Universalité De La Littérature

dissimuler leur activité aux yeux profanes (ex Mallarmé qui préconise « des formes hiératiques dont l’étude aride aveugle le profane »). La poésie doit s’admirer de loin, comme une idole inconnaissable, on ne peut l’approcher que par intuition. Universalité du phénomène poétique : aucun peuple sans poésie. Mais l’extrême variété de ses formes et fonctions rend difficile de proposer une définition unifiante. Et même, dans une même tradition culturelle, la conception de la poésie se transforme avec

Cultures et littératures aux Suds, productions littéraires et artistiques et didactique du français Rabat-Kénitra (Maroc) 31 octobre - 2 novembre 2011 1 / 235 2 / 235 TABLE DES MATIÈRES Table des matières....................................................................................................................................................3 Problématique de l’espace littéraire francophone du/aux» SUDS ».....................................................................8 Engager

nous convie à nous poser la double question de l'originalité et des possibilités d'émergence d'une démocratie africaine. Depuis 1989, des réflexions sur la démocratisation et la démocratie en Afrique ne cessent d'aller bon train fournissant une littérature vaste (cf. Diouf 1998). Elles ont démarré avec la recherche de la nature et les enjeux des conférences nationales : une palabre africaine ou une réplique des états généraux français (Boulaga 1993, Akindes 1995). Toutefois, ces processus démocratiques

injustement l’ampleur du sujet. L’œuvre d’art a en effet trait à des disciplines bien plus vastes ! La musique, la sculpture, l’architecture, la chorégraphie sont aussi son univers, et il faudrait y ajouter la poésie et l’éloquence pour les Anciens, la littérature…et le cinéma, que Tarkovsky ne nous pardonnerait pas d’oublier ! En bref, l’œuvre d’art est tout produit résultant de l’application de connaissances raisonnées et de moyens spéciaux à la réalisation d’une conception. Et toute production relevant

l’homme institue une culture qui le sépare de la nature. L’inceste, qui est aussi selon Lévi-Strauss le fondement de l’exogamie et de l’échange, est donc le point de départ de toute société humaine et de toute culture. Ceci explique sa paradoxale universalité : elle est universelle car la culture elle-même est un phénomène universel parmi les hommes. B. Y a-t-il une nature humaine ? 1. La culture est une seconde nature Si la distinction conceptuelle entre nature et culture est assez claire

humanité mis au premier plan est « la raison ». Pour Cassirer, c’est « le point de rencontre et le centre d’expansion du siècle » [p. 44]. « L’unité et l’immutabilité de la raison » constituent justement un gage de la commune humanité et de son universalité : « La raison est une et identique pour tout sujet pensant, pour toute nation, toute époque, toute culture » [ibid.]. Cette raison est critique : elle interroge les préjugés, débusque les arguments d’autorité, met en cause les vérités révélées

essentiellement des expériences des hôpitaux pilotes (PFGSS) et en l’occurrence l’hôpital de Béni Mellal qui a développé le pôle D. Dans le cadre de ce travail, nous avons procédé, en première étape, à l’analyse de la situation et à la revue de la littérature. En deuxième étape, nous avons implanté deux outils de GRH dans les activités du service du personnel à savoir : la planification des congés et l’horaire de travail du personnel, en raison du temps limité alloué au stage. Les changements ont été

lecteur de s’identifier à Je pense que l’argument était bon, mais que votre traitement ne lui rend pas honneur. Il était bon, mais très difficile à manipuler. Le sujet du suicide n’est pas réellement complexe, tant il est commun dans la littérature (voir le Werther de Goethe). Mais la lecture symbolique du suicide paraît intéressante. Le traitement du mariage aurait certainement été plus intéressant si vous l’aviez poussé plus avant. En résumé sur cette sous-partie : l’idée est très bonne

l’homme institue une culture qui le sépare de la nature. L’inceste, qui est aussi selon Lévi-Strauss le fondement de l’exogamie et de l’échange, est donc le point de départ de toute société humaine et de toute culture. Ceci explique sa paradoxale universalité : elle est universelle car la culture elle-même est un phénomène universel parmi les hommes. B. Y a-t-il une nature humaine ? 1. La culture est une seconde nature Si la distinction conceptuelle entre nature et culture est assez claire

l’homme institue une culture qui le sépare de la nature. L’inceste, qui est aussi selon Lévi-Strauss le fondement de l’exogamie et de l’échange, est donc le point de départ de toute société humaine et de toute culture. Ceci explique sa paradoxale universalité : elle est universelle car la culture elle-même est un phénomène universel parmi les hommes. B. Y a-t-il une nature humaine ? 1. La culture est une seconde nature Si la distinction conceptuelle entre nature et culture est assez claire, ces deux