Une Pensée Cohérente Est Elle Nécessairement Vraie

cours. BATIR UN PLAN :→ chaque partie correspond à une hypothèse pour répondre à la problématique : rédigez des vraies phrases et non « oui ou non »→ le plan doit être progressif, il doit aller du plus évident au plus élaboré→ construire un plan cohérent qui suit un parcours logique, qui ne se contredit pas, ne se répète pasARGUMENTER :→ justifier, prouverINTÉGRER UNE RÉFÉRENCE :→ bien l’intégrer au raisonnement : présenter votre idée ; se référer à la thèse d’un auteur COMPOSER UN PARAGRAPHE :Chaque

en logique, c’est un enchainement de proposition. Raisonnement dans lequel si certaines choses sont posées, d’autres doivent en découler nécessairement. Le modèle est un syllogisme (Tout… Or… Donc). Postulat : position qui constitue la base de départ d’un raisonnement. Proposition non démontrable que le mathématicien demande d’accepter comme nécessairement vraie, et dont il a besoin pour construire une démonstration. Préjugés : Opinion admise sans jugement ni raisonnement. Dénonce l’erreur ou l’absence

d’une réflexion sur les sciences se désintéresserait donc du problème même de la vérité − ce qui est en soi paradoxal. Toutefois, de quel ordre exactement est cette réflexion ? Est-elle d’abord et surtout épistémologique, critique ou éthique ? Nécessairement présente dans la philosophie, une réflexion sur les sciences lui reste-t-elle extérieure ou lui est-elle inhérente et essentielle ? 1. Les titres en gras servent à guider la lecture et ne doivent en aucun cas figurer sur la copie. 1. La philosophie

réalité. Parfois, nous sommes sûrs et certains de cette réalité et pensons que nous en avons une connaissance certaine. D’autres fois, nous nous posons des questions et doutons sur cette réalité. Comme si cette réalité pouvait un jour rester stable et cohérente puis un autre jour devenir une sorte d’illusion et nous tromper. Ce constat est fait tous les jours, à était fait depuis la nuit des temps et sera fait également dans le futur lointain. Il est inévitable pour tout être pensant de se retrouver un

Introduction 1 I. La vérité comme propriété d’une proposition 1 A. La vérité-correspondance 1 1. Exposition 1 2. Difficulté 2 B. La vérité-cohérence 2 1. Exposition 2 2. Difficulté 2 II. Vérité et vie 3 A. La pensée est un phénomène de la vie 3 1. La vérité comme propriété d’un être vivant 3 2. Dispositions d’un organisme et relations à son milieu 3 B. Projection et perspective 3 1. Toute vérité est perspective (Pascal, Nietzsche) 3 2

seul, parmi tous les êtres vivants, à posséder le sentiment de mon existence. De Socrate (« Connais-toi toi-même ») à Kant, les philosophes classiques accordent donc à la conscience une place centrale : « Qu’est-ce donc que je suis ? Une chose qui pense. Qu’est ce que cela ? C’est bien une chose qui doute, qui connaît, qui affirme, qui nie, qui veut, qui ne veut pas, qui imagine aussi et qui sent » (Méditations Métaphysiques 2) Le philosophe Pascal récuse pour sa part l’idée de conscience « substance »

La vérité Introduction 1 I. La vérité comme propriété d’une proposition 1 A. La vérité-correspondance 1 1. Exposition 1 2. Difficulté 2 B. La vérité-cohérence 2 1. Exposition 2 2. Difficulté 2 II. Vérité et vie 3 A. La pensée est un phénomène de la vie 3 1. La vérité comme propriété d’un être vivant 3 2. Dispositions d’un organisme et relations à son milieu 3 B. Projection et perspective 3 1. Toute vérité est perspective (Pascal, Nietzsche) 3 2. Toute ouverture au monde est affectée (Heidegger)

Dans ce texte, Pascal entend démontrer la véracité de la thèse qu’il tient pour vraie à savoir celle de la divisibilité de l’espace à l’infini. Une telle démonstration n’est pas aisée car démontrer implique transmettre une vérité par médiations et « directement » or, comme il l’affirme préalablement en tout début de ce texte il sait que la maladie naturelle de tous les hommes (donc sa maladie aussi) est une croyance : celle qui consiste à penser que la vérité s’acquiert « directement ». Mais la

Science qui elle, est curieuse et totalisante. En effet selon Bachelard, la Science a pour but la recherche et le respect de la vérité contrairement aux opinions qui visent l’utile. En effet, une opinion est subjective et n’a pas besoin d’être cohérente à partir du moment où cela nous convient. Cependant, la Science, elle se doit tout expliquer, de pouvoir tout justifier, cela serait dans sa nature. Afin de développer sa thèse, Bachelard a recours à 3 étapes argumentatives. Dans un premier mouvement

➔➔Objectif Aborder les stratégies de la réflexion morale et sociale dans le genre de la maxime. ➔➔Présentation du texte La maxime est un genre difficile. Aussi avons-nous choisi un ensemble cohérent de neuf maximes successives qui traitent toutes du même thème de l’amitié, afin que les élèves puissent saisir l’unité de la pensée et du style de La Rochefoucauld par-delà la déroutante dispersion du texte. Fruit d’une vingtaine d’années de travail (de 1661 à 1678), le livre, paru dans un premier état en 1665