, or c’est en cela que consiste le bonheur. 1. Être rationnel et renoncer aux illusions de l’imagination nous écartent du bonheur- définition hédoniste du bonheur comme maximisation des plaisirs et donc comme expérience de la sensibilité- définition

valables aux questions de son élève ; au fur et à mesure qu'il prit connaissance des autres systèmes philosophiques, il aurait senti en lui le besoin croissant d'apporter ses propres réponses, aucune des autres ne le satisfaisant. À partir de 307, il passa la plus grande partie de sa vie à Athènes, où il enseigna la philosophie dans son fameux "jardin", fondé en 306. Épicure fut un auteur prolifique. Selon sa biographie relatée par Diogène Laërce, il a laissé trois cents manuscrits, dont trente-sept

croisement de deux problématiques, difficilement conciliables, celles du plaisir et celle de la moralité. Le bonheur – entre plaisir et vertu (Socrate et les sophistes) « Un plaisir pourrait s’identifier avec le plus grand bien, même en admettant que la plupart des plaisirs se trouvent être absolument mauvais. Pour cette raison, tout le monde estime que la vie heureuse est agréable, attendu qu’on unit la notion de plaisir à celle de bonheur, et l’on a parfaitement raison. Aucune activité, en

souvent interprétée à tort comme une philosophie de « bon vivant » cherchant le plaisir avec excès. En réalité, il s'agit d'une philosophie d'équilibre basée sur l'idée que toute action entraîne à la fois des effets plaisants (positifs) et des effets amenant la souffrance (négatifs). Il s'agit donc pour l'épicurien d'agir sobrement en recherchant les actions amenant l'absence de douleur, d'où doit découler le plaisir négatif de cet état de repos (ataraxie) ; c'est pourquoi l'excès doit être évité

ouvrage des observations déjà constatées mais peu enclines à être reconnues par les parents, éducateurs ou médecins…pourtant, rien d’obscène….mais une théorie qui dérange, titille l’obscurantisme du monde scientifique. L’ouvrage est divisé en trois parties : * Les perversions ou aberrations sexuelles * La sexualité infantile * Les métamorphoses de la puberté Quelques définitions : Objet sexuel : personne dont émane l’attraction sexuelle But sexuel : l’acte auquel pousse la pulsion

chez le poète, qui va augmenter le désir mais surtout le plaisir de la délivrer. Nous allons donc montrer comment Alberti, à travers une histoire populaire, revient sur sa première vocation la peinture, en nous racontant cette histoire sous la forme d’un tableau vivant, tout en nous menant à la poursuite de l’objet désiré : La Femme. Nous étudierons dans une première partie la tradition littéraire populaire du poème, dans une seconde partie, nous étudierons la représentation pictural que se fait

(représentation =) c'est un dispositif de l'homme, mis en place par l'esprit humain et cela vise le beau. Cela procure un certain plaisir. N'importe quelles réalités même les plus désagréables (guerre, meurtre,...) traité artistiquement procure du plaisir, même si il est répugnant, repoussant. Pour Kant, seule certaine beauté naturelle peuvent procurer du plaisir ( → le sublime) Exemple : éruption volcanique, tempête (petitesse face à la puissance de la nature) On goute dans le calme à une