Valeurs Universelles

ennemis et les dangers extérieurs, nature, hommes, animaux. Tous ces problèmes élémentaires de l’individu sont résolus par les objets travaillés, par la constitution de groupes de coopération, et également par le progrès du savoir, par le sens des valeurs et par le sens éthique. » Bronislav Malinowski. Une théorie scientifique de la culture, et autres essais. Paris : François Maspero, Éditeur, 1968, 182 pages. Collection : Les textes à l’appui. Traduit de l'anglais par pierre Clinquart. Définition

allons un peu plus loin, elle est l’ensemble des connaissances, des savoir-faire, des traditions, propres à une civilisation. La culture englobe de très larges aspects de la vie en société : technique utilisées, mœurs, morale, mode de vie, système de valeurs, croyances, rites religieux, organisation de la famille et des communautés villageoise, habillement… en gros un homme sans culture est un être perdu. Y a-t-il une culture supérieur ou inférieur a une autres ? Les cultures aussi différentes qu’elles

Sociologie du sport Résumé du chapitre : La dynamique du sport moderne : Suggestions quant à la valeur croissante du sport dans la société , tiré de l’ouvrage de Dunning Eric et Elias Norbert, « Sport et civilisation : la violence maîtrisée » Paris, fayard, 1994, 392 p. D’après Eric Dunning, le sport a vu s’accroître sa valeur sociale ; Il relève trois aspects liés à cet accroissement : - le sport est devenu un des principaux instruments générateurs d’excitation agréable. - le sport fonctionne

société des fourmis, les rôles ne sont pas distribués, chacune fait la même chose que les autres et est dirigée par l’instinct. Dans la société des hommes, outre que chacun a son rôle à jouer pour le bien de l’ensemble, chacun obéit à des règles, à des valeurs consensuelles. De plus, l’homme est créature de Dieu, qui lui a donné une parcelle de son intelligence infinie, une conscience, laquelle lui permet de peser le pour et le contre, de discerner le bien et le mal. Une fourmi ne diffère en rien d’une

Philosophie Qu’est-ce qui fait la valeur d’une œuvre d’art ? Les musées exposent des œuvres d’art. Les visiteurs de ces lieux viennent voir ces œuvres. Mais ont-ils tous la même approche de l’art ? Cherchent-ils à être émerveillés ou à voir des objets de valeur ? C’est ce que nous allons développer en organisant notre raisonnement en trois parties. Premièrement nous définirons les termes principaux du sujet : valeur et œuvre d’art. Ensuite nous analyserons les différents critères qui s’opposent

aspect pathologiquement passionnel, cette absence de jugement et d'esprit critique qui fait proprement penser à la folie. Et d'autre part l'étymologie du mot rappelle l'indéniable côté mystique du fanatique qui est absolument convaincu de la valeur incomparable de sa foi. Commençons par une étude en quelque sorte extérieure du fanatisme qui le décrit dans son comportement. Considéré ainsi du dehors, il semble que le propre du fanatisme soit de ne pas savoir qu'il est fanatisme. Il se présente

quelconque autonomie de l’école vis-à-vis de la société.[1] De nos jours, la tendance est plutôt à opposer les valeurs de la société à celles de l’école pour expliquer les difficultés des enseignants. Mais qu'est-ce qu'une valeur ? C'est une référence qui marque le prix ou le caractère de perfection attribué à un être ou une chose. Dès son origine, dans la Chanson de Roland, le mot valeur prend cette double signification d'intérêt d'un objet et de qualité d'une personne. C'est Taine semble-t-il, au

Occidentaux sont rétifs à manger des insectes comestibles, mais n'hésitent pas à croquer des crevettes. Dans certains pays, le grillon est un met de choix. On ne peut pas affirmer dans l'absolu que tel goût est supérieur à un autre. Quelles que soient les valeurs nutritionnelles objectives des ténébrions (de petits vers blancs comestibles), bien des gens refuseront toujours d'y goûter. Ont-ils tort? Ont-ils raison? Poser ces questions nous amènent à accepter l'idée que c'est une affaire de goût personnel,

IIIème République était marquée par la politique d’assimilation. On parlait d’un état éducateur. L’objectif était de former les jeunes à la patrie, à la nation française, à la République, aux droits de l’homme, à la morale universelle et à la raison. L’accent était mis sur les valeurs communes qui produisent l’unité. Cette école privilégiait l’unité au détriment de la différence. • Dans les années 1960-1970, la société française était tournée vers le développement économique et social. On parlait

société Intégrer la dimension humaine dans chacune de ses décisions et chacune de ses actes. Management éthique : gestion qui met l’homme au coeur de l’entreprise Pour affirmer leurs valeurs éthiques, les managers doivent être un exemple de conduite, mais ne doivent pas s’ériger en détenteurs des valeurs universelles. Cette approche va pouvoir se concrétiser à travers des débats, des échanges au cours des travaux en groupe. Le manager éthique doit tendre à « optimiser la performance de tous en visant